Sauvez moi [pv: Zubaky-sama]

Je n'avais pas entendu le râle de ma soubrette lorsque celle-ci s'était brûlée, mais je le compris rapidement en la voyant filer vers le robinet et mettre de l'eau dessus. J'étais assise sur ma chaise à la regarder. Je sais qu'elle est assez grande pour s'occuper d'elle toute seule, et elle a une assez grande connaissance de la maison pour pouvoir se soigner par elle même. Elle s'adresse à moi aussi, alors la politesse me dicte de l'écouter. J'écoutais tout en réservant mes réponses. Avant que je ne puisse lui répondre, elle partit dans l'autre pièce pour chercher le matériel de soin. Pendant qu'elle s'amusait à se mettre du bandage, je répondis :

- Peut être tu y arrivera
Mais je suis plutôt septique ma belle.
Je pense que tu as aussi essuyé des défaites dans ce domaine
Mais moi, c'est pas une bataille que j'ai perdu, mais bien la guerre.

Après mes paroles et ses soins, elle vint me laver le visage, car comme à ma fâcheuse habitude, je m'en suis mits partout. J'ai du chocolat fondu sur le front comme sur les joues, sans oublier les tâches de vanille un peu partout. C'est un tique chez moi, je n'arrive pas à manger une glace ou du chocolat sans m'en foutre partout. Même lors des cours à la cours de Louis XIV, c'est la seule chose que je n'arrivais pas à faire. Mes gouvernantes ont vite arrêté, cela était peine perdue.

Elle me lécha goulument le pourtour des lèvres, m'embrassant à la moindre occasion. Je sentais en moi le plaisir monter et le désir augmentait au fur et à mesure que mon cœur battait plus vite. J'avais envie de nouveau de lui faire plaisir et surtout que moi aussi je puisse avoir quelque chose. Mais ,coupée dans mon élan d'envie, elle se sépara de moi et me parla. Un peu déçue, je l'écoutais tout en regardant parfois dans les zones que je trouve attrayante de son corps.

- Peut être nous nous ressemblons,
Je ne sais pas je ne la connais pas.
Même ayant vécu des moments difficiles,
Je ne pense pas qu'elle ai souffert autant que moi.
Mon ange, caresse sa joue, ce n'est pas la peine de nous comparer
Cela ne te fais que du mal. N'y pense plus, mais rappelle toi des bon moment
Rappelle toi ce qui te faisais sourire chez elle et elle vivra dans tes pensées..
Dans ton cœur.
Moi je ne veux pas encore me relever, je veux encore pleurer en secret,
Me cacher du monde, montrer que je suis forte, mais malgré mon armure
Je frissonne et pleure sous ma cuirasse.
Je vis ainsi, et je m'en remettrai, un moment, mais je me relèverais.

Je pris le tablier et commença à réfléchir sur la recette que je pouvais lui faire. Dessert ? Repas ? Humm, je ne sais pas encore. Dessert ça passe mieux je pense... J'ai trouvé ! Tout en cherchant dans ma cuisine dans divers placards, je ramassais de quoi faire de la pâte à beignet et de la soupe aux légumes. Je sortis aussi de la compote de pomme déjà toute faite. Tout en massant la pâte, je faisais réchauffé la soupe. Rapidement, tout se fut et Mia eut son repas en vingt minutes.

- Moi j'ai toujours appris à manger les beignets avec la soupe.
Soit on les trempait dedans, soit on en mange après la soupe avec la compote.
Ou les deux en même temps...

Je pris un beignet ( non sucré) et le plongea dans la soupe juste pour le bon gout, je l'engloutis.

HRP : C'est ce qu'on fait en Alsace, c'est trop bonnnnn :3

J’écouter ma maitresse comme ferais un esclave. Je ferme mes yeux au contact de la main de Zubaky sur ma joue. Elle allait voir à quel point j’étais têtue comme une mule. Je lui disais que je ne l’oublierais jamais mais que j’aimerais refaire ma vie c’est ceux que voulais Tomoyo. Mais que je voulais surtout faire ma vie avec une seule et unique personne et cette personne était Zubaky. Je s’avais quel ne répondrait pas ou si elle le fait c’est pour me dire quelle ne peux pas, si il le faut je patienterai car je l’aime.

Je regardais Zubaky en train de cuisiner. Je regarde son magnifique corps qui me donnais envie, tellement, que j’ai du secoué ma tête pour me ressaisir sauf que je continuer à mouiller est ca je ne pouvais rien faire pour que ca s’arrête. Je faisais tout pour pas que Zubaky s’en aperçoit pas. Puis elle posa les assiettes devant moi. Je regardais le plat dans tout les sens, je n’avais jamais vu ça au par avant.

« Je ne connais pas mais j’ai envie d’y gouter ça à l’air bon »

Je goute en mordillent un petite bouché puis j’avale ca goulument, c’étais vraiment délicieux en à peine 5 minute les assiettes étais vide. Puis je me lève et vas voir Zubaky. Je la prends dans mes bras, j’amène sa main entre mes jambes. Je lui murmure que j’en avais encore envie. Je lui souris et alla dans sa chambre, m’allonger sur le lit, les jambes écartées.

Je voyais mon esclave avaler mes beignets, non avec dégout mais bien avec plaisir ! J'étais heureuse de la voir aimer cela, mais bon, qui n'aime pas les beignets ? Celui qui n'aime pas se désigne !! Et puis, rien n'est meilleur que ceux qui sont fait maison... Avec la bonne pâte qui parfume la maison lors de sa cuisson, la compote 100% naturel et surtout la soupe de légumes venant du jardin. Plus frais, plus bio, cela n'existe pas, malheureusement, il est très pointé du doigt par les jeunes ( ou vieilles) femmes qui tentent désespérément de résister à cette tendre sucrerie, de peur de voir leur corps s'élargir... C'est moche pour elles !

