Je n’aurais pas du m’enfuir de la salle de vente, maintenant je erre dans les rues sombre. Jusqu'à ce que des hommes se mettent devant moi, impuissante a cause des blessures et de la fatigue. Il fallait que quelques minutes pour que je me retrouve attacher. Comment ne pas éprouver ce sentiment, ce sentiment de mal être, d'impuissance face à ses hommes, même moi je ne pouvais pas répondre a ça. Je s’avais que je n'allais pas aimer cette journée, se faire regarder par des hommes avide de sexe, la langue qui pend, les yeux qui brillent, rien que de les regarder j’avais envie de vomir mais, aussi une honte, honte d'être presque nue devant eux attacher. C'étaient pour eux un fantasme d'avoir une neko attachée presque nue. À peine j’ouvris les yeux qu'un des hommes s'approcha d'elle et enleva le peu de vêtements qu'il lui restait. Je me mis à crier très fort pour qu'il arrête mais, il continua, pour finir j’étais nue, les larmes aux yeux. Je voulais une personne pour l'aider, pour s'évader de cet endroit horrible. A cet instant je ne voulais plus vivre, je voulais rejoindre celle qu'elle aimait et qui est morte, pouvoir être de nouveau avec elle. Je ne pouvais pas expliquer pourquoi mais, j’étais énervée, ça se voit dans mes yeux, un homme s'approche de moi, le doigt tendue, grossière erreur. Je lui souris et lui mordis le doigt jusqu'à sang mais, Je prends très vite un coup de fouet. Je criais et saignais mais, a force j’avais un peu l'habitude jusqu'à ce que je vis une femme, je la regarde les larmes aux yeux et lui demanda de l'aide, je n'avais pas l'habitude de demander ça mais, il le faillait.

Après que la jeune femme me sauva, je reculais un peu par peur mais, très vite elle vient vers moi et me caressa la joue. J'étais toute rouge mais j'appréciai le contact doux et chaud de sa main. S'avance doucement vers elle, me colle en ronronnant toujours les larmes aux yeux à cause de ce qui vient se passer. Je venais de revivre ce qui c’étais passé il y a longtemps, cette journée pour moi était un cauchemar jusqu'à ce qu'un ange vienne me sauver et cet ange c’étais cette fille.

« Je ... je ...m'appelle Alana... et je ... me suis... enfuis du marcher ... des esclaves... »

On pouvait facilement remarquer ma timidité et aussi le fait que j'étais nerveuse. Je ne pouvais pas quitter ses bras je m'y sentais vraiment bien a par le fait que je tremblais de froid.

« Ai ...aide moi ...s'il te plaît, je ne veux pas retourner là-bas. Je ne veux pas revoir des hommes comme eux. Je ferais ce que tu voudras mais s'il te plait me ramène pas là-bas. Si je dois te donner mon corps, mon ame ou autre chose je le ferais. »

J'étais étonné de ce que je venais de dire mais, si c'était comme ça que je pouvais être libre des hommes, je préférais être commandé par une femme qu'un homme car, une femme est douce, gentille... enfin en apparence c'est peut-être le contraire à l'intérieur mais, je ne sais pas comment l'expliquer cette femme m'inspirait de la douceur, câline, gentille, tout ce qu'on pouvait apprécier.

Rien qu’en entendant ça voix, je l’ai trouvé charmante, rassurante, affectueuse, je ne voilais pas la quitter. J’aimais sa voix, ses gestes, tout j’avais trouvé la maitresse parfaite a mes yeux rien que dis penser je pleurer de joie.

« Subaky-sama ? D’accord, je vous serais fidèle et obéissante mais suis-je obliger de vous vouvoyais ? Car je n’ai pas trop l’habitude, si je dois je le ferais mais c’est juste une question. »

Puis elle me prit dans ses bras, quel bonheur d’avoir de la douceur et de la chaleur, oui en effet elle m’avait fais un bisou a ma nuque une des partie sensible, tellement que j’en rigoler et aussi qui m’exister.

