Une esclave plutôt enthousiaste...[PV Ren Odori]

Cela faisait plusieurs jours que Léonie s'était éveillée dans ce marché aux esclaves. La dernière chose dont elle se souvenait était son avion perdant de l'altitude (et des fesses du steward, mais c'est une autre histoire.). Ensuite plus rien, jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux sur ce nouveau monde brûlant. Autour d'elle, d'autres jeunes femmes et jeunes hommes effrayés, faibles, qui chuchotaient entre eux qu'ils étaient tombés en Enfer. Des humains, et même des créatures étranges, à forme humaine mais dotés d'attributs animaux... Mais où diable était-elle tombée ? Bientôt, elle comprit qu'elle était gardée en vie pour être vendue comme esclaves à d'autres êtres, dont la cruauté et la lubricité atteignaient des sommets... Toute la crainte de Léonie disparu alors pour donner naissance à un autre sentiment, un sentiment de puissance et de soulagement... Ici, le vice semblait maître de tout. Une jeune obsédée comme elle pouvait-elle rêver de mieux ? Une chose était sûre : Si elle voulait s'en sortir, elle devait se débrouiller pour être vendue à un démon qui s'occuperait d'elle...de toutes les manières possibles.

Ce matin-là, justement, on vint la chercher avec d'autres esclaves. Il leur fut demandé de se rendre expressément à la Salle de Vente où ils auraient peut être la chance d'être choisis par un potentiel maître. Toute excitée, contrairement à ses camarades, la jeune femme fit de son mieux pour se rendre présentable. Ici, pas de miroir, mais elle avait conscience que quelques jours sans bain enfermée avec d'autres êtres ne l'avaient sûrement pas embellie... Tandis qu'elle suivait le flot de détenus qui traînaient des pieds pour aller à la Salle de Vente, Léo entreprit de se frotter le visage pour en faire disparaître la crasse et de démêler ses longs cheveux de nuit avec ses doigts. Elle lissa et tapota sa robe autrefois immaculée, qui, déchirée, laissait entrevoir des parties plutôt intéressantes de son anatomie.

Elle s'aligna à côté des autres esclaves, s'efforçant d'avoir l'air fragile et dépitée : le regard baissé, quelques larmes perlant au bout de ses longs cils noirs, une vue plongeante sur son décolleté impressionnant, elle aurait fait craquer même le plus insensible des vampires.

- Messieurs-dames de Yuutou no Shima, voici notre dernier arrivage d'esclaves. Hybrides, humains, nous avons de tout. C'est de la qualité ! Clamait l'homme chargé des ventes.

Elle releva légèrement les yeux pour parcourir les potentiels acheteurs. Elle en repéra un, plutôt discret mais pas moins attirant, qui la fixait avec attention de ses yeux rouge sang. Léonie lui rendit son regard. Elle sut aussitôt que derrière ses politesses inhabituelles pour un démon, il était certainement lui aussi pétri de vice et de fantasmes... La jeune femme se redressa un peu, laissant admirer ses formes rondes et voluptueuses, le cœur battant. Serait-elle choisie ? Ne le serait-elle pas ?...

Invité

Et un, et deux, et trois, et quatre, et cinq, et six, et sept et huit !

Ren coordonnait son ballet avec ses danseuses, elles étaient au nombre de sept, toutes habillées en soubrette ou en bikini pour exciter les sens des clients qui viendront les voir. Une seule se démarquait des autres car elles étaient habillés d'une robe en satin rouge qui mettait ses formes en valeur. Elle se déhanchait langoureusement pour les yeux de son maître qui vérifiait chaque détail de la chorégraphie. Ren contemplait ses danseuses d'un air ravi et charmé, ses belles jeunes filles lui offrant un spectacle grandiose qui promettait d'être mémorable le jour de la représentation. Quatre hybrides étaient en soubrette et se tenaient sur le fond de la scène, jouant avec des chaises et se déshabillant au rythme d'une musique enivrante, deux autres en bikini, des humaines cette fois faisaient du pôle danse en souriant, aguicheuse. Quant à l'autre humaine en robe, elle regardait son maître, se déhanchant avec grâce.

Le numéro était parfait mais Ren avait des doutes sur les capacités de la jeune femme en satin rouge. Elle se débouillait très bien en danse, excitant même son maître mais elle n'avait pas ce regard pétillant, cette malice dans les yeux qui pouvaient réveiller n'importe quelle créature démoniaque. Il manquait quelque chose. Elle avait de belles formes mais sans plus, elle était trop ... normale.

- Stop ! Cela suffit ! Rentrez dans vos loges pour vous changer !

Les jeunes filles soupirèrent mais elles avaient l'habitude, leur maître détestait que quelque chose cloche. Il voulait que tout soit parfait et elles le comprenaient. Il manquait quelque chose à la nouvelle arrivante. Elles s'en allèrent alors, laissant Ren Odori seul sur scène, perdu dans ses pensées, une main sous le menton pour tenter de comprendre qu'est ce qui clochait. Le démon tournait en rond sur scène, réfléchissant. La nouvelle n'était pas si excitante que ça ! Elle n'était pas totalement dans le numéro, se réservant, montrant un masque. Il voulait que ses esclaves et danseuses se lâchent complètement sur scène, qu'elles donnent tout ce qu'elles avaient ! Il fallait en chercher une autre !

Ren prit une chemise noire qu'il mit sur ses épaules et s'en alla, quittant le cabaret pour aller au marché aux esclaves. Il trouverait peut-être une meilleur danseuse là-bas qui sait ? ... Les minutes passèrent où il traversa les rues animées de Yuutou No Shima et arriva enfin au marché aux esclaves où se tenait une vente. Cela tombait bien ! Ren se frotta les mains et attendit que les esclaves soient enfin présentées sur une estrade. Ils arrivèrent enfin, de belles jeunes femmes qui pour la plupart pleurait sur leurs sort, c'était peu intéressant pour lui. Ren était difficile, il en voulait une qui soit enthousiaste mais dans ce monde était bien difficile. Le démon soupira et s'apprêta à partir quand quelque chose attira son regard ...

