La provocation a un prix ♫ [PV Madara D. Bloodwar]

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" Je n'ai qu'un souvenir en tête,
celui de ton cadavre, gisant près de moi et encore chaud."

Que dire de ma vie ? Que dire de ces barreaux qui m'entourent et me narguent ? Que dire de cette femme qui pleure les larmes de son corps depuis des heures ? Que puis-je dire de tout cela ? Rien. Je ne peux rien dire. Plongeais dans mes propres pensées, je regarde le monde défiler à travers la cage. Cette endroit étroit et glacé brûle mon corps de haine et de peur. J'ai vu des femmes se faire violer, j'ai vu des enfants se faire tuer, des vieillards battus. J'ai vu un oiseau tomber du ciel, un flèche dans le cœur. Ses ombres au visage torturé me fixaient dans leur agonie, dans leur souffrance.
Je ferme les yeux, j'ai peur, malgré mon air indifférent. J'entends une voix. Une voix stridente qui fend l'horizon. Soudain, elle s'éteint. Et le brouhaha du marché reprit place dans mon esprit. Je vois déjà la scène dans mon esprit torturé... Une âme s'est envolée... Trouvera t-elle le chemin du repos, du paradis ? Ma gorge est sèche. Combien de temps n'ai je pas eux le droit de goûter à l'eau ? J'aimerais revoir sa pureté, son goût, sa chair froide. Un long soupir s'échappa de mes lèvres et perça mon univers... Je me souviens encore de ma dernière toilette, une bassine d'eau d'eau froide, un maigre savon, mais ce peu de chose qu'on m'avait accordé avait de quoi me satisfaire pendant un moment. Après tout, avec une vie comme la mienne, on se satisfait de peu de chose.

"Allez messieurs, mesdames de magnifique spécimen, des espèces rares et sauvages, fraîchement ramassées... Ahhh, monsieur ! Que diriez-vous de ce magnifique tigre blanc ? ... Oui, celui-ci ! ... Il n'est pas à votre goût ? ... Ahhh... Je suis confus... Peut-être que souhaitez une jeune demoiselle pour vous distraire ? ... Elles sont jeunes et fraîches... Sont-elle vierges ? Monsieur, cela je l'ignore, nous n'essayons pas la marchandise. "

Le marchand eut un petit rire. Et cela me fit sursauter. Je surprend son regard se poser sur moi. Mes yeux le fixèrent avec froideur avant de se poser sur le client. Celui-ci était richement vêtu. Il faisait du bruit avec ses innombrables bijoux dorées et me regarder avec curiosité. Sa description en resta à ce point, car j'avais détourné les yeux hâtivement, n'osant point affronter les regards vicieux qu'on m'adressait. Ainsi mon regard se posa sur mes poignets quelque peu abimés par les corrections qu'on m'avait donné il y a peu. Le dos appuyé contre les parois de ma cage, les jambes étendues devant moi, j'utilisais tout l'espace qu'on m'avait offert. Je ne m'étais pas privée.
Je décroisa les bras, et repoussa mes cheveux corbeaux en arrière, de manière à dégager mon visage de ce voile sombre. On m'avait donné pour seul vêtement une chemise ample et mal ajustée. Sa couleur d'origine était encore à peine visible. Elle semblait être blanche, mais était sans doute devenue grise. J'avais retrousser les manches, laissant apercevoir la pâleur de mes bras. Soudain, ma voix s'incrusta dans la conversation que les deux corbeaux tenaient à voix basse, devant moi.

" Quand vous auriez fini de vous branlez sur vos "marchandises", pourriez-vous apporter un peu d'eau monssssieur l'esclavagiste ? "

Bien entendu je connaissais la réponse. Et même le châtiment qui me serais réserver pour ses mots peu gracieux et cette humiliation venant d'un "être inférieur". Et malgré cela, un sourire insolent s'était installé sur mes lèvres.

" Ah moins que que vous préférez que vos "trésors" soient abimés. Que dirait le client en voyant cela ? "

Le client fronça les sourcils. Et finit par déclarer suite à mes paroles qu'il n'avait pas besoin d'une esclave à la langue trop pendue et qu'en plus niveau beauté, je n'étais pas à son goût. Tant mieux, c'est réciproque. Sur ce, il s'était détourné des étalages de l'esclavagiste pour s'enfoncer dans la foule. Je ne vous dis pas le regard que j'ai eu de mon cher "maître". Essaye-t-il de me tuer du regard ou quoi ? Il marmonna entre ses petites dents des paroles que j'ignorais. L'heure de ma correction approchait.