Finalement, je savourais de voir que mon esclave prenait son pied en mangeant ma nourriture. Mais aujourd'hui est un jour de fête. Sinon, plus tard, je veux un repas soigné et équilibré. Autant faire ma chieuse plus tard pour garder les réjouissances au rendez-vous ! J'étais appuyé contre le comptoir de ma cuisinière, les bras croisés. Mia vint vers moi et prit ma main, elle montrait qu'elle voulait de moi, enfin c'est ce que j'ai compris en sentant sous mes doigts le doux liquide qui sortait de son antre. Sensuellement, elle sourit et partit en direction de la chambre...

J'ai l'impression qu'elle y a très vite pris gout... peut être sera t-elle plus gourmande que moi encore ? On aura tout vu, maintenant c'est les esclaves qui devancent les maitres en terme de sexualité ?? Je vais lui montrer que c'est bien moi la meilleure. J'étais encore adossée, réfléchissant à ce que pouvait lui faire pour se retenir un peu... Je bougeais dans ma maison, allant d'une pièce à une autre, cherchant dans des tiroirs des choses encore inconnues... Finalement, après mon long voyage, je monta à l'étage. Je voyais mon esclave se languir sur mon lit.

Une bouffé de chaleur monta en moi en voyant ce cher bout de chou me demander grâce et surtout du plaisir..! Je me rapprocha d'elle, mais avant, je mis mes trouvailles dans un tiroir, sans qu'elle ne put le voir bien sur. Puis, sensuellement, je m'approcha d'elle, lui laissant admirer mon décolleté tellement je me baissais. Rapidement, j'étais sur ses lèvres, moi au dessus, elle en dessous. Ballet de morsure sur le cou, valse de main, tango de langue et surtout, apparition de suçon sur sa délicate peau. Finalement, je vins lui mâchouiller les lobes d'oreilles, je lui souffla pour qu'elle m'entende :

- Je vais te montrer ce qu'un maitre fait à son esclave...
Je vais te montrer que donner envie à un maitre n'est pas toujours bon..

Sur ce, je lui menotta les main à la tête de lit... la laissant à ma portée et faire ce que je veux d'elle....

[size=12]J’aimais plus que tous ces gestes sur moi, ses bisous. J’éprouver vraiment de l’amour pour elle, peu importe ce qu’elle me faisait j’aimer. Elle me souffla tout en caressant mon corps qui frémit. J’étais toute rouge quand je vis qu’elle m’avait attaché au lit avec des menottes mais en même temps le plaisir monter encore plus.

[size=12]J’essayais de lui dire quelque chose mais je n’arrivais pas à les faire sortir, sortir de simple mots qui représente peut être beaucoup. Je ferme les yeux, respire un bon coup et dis d’une petite voix

« Zubaky après j’aimerai te donner du plaisir aussi je te dois bien ca »

Je tourne ma tête, j’avais honte de dire sa à un mai… non a Zubaky. La personne a qui je dois tout, la personne qui ma sauver, qui ma offert un toit, la personne qui m’a appris de nouveau à faire confiance…

Je ne pouvais plus attendre, je pris Zubaky entre mes jambes. Nos visage étais presque coller, je lui souris et lui que je n’aime que elle. Puis je l’embrasse langoureusement. J’avais oublié de cacher la bague qu’il y avait autour de mon cou, c’étais une surprise pour Zubaky. La bague étais plutôt une alliance en argent avec au milieu une ligne avec des traits de travers graver.

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Je sentais en elle le plaisir monter et surtout le désir d'avoir du plaisir ( compliqué ? Naan) J'ai l'impression qu'elle aime être menottée. Cela est un bon point ! Déjà elle n'a pas froid au yeux, mais surtout elle a une confiance aveugle... Le premier jour !! C'est assez hallucinant !! A la fois étonnée et remotivée, je me plaça sur ses hanches. J'enlevais tout ses habits lui laissant seulement ses sous vêtements. Je reluquais son corps parfait... J'avais envie de le croquer, de le faire plier sous le plaisir et surtout de le faire frémir sous mes caresses. Je lui souris et l'embrassa. Finalement, elle réussit à me dire qu'elle voulait aussi mon plaisir... Pourquoi le demande t-elle ? N'est-ce pas obligatoire ? Je souris avant de l'embrasser :

- C'est pas dans le forfait "amour" ça ?
Si tu ne m'en fais pas, tu n'es pas digne de moi...
C'est pas à l'esclave de faire plaisir à son maitre ?
Et non l'inverse obligatoirement !
Je te chouchouterai jusqu'au moment où tu sera habituée à la maison.
Après je serais un peu moins gentille.

Mia me ramena à elle, elle en avait tellement envie qu'elle mouillait déjà sans que je la touche. C'est même pas drôle... Bref, elle m'embrassa langoureusement, et moi je lui répondais tout aussi ardemment. Je lui caressais le buste puis descendais dans son décolleté où je découvris une bague comme collier. Je ne broncha pas et continua ma route... Une main s'arrêta sur sa poitrine, l'autre se baladait sur son corps chaud... J'arrêtais nos baisers et je m'attaqua à sa poitrine. Je mordillais, parfois beaucoup trop fort, suçotais, léchais.. Mon autre main griffait de temps en temps son dos qui laissait des sillons rouges sur sa belle peau.

Je ne sais pas si je vais la faire languir... je ne sais pas si je vais faire des choses qu'elle n'aimerai pas. mais je veux lui montrer qui est le chef !