Quelqu'un devrait-il dire ... Une créature époustouflante qui attisa son regard de démon et l'émerveilla. Ses yeux scrutèrent chaque parcelle de l'anatomie de la jeune femme. Des courbes sensuelles et qui enflamma les sens du démon, une poitrine avantageuse qui l'électrisa, des yeux qui étaient baignés de quelques larmes, ses habits étaient arrachés par endroit, donnant quelques petites vues très alléchantes sur son corps ... Un superbe créature. A peine eut-il posé ses yeux sur elle, il la vit qui le regardait aussi. Il fit un petit mouvement de tête pour la saluer et lui sourit, ses yeux brillèrent de malice et de vice devant une telle apparition. Il lui fallait cette jeune femme dans son cabaret !

Il leva alors une main et les autres se tournèrent vers lui, s'apercevant de sa présence. Le démon passait inaperçu mais il dégageait de lui une énergie vicieuse qui s'échappait de son regard et les démons attendit qu'il parle ...

- J'aimerais cette jeune femme ! Je l'achète à n'importe quel prix.

Les démons le regardèrent avec des yeux ronds, on ne dépensait pas une énorme somme pour des humains. Mais Ren s'en fichait, il la voulait et personne ne lui prendrait cette créature. Il monta sur l'estrade et s'inclina devant la jeune femme, lui prenant la main et la lui baisant, ses yeux rouges sombres plongeant dans ses yeux ...

- Suivez-moi ma chère. Je me nomme Ren Odori, mais appelez moi Odori-sama ...

Puis le démon descendit, lui tenant la main, les autres démons les regardèrent avec outrage, d'autre avec jalousie. Il faut dire que cette humaine avec un corps de rêve et c'est ce qui avait plut à Ren. Il fallait maintenant qu'elle sache danser et elle serait parfaite ...

Léonie continuait à fixer l’homme qu’elle avait repéré avec
intensité. Elle, les yeux bleus foncés, profonds et immenses, tels une mer
abyssale ; Lui, les yeux rouges, de feu et de sang, qui semblaient la brûler
jusqu’au plus profond d’elle-même. La jeune femme s’en sentait transpercée de
toutes parts, et cette simple sensation suffit à exciter la perverse qui
résidait en elle. Il inclina la tête, la saluant, et elle réprima un sourire
satisfait. A la place, elle écarquilla les yeux et baissa la tête de nouveau,
comme gênée par l’attention que lui montrait son potentiel acheteur, et resserra
les épaules. Ce dernier geste était bien évidemment calculé puisqu’il permit de
rehausser ses incroyables seins, comme si elle ne l’avait pas fait exprès. Elle
mettait toujours cet atout en valeur pour être sûre de réussir son coup.

Elle ne sut jamais si ce fut cela qui le décida ou s’il
avait déjà scellé son choix avant, mais l’homme leva alors sa main et déclara d’une
voix puissante et posée qu’il la voulait. Léonie ne pu s’empêcher de sourire
furtivement, vérifiant tout de même par quelques regards en biais que c’était
bien elle l’heureuse élue. Il avait dit « Je l’achète à n’importe quel
prix ! ». N’importe quelle autre fille aurait trouvé cela dégradant,
mais pas Léonie : Elle triomphait. Elle observa avec une folle joie
contenue son sauveur s’approcher et grimper élégamment sur l’estrade. Il s’inclina.
Un peu décontenancée par ce geste, elle n’en fut pas moins ravie. De plus, de l’endroit
où elle se tenait, elle avait une vue alléchante sur la nuque du jeune homme où
batifolaient quelques mèches sombres. Elle s’imaginait déjà y planter des
baisers et y balader ses mains mais il n’en était pas question pour le moment ;
même une obsédée comme elle savait qu’il y avait des instants pour les ébats
érotiques et d’autres pour les affaires sérieuses.

Il prit sa main dans la sienne, et ce simple contact
électrisa la jeune femme. En même temps, depuis combien de temps n’avait-elle
pas touché la peau d’un homme ? Bon, il y avait les quelques esclaves avec
qui elle s’était accommodée mais ça ne comptait pas. Ce n’était pas aussi…excitant.
Les lèvres de son jeune maître s’attardèrent sur le dos de sa main, comme s’il
goûtait sa peau, intensifiant la douce euphorie de la jeune fille. Il plongea
ses yeux dans les siens, et elle rougit de plaisir. Cependant, avec ses yeux
humides et ses mains tremblantes, cela pouvait passer pour de la gêne, voire de
la peur.

Il l’entraîna derrière lui, et ils se frayèrent un chemin à
travers les autres démons, qui semblaient outrés ou moqueurs de voir un de leur
congénère traiter avec tant de manières une vermine de son acabit. Le cœur de
la jeune esclave battait la chamade tant elle se sentait heureuse et soulagée. Il
battait si fort que son nouveau maître (qui lui avait intimé de l’appeler
Odori-Sama) devait sentir son pouls à l’endroit où il tenait son poignet. Mais quel
esclave n’avait pas le cœur battant lorsqu’il découvrait son nouveau maître ?
C’était une réaction plutôt naturelle, en fait. Si seulement c’était de la
crainte…

Tandis qu’ils sortaient de la salle, Léo fit signe de se
débattre faiblement et de s’arrêter, comme si elle refusait qu’il l’emmène. Elle
lui demanda d’une voix faussement tremblante :

- Où m’emmenez-vous, O…Odori-sama ? Que
voulez-vous de moi ?

Intérieurement, elle rêvait qu’il lui réponde quelque chose
comme « Je veux te prendre contre le mur, là tout de suite » mais
elle était également persuadée qu’il ne dirait jamais rien d’aussi cru. Il
avait l’air trop…distingué.

Invité

Ren mena sa nouvelle esclave entre les rangs des démons qui s'écartaient et les laisser passer, reprenant leur attention aux autres esclaves qui se trouvaient sur l'estrade, les prix fusant dans un tumulte grandissant. Ren continua de s'éloigner du marché, tenant toujours par la main sa nouvelle possession pour pouvoir s'entretenir en privé avec elle. Il se tourna vers elle brièvement afin de déposer son regard sur son corps de rêve et ses yeux en brillèrent davantage. Elle possédait une poitrine énorme qui, avec la robe de satin rouge, les mettrait en valeur divinement ! Elle en charmerait plus d'un avec un tel corps, elle avait des fesses bien rebondies, à en donner des complexes à des succubes, une taille aguicheuse et un regard qui exprimait le même sentiment que le démon ...