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Madara s'était levé de bonne heure ce matin. Cela faisait plusieurs semaines que Madara avait acheté une esclave qui s'appelait Ayumi Nagasaki et ils dormaient tout deux dans le même lit en ayant des relations sexuelles le soir ou le matin. Ayumi était partit en vacances depuis un moment sous l'autorisation de son maître et sous le stricte ordre de ne coucher avec un homme, Madara détestait partager. Madara était partit avec son majordome Ichiryuu à bord de sa petite limousine noire car il avait un rendez-vous mais cela ne dura que la matinée, il devait environ 11h30 quand Madara était sur le retour vers son manoir son majordome avait la route du marché aux esclaves là où il y avait la salle des ventes mais c'était l'heure de pointe alors c'était dur d'avancer, la voiture était lente pour éviter d'écraser les passants. Madara était plutôt du genre patient, sa voiture était insonorisé et il lisait un livre dans la voiture. Soudainement une personne capta son regard au dehors, il regarda à gauche en baissant légèrement la vitre, une jeune esclave parlant avec arrogance et insolence au marchand et le client s'en alla avec un air mécontent, Madara referma alors le lire et demanda à Ichiryuu de s'arrêter quelques instants et il s'exécuta automatiquement. Madara sortit et se diriger vers le marchand et l'esclave, elle devait sûrement s'attendre à une punition et d'ailleurs le marchand ne se fit pas prier et sortit une sorte de fouet de petite taille, Madara arriva de justesse en attrapant fermement son poignet quand le marchand leva le bras et se mit à parler avec un ton bien supérieur :

- C'est comme ça que vous traitez vos marchandises ? Libérez-là, je l'achète au prix que vous désirez. Je n'accepterai aucune autre violence contre elle, c'est compris ?

Madara jetait un regard glacial sur le marchand tout en parlant sur un ton sec et dur, montrant qu'aucune désobéissance n'était possible le marchand s'exécuta en posant le fouet sur une table proche et ouvrit avec la clef la cage de l'esclave, Madara s'avança et lui tendit sa main pour qu'elle puisse se relever, plongeant son regard rouge sang dans le sien, un regard dur et inébranlable montrant une indifférence incomparable. Il l'aida à se lever et une fois qu'elle fut debout il garda la main froide de l'esclave dans la sienne, le marchand attendant en se frottant les mains l'argent pour l'esclave. Madara lui jeta une liasse de billet attaché entre eux par un élastique, la somme suffisant plus que largement pour acheter cette esclave. Une fois que le marchand reçu l'argent Madara se retourna et ouvra la marche en gardant la main de l'esclave dans la sienne, il se dirigea vers sa voiture et ouvrit la porte pour qu'elle puisse rentrer avant Madara qui referma derrière eux. L'intérieur était spacieux (pour une voiture) comme la plupart des limousines et les sièges confortables, Madara toca à la fenêtre teinté à l'avant pour que Ichiryuu redémarre la voiture, le nombre de passants étant diminué depuis la circulation se fait plus facilement. Madara prit la parole :

- Je suis Madara D. Bloodwar, ton maître et la seule personne à qui tu devras obéir. Il jeta un regard froid et imposant ensuite pour montrer sa supériorité : Je n'accepte aucune rébellion. Puis il reprit sur un ton plus détendu : Et toi, qui es-tu ?

Il attendit patiemment la réponse de la jeune fille tout en ouvrant le petit frigo de la limousine où était entreposé de l'alcool mais aussi de l'eau fraîche dont Madara pensait que ce serait idéal pour la jeune qui semblait avoir une gorge séché, il lui donna un verre remplit de cette eau avant qu'elle prenne la parole avant qu'elle se sent plus à son aise.

Invité

"Tout cela est passé si vite..."

Il était là, debout devant moi. Il lui a fallut peu de temps pour chercher son fouet. Peu de temps pour prendre la décision de me corriger dans la journée même. Alors que son bras se leva, je l'affrontais du regard. Soudainement un autre homme fit son apparition dans ma vision. Celui-ci empêcha l'esclavagiste de porter son coup. A ce geste, je restais muette. La surprise m'avait envahie, si bien qu'elle m'avait ôté les mots de la bouche. Je n'osais pas bouger dans les premières minutes, je me contemplais la scène d'un air passif, mais je contemplais surtout l'esclavagiste qui semblait désarmer face à cette intervention.

- C'est comme ça que vous traitez vos marchandises ? Libérez-là, je l'achète au prix que vous désirez. Je n'accepterai aucune autre violence contre elle, c'est compris ?

