(Le crissement distinctif de pas devant lui, Yamatori leva légèrement la tête, un Neko, comme tant d'autres, rien de spécial, juste rester sur ses gardes. Passer à la hauteur de l'autre, il put remarquer, noir, tiens, c'est presque intéressant noir, un reniflement de précaution, rien de plus se disait-il. À peine l'air entrait t'il dans ses narines qu'il s'arrêta, net, comme paralysé, un observateur aurais pu croire qu'on l'avait foudroyé sans éclair, il se retourna et agrippa à l'épaule, sans même y penser, son prochain interlocuteur, ouvrant la bouche, alors que l'autre se retournait, il ne put que déglutir avant que le flot ne devienne fluide)

-T... T... Je te connais toi... (Un doute vint le submerger et si il faisait erreur... Non, c'était lui) Tu serais pas Katsumoto?

Je marcha dans cette ville qui fut animée autrefois par de vrais principes et des valeurs fondamentaux à tout ce qui se représentait une vie paisible et sans danger. Un festival pour le nouvel an, le gong qui sonna pour alerter une attaque et en une seule nuit déchiré nos vies à tous. La tristesse se lisait dans mon regard, cependant je devais reconnaître que mon passé portait bien son nom. Désormais je devais ma vie et mon bonheur à Kaji, la soeur du plus terrible des trois tyrants de mon peuple: Lelouch Vi Britannia.

Si je me promenais en ces lieux, qui servait maintenant de terrain pour mes ennemis les démon c'était bien parce que je devais me nourrir lorsque ma maîtresse ne pouvait étancher ma soif. Je n'avais pas à le cacher mes véritables intentions sur ma venu ici: Je cherchais une victime pour me remplir le gosier et repartir au manoir le plus rapidement possible. Je ne pouvais pas choisir n'importe quel cible et je devais surtout frapper sans qu'il n'est un temps d'action pour elle. Je me suis décidé à aller dans ces ruelles sombres pour y trouver la racaille qui s'était donné le droit d'appeler ce territoire sans aucune valeur ''leur maison'' à qui j'allais dérobé non pas par les bien de la personne, mais plutôt sa vie.

C'est à ce moment que je me fit retourner brusquement par un passant qui semblait déboussolé par ce qu'il voyait. Je pouvais entendre les battements de son coeur battre aussi vite que que le son inutilement causé des chaussures du monde autour d'eux. Qu'est qui m'avait empêcher de lui arracher les yeux pour un tel acte? C'était bel et bien un neko, des oreilles aussi noir que les miens,quelques traits ressemblant et alors? Une odeur que j'avais déjà respirer durant des jours plus heureux revint rendre visite à mes nasaux respiratoire et par curiosité je me fis docile pour le moment, sachant que cette personne saura me dire ce qu'elle sait à se sujet.

-T... T... Je te connais toi... (Un doute vint le submerger et si il faisait erreur... Non, c'était lui) Tu serais pas Katsumoto?

Ah! Alors si je m'attendais à sa? Non pas du tout, même que je pensais bien ne jamais revoir un membre de ma famille vivant...Yamatori était peut-être bien celui que j'aimais le moins dans la famille du à son interminable moment d'absence, mais je devais admettre que sa faisait du bien de revoir deux hommes du même sang se réunire... En tout cas, le peu de sang qui me restait de ma famille du moins. Je l'emmena avec moi dans un coin isolé du reste du monde...Un coin sombre où personne ne pourra interrompre notre entretien familial et puis je lui posa ma question sans retenu.

- Que viens-tu faire ici et pourquoi tu n'étais pas là durant l'attaque du village!

(Son frère sembla surpris de le voir, comment en aurait-il été différent, il se laissa entraîner, mais une chose le troubla, après avoir pris l'épaule de son frère, il remarqua aucune chaleur, les théories d'illusions ou de manipulation de son esprit surgir, mais, rapidement, alors qu'il marchait encore, chassa les théories, il ne pouvait y croire, personne ne savait qu'il avait un frère. Mais alors pourquoi était-il si froid... Il chassa ses pensés quand il se retrouva seul, répondant aux interrogations)

Je reviens dans le coin pour t'aider justement, papa, maman, soeurette, tout le monde vas bien?
Pour l'attaque... J'étais parti avant vous pour le festival et quand l'assaut nous a touché, j'ai fuis et suis tombé dans une rivière, tu sais comment on nage dans a famille, j'ai faillit me noyer, mais j'ai été capturé et repêché ensuite pour être vendu comme esclave, toi, dis moi ce qui c'est passé.