Puis elle m’emmena jusque chez elle, a peine rentrer j’étais éblouis par la beauté de la maison, elle était grande, spacieuse… quoi de mieux rêver pour être libre dans un sens. Puis elle m’indiqua la salle de bain, une salle de bain ? Qu’est ce que c’est une salle de bain ? Quand je rentrais dedans je voyais un carré avec des vitres transparent ca devais être la douche et il y avait un losange creux a l’intérieur surement le bain. Pendant qu’elle aller chercher j’entrai dans l’eau avec peur et doucement mais finalement je finir par faire un soupire du a la douceur que cella procurer. Je m’amuser a prendre de l’eau ou la mousse dans mes mains car je ne s’avais pas ce que c’étais mais c’étais marrant. Mais un problème arriva.

« Zubaky-sama je fais quoi âpres ? Je n’ai pas l’habitude de cette chose que vous appeler un bain. Vous pourriez m’aider ? »

Mais âpres ceci, la colère l’avais envahi, je ne s’avais plus quoi faire. A ce moment la, je ne voulais plus vivre, la personne a qui je faisais confiance, que j’adoré, que je considérais de quelqu’un d’important et a cause de moi elle était fâchée et elle devient même violente. La preuve elle me mordit la lèvre, j’avais les larmes aux yeux. Je n’y crois pas elle est comme ces hommes au moins moi qui croyais le contraire. Puis âpres ces mots dit elle me donna une gifle.

« Je t’ai dis que j’étais désoler, je sais je n’aurais pas du te mentir mais tu n’as pas vécu tout les choses que j’ai pu voir et que j’ai pu traverser, je ne t’ai pas dis tout ce qui c’est passé durant mon enfance. Toi, tu as eu peut être une enfance heureuse comme tu l’es maitre ici mais… mais sache que je commencer à éprouver des sentiments pour toi… mais la... »

Je n’ai même pas eu le temps de finir ma phrase que je reçois encore un claque. Quand j’entendis ses paroles mes poings se serrent, ma colère se lit sur mon visage. Comme je ne voulais pas lui faire du mal, je décide de frapper le mur et lui dis.

« Je ne suis même pas capable de te frapper même après ce que tu viens de me faire. J’éprouve de la haine en vers moi. Et je préférais mourir que de retourner dans cet enfer. »

Je quitte le bain et me met genou en demandant pardon et je réclamer même des coups de fouettes même si ça me rappeler des mauvais souvenirs.

« S’il te plaît, je te promets de ne plus te mentir. Si tu me renvois là bas, je me tuerais au moins comme ça je rejoindrai mes parents et aussi celle que j’ai aimé et qui est morte et que je n’ai même pas pu sauver car … Comme c’est toi qui commande choisi si tu veux me ramener ou pas. Mais sache que je ne suis pas du genre à me laisser faire mais je peux comme même obéir. Mais, sache que tu étais la première a qui je faisais confiance, je n’avais pas autant fais confiance depuis quatre ans»

Je me rhabille et commença à partir.

Danser et chanter avec Zubaky étais génial jusqu'à ce que je glisse sur le savon et tomba finalement par terre mais, j’étais tellement morte de rire que je ne sentis même pas la douleur. J’ai adoré ce moment avec elle en plus elle à une voix magnifique. Après m’être relevé avec du mal car a danser mes jambes était fatigué. Je regardais Zubaky et la remercia pour ce moment mais, à peine fini de dire ma phrase que mon ventre crié famine.

« Gomen, ça fais plusieurs jours que je n’ai pas mangé ou du moins je n’ai pas énormément mangé. Tu veux aussi que je te prépare quelque chose ? Et comme je n’ai pas envie de salir le kimono que tu m’as offert, je ferai la cuisine en tablier et avec rien en dessus. On sait jamais tu aurais peut être envie d’un désert, lui fais un clin d’œil »

Je me dirige toute souriante dans ses bras pour un câlin, la regarde yeux dans les yeux et lui dis finalement qu’elle avait une voix magnifique, qui ce qualifie par des tons doux et calme mais aussi, que je pouvais m’endormir avec ou que je peux l’écouter pendant des heures, je ne m’en lacerai jamais. J’approche mes lèvres des siennes et l’embrassa et pour finalement lui murmurais que je l’aimer et aussi qu’elle était magnifique.