Il connaissait bien ce genre de regard car il avait le même: pervers et obsédé. Cela se lisait dans les yeux du démon, aussi clairement que la couleur de ses pupilles sombres. Il aimait le plaisir charnel, poser son regard sur les courbes des belles jeunes filles, contempler leur corps avec son regard pénétrant. Ren était très tenté de regarder ce qu'elle portait sous sa robe déchirée en partie, voir ce qu'elle cachait ses quelques morceaux de tissu mais si tout se passait bien, il le verrait dans pas très longtemps. Ren sentit le cœur de la jeune fille battre dans sa poitrine, cela se répercutait sur son poignet mais ce genre de battement trahissait une grande excitation. Mais était-ce de la peur ou bien ... du désir ? Ren ne saurait le dire ...

Alors qu'il traversaient quelques ruelles sombres pour arriver plus rapidement au cabaret, Ren sentit que son esclave se débattait pour qu'il ralentisse avant de s'arrêter. Celui-ci se retourna et lui lâcha la main, plongeant son regard dans ses yeux, s'attardant parfois sur son décolleté si alléchant. Elle s'adressa à lui avec une voix tremblante mais ses yeux exprimaient encore une certaine malice. Elle lui demandait où est-ce qu'il l'emmenait et qu'est-ce qu'il voulait d'elle ... Ren sourit et posa une main sur son épaule ...

Ma chère, je m'excuses. Je ne vous ai même pas dit ce que j'attends de vous ... Voyez-vous, je suis le gérant d'un cabaret et j'ai grand besoin de danseuse qui sont en même temps mes esclaves. Vous avez un corps, ses mains descendit sur sa poitrine, effleurant le haut de ses seins, charmant et excitant pour ne pas vous le cacher, et je voudrais que vous fassiez partie de ma troupe, que vous dansiez pour mes clients.

Tout en parlant, Ren fit passer sa main entre ses seins, les passant à leur creux et passèrent effleurer ses hanches avant de remonter sur son bras et revenir sur son épaule, tout en la contemplant de son regard, un sourire en coin.

- Si vous acceptez, vous aurez tout ce que vous souhaitez, vous vivrez dan sle luxe et vous ne manquerez de rien ... mais en contrepartie, vous devez me payer un certain ... «loyer». Offrez-moi votre corps quand je le désirerais et dansez à mon service, et tout sera à vous ...

Ren s'était rapproché des lèvres de son esclave et effleura ses lèvres et déposa un léger baiser dessus avant de reculer. Il prit alors sa main et la baisa une nouvelle fois avant de se redresser ...

- Puis-je savoir votre nom ma chère ? Je ne connais pas le nom de cette belle créature qui est maintenant mienne ...

Elle était si belle, si attirante et diable que ces ruelles étaient sombres et vides ... Qu'attendait-il pour la prendre ici et maintenant ? Elle lui appartenait maintenant et pouvait lui faire ce qu'il voulait mais il voulait d'abord savoir son nom, ce n'était pas correcte venant de lui d'abuser de son esclave sans même savoir son nom ! Mais d'un autre côté, elle était si excitante ... Ren approcha son corps d'elle, la faisant reculé, acculé contre le mur, sa respiration s'accélérant, le même sourire en coin, malicieux et vicieux. Il aimait les belles femmes et celle-ci le tenait diaboliquement !

Ils s’étaient arrêtés. Face à face passionné, yeux dans les
yeux, feu sanglant dans nuit d’encre… Ou plutôt, dans le décolleté en ce qui
concernait Ren Odori… Depuis le début, même s’il la détaillait sous tous les
angles et aimait à s’attarder sur ses fesses ou ses hanches, il finissait
toujours par jeter de longs regards appuyés et lubriques sur sa poitrine. Mais
comment lui en vouloir ? Même un enfant de cœur n’y aurait résisté…Et
puis, loin de s’en effaroucher, les regards pervers du jeune maître étaient pour Léonie l’essence même de son charme :
plus elle était regardée, plus elle rayonnait.

Silencieusement, elle essayait d’imaginer ce à quoi il
pouvait bien penser… Soutien-gorge ou pas ? Perdu, elle n’en portait
quasiment jamais. En même temps, il était difficile d’en trouver à sa taille…
String ou culotte ? Porte-jarretelles ? Et non, seulement une culotte
des plus basiques, blanche, pour souligner le côté jeune fille innocente.

Sans pour autant cesser de l’observer de haut en bas, il lui
annonça ce qu’il avait l’intention de faire d’elle. Il l’appelait « ma
chère », il la vouvoyait, il semblait prendre mille précautions et avait
revêtu l’attitude d’un parfait gentleman quant à la façon dont il s’adressait à
elle. « Voyez-vous, je suis le gérant d'un cabaret et j'ai grand besoin de
danseuse qui sont en même temps mes esclaves.». Elle ? Danseuse dans un
cabaret ? Les yeux de Léonie étincelèrent. N’était-ce pas le rêve de toute
libertine, de dévoiler tout son sex-appeal lors de danses époustouflantes de
sensualité ? Elle mordilla sa lèvre inférieure, les yeux dans le vague, la
tête pleine de rêves et de douces visions. La jeune esclave revint à la réalité
lorsqu’elle sentit de longs doigts effleurer le haut de ses seins. Elle cligna
des yeux, les baissa vers la main cajoleuse, et les remonta lentement vers le
visage du jeune démon. « Vous avez un corps charmant et excitant pour ne
pas vous le cacher… » Poursuivit-il, le ton mielleux. Que de tendres
paroles, que de mots caressants…