J'entends le bruit d'un trousseau de clé, le bruit de la serrure quand elle céda. Ma cage avait un trou béant. Sans même pouvoir réagir, l'inconnu m'aida à me relever, croisant son regard d'une lueur sanglante. Automatiquement, je me leva, mes membres semblaient ne plus m'obéir. Bien que ce regard inspiré la dureté, je restais indifférente. Ce n'était pas la première fois que je vais face à cela, j'avais l'habitude et cela ne déconcertait pas. Celui avait gardé ma main dans la sienne, je n'appréciais pas cela. N'importe quel contact physique me répugnais. Me je ne fis rien. Tout cela est passé tellement. Une fois que l'esclavagiste fut payé, je fus entrainée dans une voiture, une limousine pour être plus précise. J'en conclus donc que mon nouveau "maître" ne venait pas de la moyenne société comme j'en croise souvent. Cette conclusion était la portée de tous, mais le fait de rapporter cela dans ma tête m'aidais à construire une image de l'être que j'avais en face de moi. Un puzzle que je construisais pièce par pièce.
J'entrais en première dans la voiture, suivit de l'homme qui m'avais acheté. La porte claqua et prit place sans être convié. Il fallait bien que je pose, la hauteur était un peu restreinte. La voiture démarra. Et le moteur fit si silencieux que je m'en apercevais lorsqu'elle roula. Les voitures qui coûtent chers possède un moteur très silencieux. Ce n'était pas les voitures qu'on croise dans la ville à chaque tournant. Bien que cette ville semblait être prisée par la bourgeoisie.

- Je suis Madara D. Bloodwar, ton maître et la seule personne à qui tu devras obéir.

Ce fut le premier à se présenter. Le mot "maître" fit le tour de mon esprit en un rien de temps. J'avais toujours du mal à accepter ma condition, le fait qu'on dise de moi "esclave" (alias être inférieur à toutes autres) me rendais nerveuse. Pourtant je suis née avec ce fardeau et je devrais être habitué. Nous, les esclaves sommes digne d'un animal de compagnie. Et encore, les animaux de compagnies semblent être plus heureux que nous. Je n'obéis à personne encore moins à quelqu'un qui se dit être mon "maître", il a beau avoir payé, je n'appartiens à personne. Mon enveloppe charnelle à beau être vendu, mon esprit est furtif et insaisissable. Le regard qui m'adressa ne m'impressionnais pas. J'avais l'habitude de ce cirque. Je sonda un bref instant ses yeux et détourna le tête comme agacée.

- Je n'accepte aucune rébellion.

Aucune ? Vraiment ? Le mot "rébellion" fit monter la chaleur en moi. Quel agréable mot. Dire que je l'ai découvert il y a peu. Je lui faisais souvent honneur avec mes actes et mes paroles. Et oui, depuis la mort de mon premier maître. Des impulsions de révoltes avaient envahi mon corps et mon esprit. Je n'étais pas prête à écouter avec docilité les ordres de mon "maître". Le besoin de tester le caractère et les limites était une chose que je faisais souvent à ce que je rencontrais. La méfiance me suivais partout.

- Et toi, qui es-tu ?

Qui suis-je ? Ai-je droit à une identité ? C'est la question que je me suis souvent posée. Je ressemble à toutes les autres esclaves. Bien que nos histoires sont différentes, de loin elles se ressemblent tous. La seule chose qui change est le physique et le sexe. Attendant ma réponse, il me donna un verre d'eau. De l'eau fraîche sortit tout droit d'un petit frigo. Je n'osais pas le remercier, égarée dans mes pensées, dans mes plans sombres. Va t-il prendre cela comme un manque de respect, me faire une remarque froide ? Sans doute.

- Je n'ai pas vraiment de prénom, mais je me fais appeler le plus souvent Miu. C'est un prénom que je me suis choisie moi-même. Quand à mon nom, je le garde pour moi. Cela vous convient ? Ou dois-je approfondir ma présentation, "maître" ?

Ma voix fut d'un ton sarcasme. Le fait d'employer une tel ton montrer le fait que je ne serais pas des plus soumise et qu'il faudra bien plus qu'un regard meurtrier et une voix dure pour me mater.

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Rébellion... Un mot que la jeune femme semblait bien connaître dans ses paroles et dans sa gestuelle, Madara avait beau jeté des regards glacial qui montrait que son enveloppe était vide de tout sentiment même si ce n'était pas réellement vrai. La jeune fille semblait indifférente à cette froideur, il se dit que c'était sûrement dû à la vie qu'elle a traversée. Il lui offrit un verre d'eau fraîche en se présentant par la même occasion pour qu'elle fasse de même, et elle répondit avec un ton assez sarcastique montrant qu'elle n'allait pas si facilement se faire dompter. Madara ne put s'empêcher de la comparer à sa première esclave qui était bien plus docile que ça, alors Madara décida de la tester, la voiture était fermer donc aucune fugue n'était possible et Madara pourrait utiliser son pouvoir de téléportation en cas de réel problème. Il but un verre de sang et le déposa avant de reprendre la parole après qu'elle ait terminé, il prit un ton supérieur et arrogant :

- Dés que je t'ai acheté tu es devenu mon objet, ta vie ne tient qu'à un fil et je suis la paire de ciseau qui peut décider de laisser ce fil intact ou de le couper, c'est compris ? Tu n'es qu'un humain, sache rester à ta place esclave. Je suis un vampire, tu me serviras de nourriture quand j'aurai envie de sang ou d'assouvir mes désirs sexuels et tu te soumettras à tout mes désirs.