(Il tenait, presque suppliant, mais surtout heureux que ça soit bien lui, son frère par les épaules, formant un cocus secret)

Comment pouvait-on bien réagir convenablement lorsque nous nous retrouvons face à ce qui reste de sa famille quand l'on croit l'avoir perdu à jamais? Certains seraient entrain de pleurer à chaudes larmes dans les bras de leur proche dans de telles situation...Exprimer sa joie de revoir un être chers faisait partie de la vie, cependant je faisais exception à la règle, car mon rôle sur cette île avait bien changé avant nos retrouvaille.

Je le regardais sans exprimer le moindre soulagement de sa présence en ces lieux maudits et écouta attentivement ce qu'il voulait me dire, cependant je devais avouer ma surprise en sachant qu'il ne savait rien à propos de nos parents ou bien encore de notre soeur. Je n'allais chercher les mots justes pour lui dire ce qui c'est passé là-bas il y a des années. De tout fâçon lui donné trop d'information sur ce qui n'est plus aujourd'hui n'avancerait à rien ce qu'il tenterait de faire dans le futur. Je me râcla la gorge en fixant le ciel, lèger sourire aux lèvres en pensant à la réaction qu'aurait son grand frère face à la nouvelle.

- * Notre chère mère fut violée avant d'être tué lors de notre fuite dans la forêt. Père avait tenter de défendre le village de toute ses forces, mais fut démembré par des adversaires plus puissants que lui...J'ai eu l'honneur de retrouver sa tête tout près de nôtre maison partie en cendre. Compte à la plus belle hybride du village, notre soeur chérie...Et bien elle travaille désormais dans un bar interdit aux hybrides ''clients'' et se fait baiser par tout les démons du coin. La seul et unique fois que j'y suis allé, elle semblait très heureuse de son sort vois-tu ce que je veux dire?*

J'arrêta mon discour pour contempler le visage de celui qui se tenait devant moi sans même perdre un instant mon sourire qui démontrait mon indifférence face à ce qui m'avait rongeait de mon vivant. Je pencha légèrement la tête en avant et regardait maintenant le néko avec un grand intêret. J'avais déjà envie de rire en essayant de deviner l'expression qu'il pourrait se dessiner sur son visage si il apprenait une autre nouvelle encore plus provoquante.

- *Tu as beau m'avoir reconnu grâce à l'odeur et exprimer ta joie dans des termes que je n'emploierai guère. Tu ne m'as jamais demandé la question suivante: Comment mon petit frère a t-il fait pour survivre ici tout ce temps? Et surtout, comment va sa santée si fragile depuis l'attaque?...Voudrais-tu que je réponds pour toi frérot?*

J'attendais sa réponse, c'est tout ce que j'avais à faire pour le moment. Mais je devais avouer que je prenais plaisir à le faire réfléchir sur mon sort.

(Son visage perdit peu à peu la teinture de joie, pour n'en révéler aucune, il s'était attendu à pire, au moins la grande soeur était vivante et heureuse, avec lui, le petit frère, il le regarda dans les yeux, ne défit pas son étreinte, sachant pertinament que l'homme froid devant lui n'aimerait sans doute pas ça.)

Je vois... Moins pire que ce que je ne croyais, tu es vivant, soeurette aussi, c'est l'important, mais dis moi ce que tu as vécu, tu as, visiblement eu des temps difficiles, je veux savoir, tout les détails que tu veux me dire.

(Il pointa une oreille, un simple passant, portant un grand manteau et chapeau, il l'espérait du moins, il mit son doigt pour exprimer que la réponse attendrait, quelques minutes, le passant n'était plus en vue, l'oreille retourna vers le petit frère, il enleva son doigt, l'endroit était aussi sûr qu'une ruelle pouvait l'être, soit, absolument pas, mais cela ferait, pour le moment, car l'heure tournait lui même avait quelques petites choses dont l'échéance se rapprochait, il ne pourrait pas tarder plus d'une trentaine de minutes, alors qu'il devrait, déjà courir.)

Okidoki, j'essaierai de trouver.

Edit: Fait, 7 lignes, au total.

