La nuit était calme. La lune éclairé la rue devant moi. J'avais faim de la chair d'une femme. Là ba j' en trouverais bien une... Même si elle n'était pas... consentante au premier abord. Mon charme et ma prestance m'aiderais à exciter un peu la belle. Qui sait, c'était peu être cette nuit que je me ferais une petite compagne d'un soir, voir plus si affinité. Cette pensée me fit éclater de rire alors que j'entrais dans le hall des sources chaude. Il y a peu de femme qui ici, cherchent un partenaire régulier . Raa, j'ai envie de sentir la chair d'une femme sur mon corps. Son dernier ébat remontait à maintenant plus de 20 ans. Cela commençait à faire un moment et il voulait à tout prix se remettre en selle. Même une humaine ferait l'affaire. Du moment qu'elle soit... perverse. J'aime les femmes qui savent si prendre avec les hommes, celle qui ne manquent pas de poigne, si l'on peut dire.

Je pousse la porte. C'est un gérant. Ce dernier me regarde rentrer et me laisse me diriger vers les vestiaires. Il n'a rien dit. Pas le moindre mot. Même pas un petit salut. Si je n'avais pas été aussi excité. Peu être l'aurais je bousculé un peu. Il commence à faire chaud. Sur le chemin, je croise croise une femme. Je me lèche les lèvres et en passant à côté d'elle il lui lance un regard. Elle me le rend, en rougissant. Elle est plutôt mignonne. Un doigt passe près des fesses de la jeune femme. C'est une humaine et un frisson, lui parcourt le dos. Mais elle ne dit rien. Je m'arrête, elle aussi. Elle respire vite. Je souris et me retourne je m'avance vers elle doucement, c'est très lentement que je lui saisit le menton avec douceur et que je l'embrasse. Un vrai délice. Elle y prend gout, elle aussi. Ce baiser ne dure pas longtemps, mais suffit à m'exciter encore plus. Je relâche ses lèvres, un homme vient de l'appeler à travers le couloir. Il est grand, musclé, mais humain. Il me regarde, hors de lui. Pas la peine de s'énerver. La température chute de plusieurs degré. Tous les démons savent faire ce petit tour de passe-passe, sa fait toujours sont petit effet. Mais la femme s'enfuit et l'homme en fait de même en sachant ce que je suis. Bon.

Une fois déshabillé, je m'entoure la taille d'une serviette et ouvre la porte des sources chaude. Il y a déjà quelqu'un. Je souris, laisse tomber sa serviette sur le sol et rentre lentement dans l'eau. Je regarde la jeune femme, qui elle n'est pas humaine au vu de ses capacités loin d'être normal. En un instant je suis près d'elle. Je me penche. J'ai soufflé ses mots d'une voix suave.

• Est ce aussi agréable qu'avec une personne masculine ?
  

Je souris. Elle transpire l'excitation sexuelle.

• Permettez moi de me présenter. Je m'appelle Caïn Scarecrow. Si une déesse telle que vous acceptait de me dire son prénom, elle remplirait mon cœur d'allégresse et mériterais que je me plis à ses désirs en gage de reconnaissance.