Je lui pris la main et l’emmena dans la cuisine. Arriver dedans je me déshabille lentement pour que Zubaky vois mon corps. J’enfile le tablier et me tourna vers elle.

« Tu veux manger quoi Zubaky ? »

(J'aime ton nouveau Kit ^^)

Comme on dit, plus on est de fou plus on rit, bah deux folle ont suffit pour rechauffe l'air de la salle de bain. On chantait comme des folles et dansait comme des possedees. On rigolait et le tout faisait un vacarme d'enfer. Je suis sure que les voisins ont tout entendu ! Mais qu'ils aillent au Diable ! Moi je m'en fiche, dans ses moments la je suis moi, et rien de plus que moi meme ! C'est ce qui m'importe le plus au monde ! Je veux etre moi, je veux me sentir libre de mes obligations et libre de tout sermond.

Notre chant se finissa quand la pauvre Mia marcha sur le savon que je n'avais pas reussis a reprendre, elle tomba sur les fesses, je rigolais tout en me demandant si elle allait bien. Mais en peu de temps son rire revint parfumer l'air ambiant. Je ne m'en fis pas, elle se releva, mais je sentis en fond d'elle de la fatigue. Je m'arreta de rire et de danser. J'eteignais le poste et j'entendis un hurlement : cela venait du ventre de ma pauvre esclave affamee.

J'avais completement oublier qu'elle n'etait pas chez moi hier et que je manquais a toutes mes responsabilitees. Je reflehissais a quoi lui preparer quand elle annonca qu'elle ferai elle meme la cuisine... Juste avec un tablier et rien d'autre. Je sens que je vais me regaler ! Autant pour les yeux que pour la bouche ! J'ai hate ! Je souris pour le dessert et lui repondis avec une voix seductrice avec un ronronnant sexy :


Je la regardais toute souriante, avec une assurance visible sur mon visage. Je suis sure que ca lui plairais. Mon esclave me fit un calin, je la serra contre moi aussi. Elle leva les yeux pour regarder les miens. Elle me complimenta : une voix magnifique, que j'etais belle et qu'elle m'aimait. Pour la derniere chose je ne fis pas gaffe sinon je risque de nouveau de deprimer. Elle m'embrassa et me prit la main, j'aime le contact des docues levres contre les miennes, a la fois chaudes et humides, d'un doux parfum mais aussi d'un ardent de desir... C'est un grand tout un baiser, cela peut faire du bien comme du mal..

Mia m'emmena dans ma belle cuisine. Immense avec tout le outils necessaire pour ne pas faire trop de boulot. Un four, des plaques, des ustensils divers et varies sans oublier le micro onde et le frigo. Tout etait la, de la meme couleur, unis et beau ! Je suis heureuse que mon chez moi soit enfin en ordre ! Enfin, chez nous ! Je ne suis pas seule ici ! Je suis sure que cette maison leur plait aussi.

Un tablier etait accroche sur un porte manteau qui est sur la porte, je le pris pendant que Mia se dehabillait devant moi. Je regardais, me rincant l'oeil, parfois, juste pour jouer, lui massait les fesses. C'est pas mechant c'est juste pour jouer. Elle mit le tablier et la je sentis le desir monter...C'est tout meme sexy un tablier finalement !(Ce fut ma pensee intelligente du jour). Il y avait ecris dessus " Je ne suis pas une lumiere, mais je m'applique !" (reference a la blague preferee demon pere) Je repondis a la question de Mia en ayant un doigt sur la bouche en en faisant semblant de reflechir :


Je lui souris en la regardant s'activer. Je veux la deranger pendant qu'elle cuisine..! Je commencais a la prendre dans mes bras, moi dans son dos, mes mains sur son ventre, la derangeant le plus possible quand elle bouge. Parfois je massais ses petites fesses et mordillais sa petite queue de chat... Ou j'allais carrement a la poitrine. Tout cela est un jeu, juste pour l'embeter et la voir raler car je la derange ! (Un enorme clin d'oeil a un garcon que je connais bien XD)

Je mordillais son cou, doucement, comme un vampire qui joue avec sa proie, le lechais comme si c'etait un bonbon et l'embrassais comme si c'etait les levres de mon bien aime. Parfois, je re-ajustais le feu qui etait trop fort ou ajoutais quelque aromates. Mais pas souvenet, elle se debrouille tres bien. Parfois meme je passais une mains sur son intinite, mais pas fort, la toucher comme si c'etait une plume. Je joue ! J'aime jouer !