Je fis rouler mes yeux dans mes orbites en réalisant que mon frère n'était aucunement intrigué par la mort de nos parent et semblait même soulager de constater que ce qui restait de sa famille soit encore en vie sans même tenter de comprendre ce qui leur était arrivé. Un frère comme le mien sa ne se trouve pas à tout les coins de rue... J'allais donc faire un effort absolument inutile pour lui raconter un brève résumé de ma situation, mais à peine voulu placer un mot qu'il mis son doigt sur mes lèvres pour m'empêcher de parler. Avait-il encore tout sa tête ou bien je devais le tuer maintenant!? Il y avait un étranger non loin d'où est-ce que nous nous trouvions et les battements de son coeur était parfaitement normal à tout être n'ayant rien à se repprocher. Alors pourquoi en faisait-il tout une histoire? Bref... Je le repoussa sans retenu pour lui faire comprendre que je commencais à trouver son cirque sans intêret et le regardai droit dans les yeux avant de rétorquer.

-<< Bien sûr que je suis en vie! Puisque je suis l'un des leurs idiots! As-tu seulement pensé pendant un instant que j'aurai pu fuir aussi longtemps? Le seul moment où j'avais baissé ma garde fut l'instant où je pensé avoir tout perdu à commencé par ma famille, mes amis, ma liberté et par dessous tout...j'étais en peine d'amour lorsque l'on m'a capturé! Ici! Sur cette terre de débauche!>>

Je ne me sentais nullement affligé par mes propres paroles puisque mon malheur appartenait désormais au passé. Peu importe ce qu'il penserait de mon comportement, je savais maintenant qu'il n'y avait plus de reour en arrière pour moi.

-<< Si maitresse Kaji me le demandait, je tuerai notre soeur sans la moindre hésitation, pour être devenu non pas l'esclave d'un maître aimant la luxure, mais pour la luxure elle-même. J'aurai préféré avoir les yeux arracher plutôt que de voir notre soeur en quête d'acte sexuel sans jamais reprendre son souffle! >>

Je m'en souvenait parfaitement et encore aujourd'hui j'avais envie de vomir en contemplant mon passé, qui reflêtait mes souvenirs tel un miroire. Elle n'était plus maître de ses désirs...juste un jouet voué à disparaître lorsque les rides viendront fâner sa beauté. Elle n'avait déjà plus aucune valeur à mes yeux. Sans fléchir, je restait droit de tout ma hauteur face à ce rebelle et n'arrivai point à me décider sur son sort : Le laisser partir tout en fermant les yeux ou bien l'arrêter? Qu'il est eut le même sang que le mien était la seule raison pour laquelle j'hésitais encore.

(Le jeune Neko le regarda parler, lentement, il ferma les yeux, puis tout aussi lentement, dès que les yeux furent mi-clos, il approcha le front sous ses cheveux noir du front de son frère, l’atterrissage fut doux et froid, pour notre Yama du moins. Il attendit qu'il est complètement finit de parler, puis prit lui aussi un instant avant d'ouvrir la bouche.)

Un jour, alors que je questionnait papa sur ton état de santé, il m'avait dit que, même si tu avais l'air faible physiquement, que tu allais sans doute avoir de nombreuses embuches dans la vie, que tu deviendrais quelqu'un d'unique qui serait très fort, mais d'une autre manière que physique... Je pense qu'il avait raison... De ce que je comprends, tu n'es pas devenu fou, tes valeurs ont changés, c'est la moindre des choses dans ce monde si nouveau et si ancien.

(Et, comme il y a une décennie, le jeune homme assassin baisa le front de son frère avant de rouvrir les yeux et, cette fois, de ne plus sourire, les yeux d'un tueur, froid, cruel, glacial. Il regarda le plus jeune des deux dans les yeux.)

Tu es devenu un Vampire, non?

(Il avait rencontré plus d'un vampire par le passé, avait dut faire le sale boulot plus d'une fois aussi, il les savait puissant, il avait faillit mourir toute les fois où il en avait rencontré un, perdu nombre de partenaire tueur à gage pour la tête d'un seul d'entre eux. Même si il n'avait pas le temps, ni la volonté réelle de le combattre maintenant, il sentait dans son sang que ça viendrait un jour, ou l'autre. Ce jour là, il ne savait pas si il hésiterait, et n'avait pas besoin de s'en soucier, pour le moment bien sûr.)