Bienvenu chez toi Denna (pv Denna)

Je me pose avec grace devant ma maison. Avec douceur, je passe la porte en évitant de la cogner. contre les murs ou objets. Délicatement, je la pose sur le canapé. Je repars retirer et ranger mon manteau. Ensuite, je me dirige vers la cuisine ou je trempe un tisse dans de l'eau chaude. Je me trouve ensuite devant l'esclave. Avec grand attention, je nettoie la saleté de ses blessures avant de poser ma main sur celles-ci pour la guérir via mon pouvoir de soins. Une fois guérie, je la regarde avec attention, degage ses meches sales de son visage de main et me retire lui faire un repas, la laissant se reposer. Une fois le repas chaud finis, je dépose l'assiette et les couverts sur la table basse devant elle, puis le verre d'eau. Je m'assois sur le fauteuil devant le canapé, patientant durant son repas. Une fois finis, je commence a parler.

A-"Bien, voici la situation: Tu es une esclave, et je suis un maitre. Je t'ai vus maltraité par les marins et a ta demande, je t'ai tirée de là en t'achetant. Officiellement, tu es mon esclave. Maintenant, je pourrais te libérer et t'affranchir. Mais en faisant cela, je tu sera une cible facile pour les esclavagistes. En bref, si tu reste avec moi, personne ne peut te capturer et te vendre a d'autre. Mon toit est aussi le tiens."
Un silence, et ensuite.

A-"Ici, même si tu es officiellement mon esclave, tu vivras comme une personne libre, tu peux dire ce que tu pense, aller ou tu veux. Me demander des services ou autre. Les seules régles ici, sont les régles de base de la vie dans une maison, frapper au porte, demander a l'autre si tu peux prendre ceci, etc... Tu aurais un lit, mais en attendant, tu dormira dans le miens, je tinquiéte pas, je dormirai sur ce canapé. Voila, tu sais ce qui t'attends, alors, veux tu partir et risquer de tomber sur d'autres maitres ou rester avec moi?"

Je prends mon souffle et finit mes paroles.

A-"Au faite, Denna, c'est ton vrai nom? Ou les marins l'ont choisit pour toi? Moi je suis Arios Solmarrow, et je suis un ange éxilé."

La balade que lui offrit l’ange lui permis de voir la ville d’un angle de vue totalement inédit pour elle, cependant, durant tout le vol, elle resta tétanisé, visiblement, son baptême de l’air l’a dérangeais plus qu’autre chose.

Après quelques longues minutes, l’ange atterrit devant une maison qui se fondait dans le décor. Le bruit des pas contre le sol de l’ange rassurèrent la jeune femme qui n’en pouvait plus d’être en l’air, mais qui n’osait pas pour autant s’en plaindre. Après tout, il venait de la sortir de cet enfer, et elle venait probablement d’échapper à une mort certaine.

Denna fut guidée par l’homme aux yeux de loup dans la maison, elle n’eut pas vraiment d’admirer le charme certain des pièces que déjà l’ange l’installait sur un sofa. Bien que simple, ce geste troubla la jeune esclave. Cela faisait des années qu’elle n’avait pas eut une once de confort. A peine eut-elle le temps de savourer ce petit moment qu’elle avait oublié depuis bien des années que l’ange revint dans la pièce, armé d’un tissus humide. La jeune femme s’attendait à tout, sauf à se qui se passa, il se contenta de passer le tissus sur son visage, lui retirant la crasse qu’elle avait accumulée pendant des années. Propre et confortablement installée, son songe éveillé ne s’arrêta pas là, en effet, l’ange quitta la pièce, puis revint peu de temps après avec de la nourriture.

Qu’est ce qui ne tournait pas rond ? Tout était trop parfait … On l’a sortait de l’enfer pour l’amener au paradis. Rêvait-elle ? Elle alla même penser qu’elle était morte dans ce bateau. Elle se pinça discrètement le bras pour vérifier que ce n’était pas un rêve, mais non … La douleur bien réel la ramena sur terre. Non, elle ne rêvait pas !

Rien de se qu’elle n’avait mangé ces dix dernières années ne pouvaient égaler en goût et en qualité se qu’avait préparé l’ange. Cependant, son appétit d’oiseau ne lui permis pas de finir l’assiette … Voilà des années qu’elle ne mangeait qu’une bouillie ignoble, par moment accompagné d’un morceau de pain, rarement plus, souvent moins.

Finalement, l’ange brisa le silence, et Denna l’écouta en silence … Tout cela était-il bien possible ? Non impossible … Rien ne pouvait être vrai, c’était un piège, inévitablement un piège dans lequel elle tombait petit à petit. Les larmes lui montèrent au yeux, et elle craqua, anéantie, elle pleura tout simplement. Une preuve d’humanité, c’était la preuve qu’elle ne rêvait pas et surtout c’était la preuve qu’elle était encore elle même. Il lui fallut quelques secondes pour se calmer, sa petite voie hésitante étaient de temps à autres coupée par l’un de ses sanglots.