Elle me répondit, je souris et lui expliqua que si elle me voulait en entré, en plat et au dessert il ne restera plus rien. Je m’approche d’elle et lui dis en caressant sa joue que ca me convenais qu’elle me manger mais qu’elle devra attendre la fin du repas.

« Je vais te faire ma spécialité, une escalope à la crème avec des pâtes. J’espère que tu aimeras »

Je m’avance vers le gaz et commença a préparé la crème au quelle j’ajoute l’escalope, ensuite, je mis de l’eau dans une casserole. Tout à coup Zubaky me pris dans ses bras je ronronnais tout en continuant de préparer le repas. Elle caressa mon ventre, ce qui chez moi est une parti qui m’exister, la preuve je commençais à mouiller. En faites tout ce qu’elle faisait m’exister à tel point que je ne pouvais plus attendre.

« De...désoler Zubaky mais j’en peux plus, je ne peux pas attendre. Tant pis pour le repas on le mangera après.»

J’éteins le gaz, débarrasse la table pour qu’il n’y a plus rien. Je me déshabille et vas vers Zubaky. Je place mes mains sur ses joue et l’embrassa langoureusement. Tout en l’embrassant je recule avec elle vers la table. Pour finir je m’allonge dessus, rouge comme une tomate.

« Zubaky …prend…prend ma virginité… en guise de remerciement pour m’avoir offert un toit, une nouvelle vie. »

" Zubaky tu es si jolie et je sais que pour toi ça sera difficile a retomber amoureuse. Je te comprend j'ai vecu la même chose jusqu'a ce que je te recontre. Je t'en fais deja beacoup pour toi ah bon ?! tu veux bien m'expliquer pourquoi?"

Rien que de me toucher, elle m'existait d'avantage. J'avance mes mains doucement et tremblante vers elle. Je les posent sur son dos et les descenda puis les passa devant enfin de defaire le noeud de sa robe. Ensuite je descend tout en caressant son corps. J'attrape le bas de sa robe et la remonte enfin qu'elle puisse l'enlevait. Puis tout en l'embrassant, je degraffe son soutient-gorge et enleva sa culotte. Je la prend dans mes bras et la retourne pour qu'elle sois sur la table et moi au dessus . je me penche vers sa poitrine pour finalement, lecher ses tetons.

"Zubaky tu aime? tu en veux plus?"

Je continue tout en descendant doucement ma main vers son entre jambes. Je commence a caresser son sexe et a mordiller un peu ses tetons pour les faire pointer.

"Si tu n'aime pas quelque chose dis le moi, je veux pas te faire du mal."

Je sentais en elle l'excitation et surtout le désir d'aller un peu plus loin, de me manger. Je ne sais pas ce qu'elle veut exactement, je ne m'y connais pas trop dans ce domaine, car c'est la première fois avec une femme, testons ! C'est tout de même une expérience comme une autre non ? Et puis je n'ai pas d'amoureux pour me le reprocher... C'est interessant de voir comment réagit une autre fille a l'amour brute.

Mia me disait que j'étais belle, regrettant presque que je ne puisse plus tomber amoureuse d'elle. Mais j'ai tellement souffert là dedans que je ne veux pas y remettre les pieds. C'est tout de même traumatisant de tuer sa propre âme sœur. J'en ai que trop souffert de cette chose qui devait me rendre heureuse. Ce fut le cas pendant un laps de temps, maintenant, cela m'a détruite niveau cœur. Mais cela ne veut pas dire que je peux aimer autrement.

Mon esclave ne sait pas ce qu'elle a fait pour que je lui en sois redevable. Elle m'a fait rire, écrasé tendrement les larmes qui couraient sur ma joue, me cuisine un petit plat et surtout elle pourra m'apprendre la guitare, me jouer du piano...! C'est tout de même le pied pour une femme telle que moi. C'est bien sur un coup de chance, mais comme quoi, le hasard fait bien les choses.