Pendant ce temps, les mains du jeune maître s’attardèrent entre ses seins
encore couverts de tissus, sur son ventre, ses hanches, son bras, ses épaules. Cette
lente caresse l’excita davantage, elle frissonna et sentit les boutons de rose
au bout de ses seins voluptueux se raffermirent. Son corps ne réagissait pas
aussi promptement, habituellement… Ren exerçait sur elle un pouvoir d’attraction
impressionnant. Elle tâcha de faire comme si de rien était, même si la chair de
poule qui s’emparait d’elle et ses tétons pointants la trahissaient déjà. Et la
proposition qu’il venait de lui faire, à propos des quelques « services »
qu’elle devrait lui rendre pour vivre dans le luxe n’arrangeait pas son état d’excitation…

Il l’embrassa, légèrement, ses lèvres aussi douces que
prometteuses de bien d’autres baisers, et elle faillit défaillir. Léonie
rassembla ses esprits et répondit à sa question le plus simplement possible :

- Je m’appelle Léo… Léonie. Vous m’avez
achetée, je suis vôtre. Vous n’avez donc pas besoin de mon accord quant à l’avenir
que vous me réservez, Odori-sama.

Sans savoir vraiment comment, il l’avait contrainte à
reculer contre le mur. Elle le sentait tout proche d’elle, son souffle chaud
contre son visage, ses yeux étincelants la dévoraient, l’imaginaient peut être
déjà nue. Quant à elle, elle essayait de contenir son trop plein de pensées
lubriques. Elle avait l’impression qu’il l’avait déjà percée à jour… Elle fit
alors mine de se défendre et le repoussa d’une main. Mais au lieu de ça, le
parfum enivrant de Ren Odori reprit possession de son esprit, et ses doigts s’attardèrent
sur son torse viril, les boutons de sa chemise noire, et descendirent lentement
vers son ventre puis son entrejambe. Elle s’arrêta là, et lui lança un regard
indescriptible, à la fois farouche et joueur.

Invité

Ren était tout près du corps de Léonie. Oui Léonie, un doux nom qui avait une connotation innocente et pure mais à son regard, il en pensait pas moins. Son souffle chaud gagnait le cou de la jeune fille, ses yeux s'enfonçant dans les siens pour mieux la jauger du regard afin de comprendre quel était ce regard qu'il lisait en elle. Le démon avait posé les mains sur le mur, coinçant le corps de sa soumise, ne lui offrant aucune échappatoire. Elle avait un tel effet sur lui qu'il avait vie de savoir quels étaient ses talents, si elle était aussi douée en danse que ... dans d'autres domaines privés ...

- Vous avez raison, j'aimerais bien savoir ce que vous savez faire d'autre mis à part réveiller les sens du démon que je suis !

Ren embrassa le cou de la jeune fille alors qu'elle essayait un peu de le repousser. Le démon se laissa faire et recula quelque peu. Mais les mains de la jeune fille resta sur son torse, sur sa chemise et descendit lentement vers son membre. Un grand sourire grandit sur les lèvres de Ren et il vint embrasser les lèvres de Léonie ...

- Vous êtes bien entreprenante ma chère. J'aime ça ...

Ren vit alors que les bras de cette belle apparition était parcourut de frisson d'excitation et de petits points ronds grandissaient au niveau de son décolleté. Elle était excitée, elle avait envie de lui, son corps étaient emplis de désir pour lui et tout on corps la trahissait ! Ren s'en amusa et passa sa langue sur ses lèvres, avide d'un tel corps qui lui appartenait. Il lui laissa sa main sur son membre et utilisa son pouvoir. Ses yeux percèrent les vêtements de Léonie et il put voir ce qu'elle portait sous cette fine robe. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses seins pointaient de désir sur le tissu, bombant d'excitation, son regard descendit vers le bas et ses yeux lui révélèrent une culotte blanche, renforçant ce faux semblant d'innocence qu'elle voulait faire paraître ... Car oui elle était excitée à l'idée d'être ici, avec lui, voulant goûter au plaisir de deux corps charnels ...

- Et bien un tel corps demande à être comblé ...

Puis une main de Ren descendit sous la robe de Léonie, caressant ses jambes et remontèrent derrière ses fesses, jouant avec le tissu de la culotte blanche. Puis il remonta la robe vers le haut, dévoilant les seins de la jeune fille, bombés et alléchants. Le démon se pencha dessus et en prit un en bouche, sa langue jouant avec ses tétons rebondit. Sa bouche embrassa avidement le sein de la jeune esclave, se délectant avec délice. Puis il se redressa et vient l'embrasser, goûtant ce corps qui était le sien, pouvant abuser comme il le voulait ...

- Personne ne viendra Léonie, vous pouvez donc être pleinement celle que vous êtes réellement ...

Puis il s'écarta un peu d'elle, ouvrant sa chemise avec lenteur, lui adressant un regard pour lui faire comprendre qu'il l'attendait. Il la voulait, il voulait la posséder corps et âme. Elle transpirait de malice et de perversité tout comme lui et cela le réveilla, dressant son membre son sous pantalon. La rue était déserte, ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient ...

Léonie ne savait plus ce qu’elle faisait. Ren l’avait
emprisonnée de ses bras, de son étreinte. Sa main était désespérément immobile
sur l’entrejambe du jeune démon, indécise. De toute façon, c’était son truc :
elle préférait suggérer qu’exécuter crument, et faire croire à son partenaire
que c’était son idée plutôt que la sienne. Mais face à une saveur nouvelle,
celle d’un démon en chaleur, elle ne savait plus comment réagir et se laissait
complètement emporter par ses désirs les plus intimes.

Tandis qu’elle le regardait, les sourcils froncés, il lui
décocha un large sourire carnassier et satisfait. Il l’embrassa de nouveau, et
la jeune femme se surprit à fermer les yeux pour mieux apprécier l’arôme du
baiser démoniaque.