« Je … D-Denna est mon vrai n … Nom … »

Elle essuya d’un revers de sa guenille ses yeux embués de larmes.

« Denna Ysina … »

Que devait-elle faire ? Elle ne savait plus … Rester dans ce paradis qui ressemblait à un piège trop beau pour être vrai ? Ou partir, s’enfuir et prendre d’innombrables risques ? Ce luxe … Était-ce une chance ou une prison dorée ? Les questions assaillirent ses pensées. Elle n’en avait pas l’air, toujours en train de sangloter, mais elle réfléchissait, elle hésitait … Puis sa réflexion s’égara sur plusieurs points … Elle était dans un état lamentable, et n’aurait pas pu s’enfuir bien longtemps ni lutter face à l’ange si cette proposition était un piège, de plus, qu’avait-elle à perdre ? Rien du tout, rien à perdre, tout à gagner … Peut-être allait-elle enfin pouvoir avoir un soupçon de vie normale ?! Que faire ?…

« J-j’accepte … De rester … »

Un autre dilemme traversa l’esprit de la jeune femme, mais dans sa courte réflexion, elle appela l’ange par le mot plus logique à ses yeux.

« M-maître … »

Je remarque qu'elle pleure. Mais qu'ai je fait? J'ai encore bléssée une femme par ma gentillesse. Hmmmm, c'est juste qu'une esclave avec une proposition d'une belle vie. C'est un peu illusoire. Voir un gros mensonge. Mais pour moi, ce n'est pas le cas. Elle n'avait même pas fini son reaps, mais ça, c'est d'ordre biologique: Un etre affamée qui remange normalement en un coups, l'organisme ne le surpporterai pas, entrainant la mort. Essuyant ses larmes, elle dis qu'elle veut rester et m'appel Maitre. Ce mot, je le hais... Mais bon, ce n'est pas de sa faute, je ne lui rien dit. Je me léve du fautueil et m'approche d'elle. Je la regarde en souriant.

A-"Dans ce cas, jeune Denna Ysina, sois la bienvenue dans ton nouveau foyer, je suis ravis de te rencontrer. Je sais que je t'effrais a cause de ce que je dis, tu as peur d'une piége. Mais tu verras que je ne ments, tu verras... Avant de te faire visiter voici deux choses a savoir me concernant: Tout d'abord, lors de mon exil ou m'a imposer une malediction, de façon aléatoire, je subis une crise de douleur a niveau de souffrance aléatoire. Le temps est court mais ça reste impréssionnant. Je te le dis pour que tu ne sois pas effrayer. Deuxiément, je sais que je suis un maitre, mais j'ai horreur de ce mot. J'en sis devenu par envie de sauver des esclaves... Tu peux m'appeler comme tu veux, mais si tu veux vraiment m'appeler, Maitre, C'est ton choix. Bien, allons y visiter cette maison ensemble."

Je lui tend ma main et une fois lévée, on parcours la maison. Après la petite visite, on se retrouve dans ma chambre.

A-"Voici ma chambre, tu dormiras ici jusqu'a ce que je t'ai acheter un lit. Derriere cette porte, il y a la salle de bas, si tu veux te laver maintenant vas-y tu peux le faire sans..."

Et là un pique soudain me prends, une douleur a la poitrine. Oh non! Pas maintenant, pas une crise! Et finalement si et une grosse, la marque de dieu brille et la douleur augmente, je tombe a genoux. Je resiste... avtn de crier de douleur et de m'ecrouler a terre. C'etait une scene horrible a voir. Mais Denna doit etre blasée... Cette douleur, combiens de fois dois je la subir encore et encore? enfin la douleur prends fin, mais je reste au sol, cherchant a me remettre les idées en places.

Elle resta troublée et de marbre pendant toute la visite de la maison … Rien ne la fit réagir, elle était sur la défensive, en silence. De temps à autres en explorant une pièce, elle hochait du chef en guise de compréhension à l’égard de l’homme. Rien de tout ça ne la rassurait. Son malaise ne faisait qu’augmenter au fur et à mesure que les portes défilèrent. Porte après porte, son malaise augmentait de manière croissante. Une si grande maison ? Était-ce normale ? A vrai dire, sur cette île rien n’était normale …

Elle voulait plus que tout retrouver une vie normale, rien d’autre n’aurait pu lui faire plus plaisir. Mais pour le moment, elle était coincée sur cette île, sans possibilité de partir.