Je souris tout en continuant mes actions, parfois je la léchais, avidement, comme si je voulais la manger. J'aime beaucoup cette image car quand une fille veut un autre être, elle le veut au plus profond de sois, comme s'il faisait un avec elle. On sent un vide en nous et cela nous donne envie de le combler grâce a l'amour de l'autre en question. Enfin, c'est ce que je ressens...

Mon valet en avait marre et en voulait plus, doucement, un peu peureuse, elle m'enleva mes habits. Elle touchait mon corps tout en le scrutant, regardant ses imperfections et ses plus beau détails. Je regardais le siens, sentais sa peau douce et lisse sous mes mains avides de chaleur. Je regardais son beau visage qui commençait a rougir sous l'effet du désir. Je la regardais, comme une enfant, plein de compassion et d'amour maternel. Elle me prit dans ses bras pour me renverser, la laissant jouir de la position forte, celle du dessus.

Mia mangea ma poitrine goulument, la mordilla, la suçota, la lécha. Cela me faisait aussi rougir de plaisir. Je me laissa aller au désir et au plaisir procuré, laissant même ma bouche crier sous ses coups de langues expertes. Je n'arrivais pas a répondre a sa question, cherchant un peu l'air et en brassant le vide a la recherche de son corps. Elle continua a descendre, me touchant l'intimité, caressant doucement sans me faire mal. Je pense qu'elle doit déjà sentir sa main se mouiller sous les caresses tellement sensuelles et plaisantes.

Je pris ma belle dans mes bras, je m'assis, la mettant à califourchon sur moi. Elle a toutes les portes ouvertes pour me faire du bien, je lui laisse assez d'espace pour se hisser vers les parties sensibles. Je l'embrassais, affamée, rendant les baisers plus hardant en mettant ma main sur l'arrière de sa tête. Je lui léchais les lèvres, les mordillais, parfois, ressentant le besoin de gémir, je le faisais. Pourquoi se retenir, cela fait du bien de crier, laissant le plaisir se faufiler partout dans le corps et le décontracter. Sinon, si on veut le faire sans son, on est crispée et le plaisir n'est que plus rare et moins fort.

Je passais mes mains partout sur son corps, son ventre, son nombril, sa poitrine qui en demandait toujours plus, puis je descendis ma main plus bas... touchant son intimité avec une tendresse et une douceur orgasmique. Je jouais un peu avec son clitoris tout en constatant que le doux liquide sortait déjà de son antre... Je mouilla mes doigts grâce a mes caresses, puis vins en elle doucement.... Car c'est une vierge, je pourrais lui faire mal.


Une main en elle, une autre sur sa poitrine à jouer avec ses tétons et une bouche baisant son cou et son visage... Je suis très dur a contenté, mais faire plaisir aux autres, cela n'est pas un problème.

Je rougis à ses paroles, je n’étais peut être rien pour certaines personnes mais pour moi c’étais important. Je voulais qu’elle sache qu’avec moi elle n’avait rien à craindre, que je la protégerai, je ferai tout pour elle, elle qui m’a tant aider.

« Zubaky je vais te raconter ce qui sais passer, j’ai besoin de la dire à une personne confiante. Et je sais que tu l’es car tu m’as sauvé. Ça fais deux ans que mon âme-sœur est morte d’une maladie, c’était une humaine, elle était vraiment tout pour moi. Et un jour alors que mon maitre m’avais punie, elle…elle était à l’hôpital, elle s’était fait renverser par une voiture. J’ai désobéi à mon maitre, j’ai eu cette cicatrice comme ça mais ca m’a pas empêcher de courir la voir, dans sa chambre. Je lui es tenue la main, elle m’avait prononcé c’est mots la : Je veux que vive heureuse même si je suis plus la. Et…et la elle a fermé les yeux et a souris… et elle est morte a cause de ses blessures. Et je n’étais pas la pour la sauver ! J’en ai voulu à mon maitre, à telle point que…qu’en rentrant je l’ai tué et je me suis enfuis. »

Je ne verser aucunes larmes car je penser au plaisir que me procurer Zubaky qui m’avait mis sur elle ç califourchon. Un frison parcourais tout mon corps au contact des ses mains, de ses caresses surtout quand elle était a mon intimité. J’avais la tête penché en arrière, je respirais fort. Je lui murmurais que j’en voulais plus et qu’elle pouvait continuer.