« Vous êtes bien entreprenante ma chère. J'aime ça ... »
Lui dit-il. Aussitôt, elle remonta sa main vers des zones plus sûres, l’égarant
dans sa nuque qu’elle avait auparavant admirée dans la Salle de Vente. Elle ne
voulait pas être percée à jour, pas maintenant, alors que la danse venait
seulement de commencer… Elle remarqua alors qu’il posait de nouveau un regard
avide sur ses seins, mais différent des autres fois… Comme s’il cherchait à
voir à travers le tissu. Idiot, n’est-ce pas ? Personne n’était capable de
telles prouesses… Cependant, elle se sentait réellement mise à nue, et ne pu s’empêcher
de déglutir. Sensation plutôt désagréable…

Il lui fit la remarque que son corps ne demandait qu’à être
comblé. Oh non, il avait deviné, il avait compris… En même temps, les frissons
d’excitation qui la parcouraient de part en part n’étaient que trop évidents !
Et ses seins, gonflés de plaisir, qui n’appelaient qu’à être caressés et goutés…
Elle sentit que le démon glissait une main sur sa jambe, puis sa cuisse
pulpeuse, pour s’attarder sur ses fesses rebondies et fermes. Un autre frisson,
plus fort que les autres, la secoua de part en part. Elle ne pouvait plus faire
marche arrière, c’était trop tard… Léonie avait tenté le démon, et allait le
payer... La punition s’avérait plutôt intéressante…

Soudain il fit froid sur ses cuisses, son ventre, sa
poitrine : le jeune éphèbe avait remonté sa robe sale et déchirée, libérant
deux seins impressionants d’opulence, terminés par deux jolis boutons de roses
doux et pointants à souhait. Le démon plongea sur l’un d’entre eux, et le prit
en bouche comme le plus alléchant des mets. Sentant sa langue sur son téton
avide, elle étouffa un gémissement. Il l’embrassa de nouveau, de façon plus
pressante. Elle allait lui dire « Non, on ne peut pas, nous sommes dehors… »
pour mieux coller à son rôle de Sainte Nitouche, mais comme s’il avait compris,
son nouvel amant l’informa qu’ils étaient seuls dans la ruelle, et qu’elle
pouvait se dévoiler dans son intégralité...

Enfin il retira sa chemise, laissant apparaître son torse
vibrant de masculinité. Elle ne savait que faire : quoiqu’il arrive, il
finirait par la prendre, ici dans cette ruelle. Mais dans combien de temps ?
la jeune esclave voulait tout, tout de suite. D’un autre côté, elle voulait que
cette première fois avec un démon soit parfaite, absolument parfaite.

- Maître… implora-t-elle.

Elle repassa ses bras autour du cou du jeune homme, pour
rapprocher sa tête de ses seins, et sentir de nouveau sa langue vicieuse sur
ses tétons de velours. Elle attrapa la main droite du démon, et la guida jusqu’à
son sexe, recouvert de sa culotte, qui commençait déjà à mouiller. Elle lui
avait montré le chemin, elle avait répondu à son appel. Maintenant, c’était à
lui de jouer.

Invité

Ren était torse nu, son corps mince mais athlétique était beau à regarder, comme tout les démons au corps d'humains. Il respirait calmement, son cœur battant quand même la chamade à la simple vision de ce corps si parfait et à cette poitrine généreuse. Son torse se soulevait au rythme de sa respiration et ses yeux voguaient sur le corps de Léonie, contemplant ses atouts féminins. Il fut surprit qu'elle lui implora, l'appelant maître, puis elle le prit par le cou et vint le plaquer contre sa généreuse poitrine, lui faisant comprendre qu'il s'occupe d'elle encore une fois. Elle lui prit ensuite sa main droite et la fit descendre vers une zone bien plus intime, son antre était déjà mouillé, même le tissu blanc qui le recouvrait était maculé de ce doux nectar. Ren en fut agréablement surprit, elle gâchait bien son jeu, elle voulait qu'il la prenne immédiatement ! Mais où serait le plaisir ...

- Doucement ma belle esclave ... Prenons notre temps, vous ne le regretterez pas ...

Puis il prit à nouveau un sein en bouche et le suça avec avidité et fougue, voulant s'imprégner de ce goût si unique qu'était la peau humaine. Douce et sucré, acide et salé, elle avait toutes les saveurs et cette femme avait un goût exquis. Il ne regrettait aucunement de l'avoir choisie ! Sa langue dansait sur son téton doux et bombé alors que sa main gauche flattait son autre sein et le caressant et le massant. Sa main droite quant à elle, jouait avec son antre, passant sous le tissu et jouant avec son clitoris pour la réveiller davantage. Il introduisit un doigt à l'intérieur, puis deux, explorant cette zone inconnue et découvrant de nouvelles sensations de plaisir ...

- Vous êtes exquises ma chère ... dit-il entre quelque coups de langues sur son sein, vous avez un corps parfait ... des formes parfaites ... une poitrine divine ... Cela me réveille au plus haut point !

Puis Ren se redressa, ses yeux luisirent d'un feu rouge intense derrière ses pupilles, une excitation toujours grandissante trônait dans ses obsidiennes. Il passa alors ses mais derrière elle et l'embrassa, lui caressant le dos et descendit vers le bas, venant flatter ses fesses. Il les massa par-dessus le tissu, explorant cette partie ds femmes qui l'excitaient intensément. Les déhanchés, les mouvements de bassin ... Il en était friand ! Sa langue joua avec la sienne, se cherchant, intensifiant leur baiser, jouant ensemble dans un ballet improvisé et chargé de sexualité ...

Puis il s'écarta de son corps et commença à déboutonner son pantalon sans aller trop loin, laissant tout le loisir à sa soumise de le faire. Il lui prit le menton et déposa un baiser sur ses lèvres avant d'ajouter ...

- A vous maintenant de me montrer ce que vous savez faire très chère ...

Le jeune démon essayait de calmer les ardeurs de l’esclave
tant bien que mal. Avec un autre mâle, Léonie ne se serait sûrement pas laisser
faire, mais dans le cas présent, il lui inspirait un tel respect et une telle
puissance qu’elle se sentait toute petite face à lui. Il présenta ses lèvres à
ses seins, de nouveau, et elle resserra son étreinte autour de sa nuque pour
mieux en sentir la sensation humide, pendant qu’il massait et malaxait son
autre sein. Avec l’autre main, elle avait guidé celle du démon jusqu’à ses
grandes lèvres, et accompagnait le mouvement des doigts de son partenaire, l’aidant
à la masturber. C’est alors que lassé de la toucher à travers sa culotte
humide, il introduisit un doigt sous le tissu, titillant son clitoris excité. La
jeune femme commença à gémir tandis que ses joues s’empourpraient de plus
belle. Elle continuait à accompagner sa main pour sentir plus intensément ses
doigts dans son antre de plaisir. Bientôt, il la pénétra d’un doigt, puis de
deux.