Dit-il sur un ton dur et sec, même si il ne croyait pas ce qu'il disait et il savait très bien faire comme si et tromper même le plus doué des esprits, il voulait voir quel genre de réponse ou de comportement aller adopter la jeune femme qui semblait ne pas du tout apprécier le fait qu'il soit son maître à la base, alors là il pensait qu'elle s'énerverait pour de bon mais Madara ne craint personne, il peut toujours esquiver une quelconque attaque. Les portes fermées, les vitres sont tellement dur que même Madara avec sa force de vampire il ne pourrait les casser, la voiture continuant à rouler, Madara attendant patiemment la réponse de la jeune fille à ses paroles...

Invité

Il y a bien longtemps qu'on aurait dû m'achever. Que j'aurais dû cesser de vivre. La paix que je convoite est si loin et à la fois si proche. Mais tout arrêter du jour au lendemain semblait inconcevable. Pourtant elle mettrais un terme à ma souffrance. Des doutes envahissent mon esprit. Je repose mes yeux sur l'homme. Il tient un verre où tremble un liquide rouge. Rouge comme le sang. Lors des premiers instants, cela ne me frappa pas. Je n'avais pas fais attention à ce drôle de liquide épais. Il prit la parole. Son ton, ses mots ne m'ébranlais point. Je restais toujours indifférente, encaissant les moindres vérités, les moindres mots avec légèreté. Ce n'est pas la première fois que j'entends un tel discours. Le seul point qui attira brièvement mon attention est le mot "vampire". Mais très vite j'oubliais sa nature, me préparant à une réponse.

" Ma vie n'est rien, qu'elle cesse maintenant ou plus tard, elle n'est rien. Alors qu'ai-je à perdre ? Vous avez beau être une race "supérieure", vous êtes mortels comme nous tous. Un pieu d'argent dans le cœur et votre vie cesse... "

Mon cœur battait de plus en plus fort. La rage alimentait mon rythme cardiaque. Ma voix devenait tremblante à chaque fin de phrase. Mon regard émettait une certaine fureur. Mes paroles étaient froides, insensibles. Je restais calme malgré mon comportement. Mais mon esprit ne semblait pas prendre le même chemin.

" Alors sachez que vous avez fait un mauvais investissement... "

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Madara provoqua la jeune esclave dans la voiture en utilisant un discours d'un pur maître se croyant supérieur à ses subordonnées alors que sans eux il n'est pas grand chose. Madara garda un air inexpressif mais il remarqua avec étonnement que c'était le cas pour elle malgré ce discours, peut-être en avait-elle l'habitude ? Ou bien n'avait-elle rien écouté ? La première était plus probable que la seconde... Lorsque Madara avait terminé elle reprit la parole en affirmant que le cours de sa vie importait, qu'elle meurt aujourd'hui ou demain elle s'en foutait, Madara ne pouvait s'empêcher de dire que c'est dommages. Puis elle eut une réponse que Madara avait prévu celle où un vampire est comme tout les mortels, un pieu dans le coeur et c'est finis. Les vampires sont plus sensible que les humains, ainsi dont il put capté après avoir porté attention que son rythme cardiaque s'accélérait, le discours l'avait donc quand même atteint, une nouvelle phrase fit reprendre les esprits à Madara, celui qu'il ait fait un mauvais investissement. Il prit alors la parole après avoir terminé son verre de sang :

- Dommage que tu rabaisses ta vie, elle a bien plus d'importance que tu le crois, tu n'as simplement pas de chance... Pour ce que j'ai dis tout à l'heure, je ne le pensais pas. Je voulais voir comment allais-tu réagir.

La voiture s'arrêta et le majordome ouvra la porte, ils devaient sûrement être enfin arrivé chez Madara. Madara à juste eu à faire un pas pour mettre son pied dehors et en sortir, tout en sortant il reprit la parole :

- Je ne pense pas avoir fait un mauvais investissement, au contraire.

Dit-il en sortant complètement avant de tendre la main pour l'accompagner à sortir de la voiture comme un vrai gentleman doit se comporter avec toutes les femmes. C'est le nouvel endroit où allait vivre la jeune fille avec Madara & Ayumi, Madara espérait que Miu n'allait plus être méfiante et profiter de la vie, une vie vaut le coup d'être vécu que si c'est une belle vie, et vaut mieux tard que jamais.

Invité

~ SUITE LA ~