« Zu...Zubaky ne t’inquiète pas tu peux continuer ‘ai eu pire dans ma vie de neko, lui souris, mais évite le mot ma fille, ça me rappelle de mauvais souvenir, ce n’est pas grave et je crié haut et fort ton nom. J’ai moi plaisir, j’ai moi jouir Zubaky »

Je bougeais mon bassin très vite, mes tétons durci commençaient à perlé, du lait en sortais. J’étais toute rouge et je lui disais que c’étais normal pour le lait et que si elle voulait elle pouvais le boire.

J’aimais ce qu’elle me faisait, j’aimais ce plaisir qui pour moi étais une premier dans ma pauvre vie de neko. Je n’en pouvais plus, j’étais obliger de m’allonger et de lever mon bassin pour éprouver plus de plaisir, jusqu'à jouir bruyamment le nom de ma maitresse. Je pose mon bassin à plat, respirant très fort, remerciant Zubaky pour ce qu’elle venait de me faire. Je la regarde en lui disant que si je n’étais pas fatiguer et que si je n’avais pas faim on aurait continué.

Après cela je me dirige vers elle et l’embrassa. Après avoir fini le baiser je me rhabille et je me remets à faire de la cuisine.

« Tout ça ma trop donner faim, tu veux toujours manger Zubaky ? Et pour ce que je t’ai raconté, ne t’inquiète pas je ne ferais pas de mal à Shiro. Je ferais même des efforts pour m’entendre avec lui, un homme. Et ce qui est pour toi, met mon doigt devant la bouche de Zubaky, je ne te ferais jamais de mal car je t’aime mais ca tu le sais. Pour ce qui est de ta gorge, je ne lui ferais rien, elle est si douce, si… comme tout le reste d’ailleurs, je ne peux pas blesser ce corps magnifique ou je peux poser des baisers des... désoler je m’égare. Et pour le cœur, je te promets que tu m’aime ou non, je ne te blesserai pas à ce niveau là. Pour moi la haine ne fait qu’engendrais la haine et se battre ne résume à rien. Pour mon ancien maitre j’étais obligé. »

Je regarde par la fenêtre, j’avais un regarde vide, mélancolique et qui briller comme si j’allais pleurer. Je me ressaisi et prépara finalement deux bonne crêpe avec du Nutella, accompagné dessus d’une boule de glace vanille et de chantilly. Je fais signe à Zubaky de s’assoir et lui posa son assiette, lui serre un verre. Je remets le kimono et m’assoie, attendant la réaction de Zubaky pour ce desert.

Je ne voyais pas se que Zubaky faisait car comme je cuisiner pour elle, j’étais un peu de dos. Puis quand elle alla vers le robinet, cela ma surpris et par conséquence je me brule le bras. Je le passe sous le robinet en grimaçant de douleur car ça bruler.

« J’aime bien que tu m’appelle mon ange, toute rouge, pour ce qui est de l’amour, je comprends, mon regard deviens triste. Je ferais tout pour te rendre heureuse et que tu oublie le passé »

J’allais chercher la trousse de secoure, l’ouvrir pour chercher de la pommade que j’étale sur ma blessure. Puis je pris les bandes pour faire un bandage. Pendant ce temps la Zubaky se régala et à peine elle avait fini que je pris un torchon pour essuyé son visage, mais pour la bouche je préférais la lécher.

« Ne t’inquiète pas pour moi, je peux manger après et ce regard je l’ai à chaque fois que je repense à la mort de Tomoyo, elle était un peu comme toi, une humaine qui avais soufraire de violence avec les hommes qui grâce à moi avais retrouvé gout à la vie, qui s’avais de nouveau aimé, faire confiance, et aussi enfin surtout qu’elle n’essayé plus de se suicider. »

Elle me demanda ce qui me ferai plaisir, elle la disait d’une voix douce, rassurante, mais comment lui répondre alors que moi-même je ne s’avais pas quoi lui dire.

« ba heu je sais pas, surprends moi, le sourire au lèvres »