- Oooh… Maître… Balbultia-t-elle de
plaisir, tandis qu’il la complimentait sur son corps une fois de plus.

Il finit par retirer
ses doigts à présent maculés de son nectar pour poser ses mains sur ses fesses
fermes et bombées. On sentait qu’il avait l’habitude de tenir les femmes de la
sorte, de par son maintien sur et de la façon dont ses mains épousaient
amoureusement ses courbes. Après tout, il était patron de cabaret, et il avait
du en effectuer, des danses sensuelles… Leur langues se joignirent de nouveau,
dansant ensembles selon un ballet enflammé, tandis qu’il l’observait de ses
yeux rouges foncés étincelants.

Il lui commanda alors de lui montrer ce qu’elle savait
faire, et la jeune femme en fut réjouie : en effet, elle se plaisait à
avoir le rôle de la jeune femme soumise, c’est pourquoi sa nouvelle condition d’esclave
lui allait à merveille. Il était à présent temps qu’elle s’occupe de son maître
comme il se devait…

- A vos ordres, Odori-sama… minauda-t-elle.

La jeune esclave s’empara du pantalon du démon, et le
descendit vers le bas tout en ondulant des hanches (histoire de lui montrer
aussi qu’elle savait bien bouger, même si elle n’était pas danseuse
professionnelle). Elle appliqua alors ses deux mains sur son boxer, tâtonnant son
membre qui semblait déjà bien excité. Elle mordit doucement dans le tissu, et
retira le sous-vêtement avec les dents, tout en caressant son membre de ses
lèvres au passage. Une fois cela fait, elle remonta légèrement, se hissant sur
ses jambes : position adéquate à ce qu’elle voulait faire mais plutôt inconfortable
au bout de quelques minutes. Elle prit son sein gauche dans sa main gauche et
fit de même avec sa main et son sein droit, et les écarta pour les refermer
autour de la verge puissante de son maître, jusqu’à ne plus en voir que le
gland. Elle commença donc à frotter ses lourds seins contre son membre, variant
la pression et la vitesse de son mouvement de façon à lui faire ressentir plusieurs
sensations pour être certaine que l’une lui conviendrait. Enfin, elle déposa un
baiser sur le gland et commença à le lécher et à le sucer avec application.

Invité

La belle vint farouchement et aguicheuse lui baisser son pantalon, ce qui procura à Ren d'intenses frissons de plaisir et une légère impatience grandit en lui, attendant qu'elle aille plus loin dans son entreprise. Elle dandinait ses hanches afin d'agrandir l'envie du démon, lui montrant ainsi comment elle bougeait et elle le faisait avec une très grande sensualité. Ren en éprouvait une intense envie d'unir leur corps mais il voulait d'abord prendre son temps, lui donner envie de recommencer avec lui, mêler leurs deux corps dans une danse effrénée, sensuelle et envoûtante ...

De ses dents, elle fit basculer son boxer vers le bas le faisant rejoindre son pantalon, libérant son membre déjà bien tendu et bien réveillé et qui palpitait de plaisir. Ren frissonna et ouvrit de grands yeux vicieux et pervers quand elle s redressa un petit peu, écartant ses seins de ses mains et les déposant de chaque côté de sa verge qui semblait être l'objet de désir de sa jeune esclave. Le démon se laissa complètement faire, savourant chaque va et vient de ses seins sur son membre viril. Léonie changeait régulièrement de vitesse, alternant des passages lents et d'autres rapides, comme une danse en fait. Elle avait le sens du rythme et cela plut de plus en plus à Ren. Ses mains à lui vinrent caresser les cheveux de son esclave pendant qu'elle prenait soin de lui, elle posa alors ses lèvres sur son gland, le suçant légèrement, s'appliquant dans ce qu'elle faisait. Cela se sentait qu'elle voulait lui plaire, pour qu'il obtienne ce travail et toute son attention ...

- Oui ma chère Léonie, cela est très agréable ...

Il jeta alors sa tête vers l'arrière fermant ses yeux, savourant chaque passage de ses lèvres sur son membre de plus en plus tendu entre sa poitrine généreuse. Puis ses mains vinrent guider celles de son esclave. Il la fit lâché ses seins et posa une des siennes le long de son membre, lu faisant comprendre qu'elle pouvait continuer avec sa bouche. Ren aimait cette pratique: la fellation. Sentir la bouche chaude de celle qui vous faisait cet acte d'amour, la langue parcourir chaque parcelle de peau jusqu'à en faire frémir l'homme ... Oh oui qu'il aimait cela !

- Continuez ma chère ... Cela est si délectable ...

Il posa alors sa main droite dans ses cheveux longs afin de lui caresser la tête et imposer un rythme un petit peu plus rapide afin de ressentir bien plus de plaisir. Il aimait cela et il le faisait comprendre à son esclave. Puis vint son tour, il voulait la comblé, lui rendre ce qu'elle venait de lui faire ! Il la fit se redresser et la plaqua sur le mur avec douceur et vient s'emparer de ses lèvres. Puis tout son corps descendit, il passa sa bouche une nouvelle fois mais brièvement sur ses seins et arriva devant le tissu blanc qu'il fit délicatement descendre le long des jambes de la belle jeune fille ... Puis Ren vint lécher son antre, sa langue découvrant le goût du nectar intime de Léonie, et cela l'enchanta. Elle avait un parfum discret et tellement sucré ... Le démon s'en délecta, ses mains venant s'emparer de ses fesses pour rendre ses soins plus intenses ...