Finalement, ils arrivèrent au niveau de la chambre, visiblement c’était la dernière pièce. Elle n’avait pas compter combien il y avait eu de portes avant, ni combien après. Mais celle là, c’était la dernière. Arios continuait de parler, inlassablement, avec patience, tel un narrateur devant des spectateurs bien silencieux. Mais sa voie se brisa, il porta sa main à sa poitrine en s’écroulant au sol.

Tout se passa en un instant. Un cri à vous glacer le sang traversa la maison de part en part, la jeune femme sursauta, vacilla, recula fébrilement de quelques pas sans comprendre. Qu’est ce qui se passait ? Qu’avait-elle fait ? La panique l’emporta sur un quelconque raisonnement qu’elle aurait pu avoir. Ses pieds se croisèrent maladroitement, et elle trébucha, tombant sur les fesses, en regardant la silhouette de l’ange se tordre de douleur tout en criant.

Denna recula, se fut le mur qui l’arrêta, et elle fixa l’ange en pleine crise. Ses mains se plaquèrent sur ses oreilles. Elle ferma les yeux. Tout son bon sens s’évanouit en un instant, comme vaporisé. Ses lèvres se délièrent, essayant de parler, d’implorer, de supplier …

« Quelqu’un … A l’aide … A l’aide ! »

Des mots futiles, à peine audible pour l’ange à seulement quelques mètres d’elle. Qui allait bien pouvoir l’aider dans un moment pareil ? Personne … Puis finalement, les cris de l’ange s’estompèrent … Mais la jeune esclave ne voulait pas desceller ses oreilles. Le silence dans lequel elle baignait avait quelque chose d’apaisant.

Il lui fallut un certain temps pour oser rouvrir les yeux, mais finalement, elle les ouvrit doucement, regardant la silhouette inerte de l’homme par terre. Puis finalement, la jeune esclave prit son courage à deux mains. Elle se déboucha les oreilles, les yeux rivés sur l’ange, et commença à s’approcher de lui. Son souffle, bien que saccadé, était régulier, comme après un effort. Mais elle n’osait pas lui venir en aide. Elle appréhendait trop de s’approcher de cette étrangeté de la nature comme il y en avait tant sur l’île.

« Sa … Sa va monsieur ? »

Elle était à peine en état de marcher à quatre pattes. Ses bras, ses jambes, tout son être frémissait et menaçait de s’écrouler sous le poids de la terreur qu’elle avait ressenti. Pourtant, elle continua d’avancer. Elle s’arrêta à quelques centimètres du corps.

« Monsieur ? »

Visiblement, elle avait retenu la leçon, et n’osait plus l’appeler maître …

Je finis par revenir a la réalité, la voix de Denna, m'arrache a la transe de la douleur. Elle est si prés de moi, elle est apeurée. Je la regarde de mes yeux de loups. Je ne me peux m'empécher de lui caresser la joue, plus par signe d'affection que par signe vicieux. Je ne peux m'empecher de sourir.

A-"Je vais bien... Je te l'ais pourtant dis, ça passe toujours....Monsieur? Et bien, tu progresse!"

Je ris un peu, histoire de detendre l'ambiance, peine perdue. J'éloigne ma main d'elle et tente de me relever, ce que j'arrice a a faire malkgré quelques difficultées. Ensuite, je tends la main vers mon esclave... Elle a l'air, terrorisée. Normal, j'ai beau avoir mal, j'ai tout vu... tout...

A-"Oooh, Denna, je suis désolé... Je t'ai choquée et pertubée... Je voudrais me racheter, mais je ne sais pas quoi faire.."

Je fixe le jeune fille, malgré sa terreur, elle a eu le courage de ramper jusqu'a moi. Je lui adresse un nouveau sourire.

A-"Au fait, merci de d'etre inquiété et d'avoir combattut ta frayeur pour moi.... C'est gentille de ta part."

La sachant très faible, Thiodar l'aide a se relever, puis la pose sur le lit. Elle s'enfonce dans le matelas.

A-"Ecoute, je vais te laisser seule un moment et prendre une douche. Quand j'aurais finis, tu pourras y aller. Après, s'il y a un probléme durant la nuit, tu peux me reveiller dans le canapé, je t'aiderai de mon mieux. Je suis la pour toi."

Sur ce, je me dirige vers la salle de bain et prends une douche bien chaude. La pauvre doit remettre ses idées en place.... Ce qu'elle vu.. risque de la marquer a mon sujet... Dieu... tu pense a tout, vieux salopard! Ma rage me pousse a donner un coup de poing leger contre le murs. Je reprends mon calme, ce n'est pas la faute du murs... C'est a moi de faire face et a moi seul. doucement, je ferme le robinet, puis sort de la douche, dans mon reflexe, je prends un essuis et me seche. Ensuite, je me rhabille. Enfin, je prepare le shampoing, savons, gant de loittes et essuis pour Denna. Une fois finis, je sort de la salle, pret a lui dire que tout est pret pour elle. Sauf si elle dors.