Alors que Léonie suçait avec application et désir le gland de son maître, celui-ci la complimenta une fois de plus, tout en basculant la tête en arrière en signe d’abandon complet au plaisir. Il l’amena à cesser de frictionner son pénis déjà bien tendu entre ses seins pour lui permettre une mise en bouche complète. La jeune esclave se doutait qu’il n’attendait plus que ça, en général la fellation était une des gâteries que préféraient les hommes. Les démons et eux n’étaient pas si différents, finalement… Elle entreprit alors de sucer son membre sur toute sa longueur, peinant à le mettre dans sa bouche tant il était volumineux et s’était allongé. De ses mains, elle caressait ses bourses tandis que sa langue s’entortillait autour de son gland, en stimulant les zones les plus érogènes. En même temps, elle sentait la main vibrante de désir de son maître appuyer sur sa tête, la poussant à aller toujours plus loin, toujours plus vite…
Le démon la fit arrêter alors que son membre avait certainement atteint son paroxysme. Tandis qu’il la relevait pour la plaquer avec fougue contre le mur et l’embrassait une fois de plus, elle s’imagina que le moment était venu pour elle d’accueillir en son intimité la verge vibrante de son amant. Mais ce dernier semblait avoir d’autres projets pour elle. Ses lèvres descendirent le long de son menton, de son cou, de ses clavicules, de ses seins, de son ventre, pour finalement venir s’appliquer tout contre ses grandes lèvres qui mouillaient déjà avec abondance, après lui avoir retiré sa culotte trempée. La jeune femme ne put retenir un gémissement lorsqu’il commença à lécher et à se délecter de sa mouille…

- Mmh… Ouiii… Odori…sama… gémit-elle tout en se malaxant les seins, ne sachant plus que faire de ses mains tremblantes de plaisir.

Un frisson secouait tout son corps de part en part, son corps qui criait qu’il en désirait plus, toujours plus. Tandis que son clitoris se gonflait de plaisir et que son dos se cambrait, elle empoignait carrément ses seins, effleurant ses tétons qui était plus pointants et durs que jamais, du au bon traitement qu’elle recevait actuellement par le démon. Pour intensifier la sensation de la langue sinueuse du démon qui chatouillait son clitoris et visitait les parois de sa fleur des désirs, elle passa une jambe autour de la nuque de Ren pour l’amener plus profondément encore.

- Maître, maître ! Donnez-moi… Donnez-moi ce que je veux ! Souffla-t-elle entre deux gémissements de plus en plus vibrants.

Elle n’avait pu contenir cette supplication : C’était tout son corps qui le demandait, qui demandait le dernier assaut, pour pouvoir jouir pleinement… Elle qui avait si souvent fait l’amour à d’autres hommes, elle se demanda depuis combien de temps elle n’avait jamais désiré avec autant d’empressement à être satisfaite… Décidément, c’était vraiment le pied sur cette île de tous les fantasmes !

Invité

Que doux nectar ... Quel doux parfum suave, discret et sucré ... C'était si bon que Ren resta ainsi pendant quelques minutes, bien longtemps qu'elle ne passa à s'occuper de lui. Il aimait la gente féminine et celle-ci était particulière appétissante et excitante. Elle avait un corps de rêve, un corps qui pouvait faire fantasmer un grand nombre de démon, à tel point que si elle se baladait dans les rues de Yuutou, elle aurait été capturé et emmené chez quelqu'un pou y être abusé. C'était sûr ! Une telle beauté ne pouvait être laissé à l'abandon. Que se serait-il passé si ce n'était pas lui qui l'avait acheté ? ... Ren continua à lécher son clitoris pour lui procurer un plaisir intense. Il voulait s'occuper d'elle, elle l'avait tellement tenté et elle dégageait une telle aura de perversité qu'il fallait être un ange pour ne pas la sentir !

Les soins du démon commencèrent à faire de l'effet à Léonie qui se cambrait sous ses assauts en gémissant, se laissant complètement aller à ses premiers instincts: la luxure et la débauche, passant une jambe derrière sa tête, en demandant toujours plus. Elle se caressait les seins pour intensifier les sensations qu'elle ressentait, s'abandonnant au sexe et à la perversité. Le démon écouta l'appel de son esclave qui voulait bien plus, qu'il arrête ce qu'il faisait et qu'il la prenne là, maintenant, dans la ruelle, qu'il la possède et fasse d'elle son objet pour assouvir son envie de plaisir charnel. Cela fit grandement sourire le démon qui n'en attendait pas moins, qu'elle se transforme d'elle-même en objet, qu'elle demande à être prise entre les murs des rues sombres où personne ne passait. Ren se redressa, son membre se trouvant aux portes de son antre ...

- Comme vous voudrez très chère !

Ajoutant à ses mots, il pénétra lentement l'antre de Léonie, s'enfonçant lentement en elle sans difficulté car son nectar inondait son être et facilitait la pénétration. Plaquée contre le mur, Ren prit une jambe de son esclave et la souleva pour aller plus loin en elle. Il mit sa ouche contre son cou et l'embrassa, la couvrant de baiser, venant jouer avec le lobe de son oreille pour venir gémir et râler de plaisir, effectuant des va et vient puissant en elle. Son membre tendu découvrait son corps de l'intérieur, emplissant de désir les deux êtres qui ne se connaissaient que depuis quelques minutes ...

Ren continua ses soins en elle, lui laissant les bras libres. Il voulait lui laisser choisir de quelle façon elle voulait qu'il la possède. Il voulait lui faire plaisir, la comblé, lui donner envie de recommencer à s'unir à nouveau. D'un autre main, Ren prit un de ses seins et les caressa pour augmenter le désir de son esclave. A le vue de son corps, le membre du démon qui était déjà bien tendu et dur, grandit encore un peu dans l'antre de Léonie, arrachant un râle un peu plus puissant que les autres ...

Haletante, les joues rouges de plaisir, Léonie regarda son maître se redresser lentement devant elle, son membre impressionnant pointant vers le ciel. La jeune femme crispa ses mains sur ses seins, attendant le moment fatidique avec une impatience grandissante. Si elle ne s’était pas retenue, elle se serait mise à sautiller d’excitation. C’était un grand jour pour l’avide perverse : elle allait se faire pénétrer par un démon ! Et pas des moindres : il possédait un charisme et une perversité insoupçonné, était extrêmement doué de ses mains et de sa langue, et elle doutait bien qu’il le serait également avec son membre inférieur. Léo écarta un peu plus les jambes et bascula son bassin pour mieux accueillir ce qui allait suivre…

« Comme vous voudrez, ma chère… » lui annonça-t-il.

La jeune femme ferma les yeux tandis que le gland, puis toute la verge du jeune démon pénétrait son antre glissante, où la mouille abondait. L’esclave cria de jouissance mais aussi de surprise : elle ne se doutait pas que le sexe de son partenaire était si volumineux, et les sensations qui la parcouraient dépassaient tout ce qu’elle avait pu espérer. Cette lente pénétration excitait son clitoris brûlant, et elle ne put s’empêcher de s’exclamer :

- C’est si…gros ! Euh, si bon !

Il est vrai qu’elle avait rarement connu des amants aussi doués et aussi bien pourvus, cela était-ce propre aux démons ? Son maître la souleva alors et la plaqua contre le mur, et s’empara d’une de ses jambes et la souleva pour intensifier le mouvement. Au comble du bonheur, la jeune femme l’accompagnait de violents coups de reins et de bassins, pour mieux sentir en elle son membre. Il l’embrassa dans le cou, puis le lobe de l’oreille qu’il mordilla. Elle sentait ses râles chauds et entrecoupés contre son oreille, l’excitant plus encore. Elle-même gémissait au rythme des vas-et-viens, de plus en plus puissants, et qui ne rencontraient aucune résistance grâce au nectar qui abondait de son sexe jusque sur la verge du démon.
Pour aider un peu plus, elle écartait ses grandes lèvres de ses doigts, et de l’autre main elle agrippait les fesses musclées du démon, les griffant ou les fessant selon son degré de jouissance. Tandis qu’il massait de nouveau un de ses seins brûlant, il lui sembla que son membre avait encore durci et grossi en elle.

- Pl…Plus fort ! Réclama-t-elle.

Le problème avec la position debout était qu’elle limitait l’intensité des pénétrations. Pour remédier à cela, la jeune femme contraint son maître à se dégager de son antre et se mit à quatre pattes, la joue collée au mur, laissant ainsi à son maître un bel angle de vue sur son sexe inondé de mouille.

Invité

Deux corps qui s'entremêlaient dans les ruelles sombres, deux corps étrangers qui se découvraient, seuls entre deux murs étroits. Léonie et Ren unissaient leur deux corps, jouant de leur attributs pour faire jouir l'autre, le rendre fou. Ren usait de sa force et de son endurance, ainsi qu'avec la vigueur de son membre imposant et puissant et Léonie jouait avec ses seins qui se balançaient au rythme des mouvements de son maître, chantant une jouissance qui envahit les oreilles de Ren, chantant son plaisir et prononçant des mots qui eurent l'effet d'excité davantage le démon. La belle esclave aidait Ren à aller plus loin en elle, bougeant son bassin pour qu'il aille plus loin, allant même jusqu'à écarter ses grandes lèvres pour rendre la pénétration plus profonde. Elle posa son autre mains sur les fesses de son partenaire pour l'exciter encore un peu plus. Elle en demandait encore plus, elle voulait qu'il aille plus loin encore dans ses pratiques, qu'il la possède davantage, lui procurer plus de plaisir qu'elle n'en ressentait sur le moment ...

Au cri de jouissance qu'elle poussait, elle semblait surprise par la dimension du membre viril de son maître. C'est vrai qu'en tant qu'humaine elle n'avait sûrement pas l'habitude d'être prise ainsi par un démon qui surpassait les humains sur bien des domaines. Si elle voulait du sexe avec un démon, elle ne pouvait tomber sur mieux, sans se vanter. Ren avait eut plusieurs expériences avec des femmes, humaines ou démones, et savaient jouer avec leur zones érogènes, leur donnant ce qu'elles voulaient. A ce moment précis, Léonie voulait qu'il aille plus fort, qu'il la prenne plus puissamment. Elle changea d'elle-même de position, se mettant à quatre pattes devant lui, la tête contre le mur, lui présentant ses fesses et une vue plus qu'alléchante sur son antre mouillée à souhait ...

- Une belle croupe, et un corps de rêve ... Je ne peux que posséder ce corps qui me réclame !

Il s'avança un peu vers elle, embrassa ses fesses au passage et frotta son membre contre celle-ci pour la faire un peu languir, attendant qu'elle lui demande de la pénétrer. Il s'exécuta alors, s'enfonçant en elle, les mains sur ses hanches pour donner de puissants coups. Son bassin claqua contre ses fesses, son membre caressant avec force l'intérieur de son être qui réclamait encore lus de plaisir. Cette femme était une vraie obsédée, une perverse née ! Jamais Ren n'avait vu d'humaine aussi enclin à vouloir faire l'amour, même avec un démon. Elle aimait le sexe et cela se sentait dans ses gestes et ses paroles. Il se demandait même si ce n'était pas elle qui l'avait convaincu de la posséder ainsi ...

Le démon chassa ses questions et entreprit de continuer à malmener son corps avec fougue et puissance, râlant de plaisir à chaque coup qu'il donnait sur les fesses de son esclave. Une pellicule de sueur perla sur le corps du démon, augmentant encore l'attraction démoniaque de cette créature des enfers. Ren continua d'assouvir le désir si grand de sexualité de son esclave qu'il sentit la pression montée en lui mais il continuait encore à jouer avec son corps, se délectant des cris de jouissance de Léonie ...

- A vous maintenant ma chère ...

Le démon se retira avec un sourire aux lèvres et vint s'allonger sur le sol, sa main venant prendre son sexe et se mit à se masturber tout en caressant un sein de son esclave. Une telle poitrine était si bon à sentir sous ses doigts qu'il en profitait à chaque instants. Il guida sa soumise pour qu'elle vienne au-dessus de lui mais il lui laissa la champs libre pour qu'elle fasse ce qu'elle voulait, il était conciliant avec ses esclaves, leur laissant prendre leur pied comme elles le souhaitaient et il en faisait de même avec Léonie ...