C’était donc ça un lit ? Un matelas douillet, une couverture chaude, des oreillers rembourrer pour plus de confort … Un confort tout à fait banal en soit, mais une véritable découverte pour la jeune esclave, habituée à dormir sur de la paille à même le sol d’une cale en bois qui sentait la vieille charogne. Elle resta un long moment assise sur le lit, seule dans la pièce, n’osant pas bouger, regardant chaque recoin de la pièce.

Finalement, elle se mise assit sur le lit, regardant le parquet, hésitant à y poser ses pieds. Denna tourna la tête vers la porte de la salle de bain où elle entendait le bruit de l’eau couler. Prenant son courage à deux mains une nouvelle fois, elle se laissa glisser en dehors du lit, posant ses pieds sur le sol. Elle frissonna. C’était si étrange comme endroit, si silencieux … Aucun cri, aucun pleure, aucune menace … Elle était logée, nourrit, blanchit et protégée alors que sa vie ne tenait encore qu’à un file il y a une heure de ça. Comme quoi, une rencontre peut vraiment changer les choses.

*Que ce que je fais encore là ?… Pourquoi ne suis-je pas encore partie loin de cette île ? Est-ce vraiment une bonne idée de partir ? Et si je retombais sur ses marchands d’esclaves ?*

Des idées comme s’il en pleuvait. Mais d’autres part … Qu’avait-elle à gagner à fuir ? Qu’avait-elle à perdre à rester ? Deux questions … Deux points de vue qui se recoupent, et finalement, alors qu’elle venait à peine de se lever, elle se rassit sur le lit.

C’était fini, son calvaire venait enfin de se terminer, et maintenant, on lui offrait une nouvelle vie et elle allait cracher dessus … Peut-être était-elle devenue folle ? Trop méfiante ? Un peu des deux, légèrement paranoïaque. La belle affaire, au point où elle en était, même si tout cela n’était qu’une grosse mise en scène, rien ne pouvait être pire que ces huit dernières années de captivité !

Son choix était fait, elle allait rester.

Elle se laissa retomber sur les coussins sans un son. L’eau avait arrêté de couler, l’ange allait probablement bientôt sortir. Et cet odeur … Sa sentait si bon … L’odeur du tissu propre. Sa main s’égara sur l’oreiller, et elle réalisa qu’elle était allongée sur le lit, lové sous la couette. C’était si agréable, il n’y avait plus rien à faire, à part se laisser aller. Ses membres s’engourdirent, sa tête se vida de toutes pensés … Plus rien n’avait d’importance, plus rien n’avait de sens, elle n’avait qu’une envie, dormir.

Elle sombra progressivement dans le sommeil, ses yeux finirent par se clore, sa respiration ralenti, ses lèvres s’entrouvrir, ses mains se resserrent sur le tissus de la couverture. Elle n’entendit pas la porte de la salle de bain s’ouvrir, juste une vague impression, une bouffé de chaleur et d’humidité dans la pièce, ainsi qu’une délicieuse odeur … Une ombre au dessus d’elle, puis plus rien, le néant du sommeil.

J'ouvre la bouche quand soudain, je découvre Denna s'endormant sur mon lit. La pauvre est épuisée, je sourit, m'approche doucement d'elle. D'un geste lent et tendre, je met la couverture correctement, puis la regarde dormir un moment. Il fallait l'avouer, elle vraiment mignonne dans les bras de morphée. Après avoir pris une couverture dans l'armoir et fermé les lumières et rideaux, doucement, je sort de ma chambre et laisse la porte légèrement entrouverte. D'un pas silencieux et lent, je descend vers le salon.

Posant la couverture sur le canapé, je commence le rangement. Très vite, je fermes les rideaux, ferme les portes, et éteinds les lumières des autres piéces. Après je prends l'assiéte de Denna, je met le repas dans un tupperwar et place celle ci dans le frigo tandis que l'asseite, le verre et les couvert vont dans le lave - vaisselle. Une fois ma tache accomplis, j'eteins la lumière du salon.

Arrivé devant le canapé, je retire mes chaussures, chaussettes et chemise avant de m'allonger sur le canapé, puis de mettre la couverte sur moi. Sur le dos, ailes repliés, je ferme doucement les yeux et m'endors lentement d'un sommeil très léger, car je dois rester receptif aux appels de Denna au cas ou. Mais je suis content de l'aovir sauvée... je souhaite vraiment lui offrir une vie heureuse, qui sait, peut etre qu'elle m'appelra Arios un jour?

Hj:Voila, si tu veux faire un new sujet dis le par mp.