Partiras ou Partira pas ?[PV Kaji Vi Britannia]

Une journée de plus à passer dans la salle des ventes. Une salle qui avait d’avantage l’allure de prison, ou chacun était parqué dans une cellule miniature. Tous – comprenez les futures maîtres et maîtresse – pouvait les voir et s’il le désirer les voir des plus près, les vendeurs était la pour satisfaire les désire des potentiels acheteurs.

Edrich, lui supportais de moins en moins cette ambiance. Il pouvait voir les autres hybrides et les humains – qu’il n’avait que très rarement vue – qui était tous beaucoup plus jeune que lui, ou en tous cas beaucoup plus mignon. Il avait la ʺtête de l’emploieʺ si on pouvait dire, il était : jeune, assez petit en taille, mignon et de grand yeux effrayé ou bien implorant pour qu’on les sortes d’ici. Si au début il avait espéré sortir d’ici – et ceux bien qu’il soit attrister de l’abandon de son maître qu’il aimé temps – et qu’il affichait une certaine excitation à trouver un nouveau maître.

Aujourd’hui, il avait abandonné l’idée de sortir d’ici, il avait l’impression qu’il finirait par vieillir ici et y mourir. Son attitude s’en faisait d’ailleurs ressentir, il semblait de plus en plus prostré sur lui-même, et il ne regardait même plus à l’extérieure de ça cage pour voir arriver les nouveaux « clients ». Il était beaucoup trop vieux, et il n’était même pas mignon – ça cicatrice n’arranger pas les choses – trop grand aussi… combien il regrettait de ne plus être un enfant. Il se sentait vraiment dépendant de son maître, sans maître il ne savait pas quoi faire, il se sentait perdu, incapable, bon à rien…

Il contracta sa mâchoire le plus possible, pour ne pas laisser échapper les larmes qui menacer de sortir. Pourquoi avait-il du grandir, s’il était resté un enfant, jamais son maître ne l’aurais abandonné et il aurait pût continuer à vivre confortablement, dans les bras de son maître. Il aurait continué à avoir tous l’attention et la tendresse qu’il désirer et tous ce qu’il aurait à donnée étaient son sang et ses petites bouilles d’enfant.

Il finit par se laisser tomber contre le mur, et plus lasse qu’autre chose, il soupira complètement défet. Un bruit attira son attention, ses oreille se tournant en direction du bruit comme pour l’identifié, il tourna tous de même la tête et pût voir qu’une personne était présente devant sa cage. Un peut intimider ses oreilles se baissèrent sur le sommet de sa tête, et il se recroquevilla un peut sur lui-même, gardant son regard grand ouvert fixé sur la personne, alors que ça queue elle commençait à s’agité un peut, comme impatiente.

Il ne fallait pas qu’il espéré, la déception était beaucoup trop douloureuse, il le savait pour l’avoir vécu. Alors il attendit sans bruit, voir ce qui allait se passer pour lui.

Une nouvelle journée faisait place sur l'île des vices, un jour comme les autres c'est à dire tout aussi ennuyeux que les précédents. Les surprises et les nouveautés se faisaient grandement désirées depuis un moment à mon plus grand dam hélas. Mais bon il fallait dire que je m'ennuyais extrêmement vite, et c'est ainsi que ma lanterne s'illumina d'un coup s'imposant à moi comme une révélation des plus tentatrices. Un nouvel esclave ! Pourquoi pas ? Après mon dernier achat qui n'était autre que ce petit Katsumoto il y avait eu un certain temps qui avait passé depuis. Et seul le dieu des démons savait à quel point la lassitude était pesant pour moi, heureusement que j'étais plutôt créative en jouant avec mes esclaves. Et un nouveau jouet me faisait toujours très plaisir, car ils pouvaient me divertir comme une poupée le ferait si bien avec une petite fille.

Je me rendis donc voir mon frère Lelouch dans son bureau dans le but qu'il me donne de quoi faire quelques emplettes histoire que je ne revienne pas les mains vides, et ceci fait je pris ma journée qui n'était guère bien remplit ayant une vie de véritable princesse pour me rendre sur le marché aux esclaves. Comme d'habitude ayant à peine franchit un pieds sur le seuil de l'entrée qu'un vendeur vint à ma rencontre d'une manière très respectueuse. C'était un homme plutôt âgé, montrant une cupidité extrême. C'était ça de porté un nom tel que le mien à ma plus grande joie. M'accompagnant donc, j'observais plusieurs cages, voyant des êtres enfermés à l'intérieur comme de vulgaires hamsters. Si j'avais pu ressentir des sentiments tel que la compassion ou la pitié j'en aurais versé des larmes tellement c'était pitoyable à voir. Mais bon, moi ça me faisais sourire, ça me divertissais même de voir ces êtres si faibles traités comme des animaux primitifs.

Et ce fût après quelques minutes passées en contemplant ces dites cages qu'un certain hybride attira mon intérêt. Il possédait des cheveux blanc comme neige, et une peau tout aussi pâle que sa tignasse. Des yeux ambrées ornant son visage tel que les miens, et possédant une taille bien plus grande que ces congénères. Oui, il était certain qu'il avait dépassé l'âge juvénile, c'était devenu un jeune adulte. Mais mal grès tout il me plaisait rien qu'en le voyant, ce n'était pas certes une œuvre d'art mais il avait son charme bien à lui. Naoki mon premier esclave avait à peu près son âge donc à vrai dire ça ne me dérangeais pas spécialement ce genre de critère. Malheureusement ma contemplation s'arrêta net, quand le vendeur intervint ce qui me dérangea au plus haut point.

- "Kaji-Sama cet bestiole est trop vieille pour vous ! Prenez donc un esclave remplit de jeunesse."
- "Depuis quand me dit-on ce que je dois faire ? Sortez le ..."

Il ne se fit pas prier bien longtemps quand mon ordre fût donné. Tout le monde savait bien sur cette île que j'avais tué de nombreux vendeur pour m'avoir imposé de grosse somme d'argent ou encore pour m'avoir désobéis. Ainsi le vieil homme ouvrit la cage avec une de ses nombreuses clés, et je pus alors constaté que ce neko était bien plus grand que moi ...

Edrich se sentais vraiment timide sous le regard de la jeune femme, malgré qu’il ne voulait pas espérer… c’était plus fort que lui, surtout que c’était la première fois qu’on s’attardait autant devant sa cage. La jeune femme semblait plus petite que lui, mais elle avait un charisme assez impressionnant. Elle était sûrement quelqu’un d’important, puisque le vendeur ne l’avait pas encore quitté, comme s’il était disposé à obéir à chacun de ses ordres.

- "Kaji-Sama cet bestiole est trop vieille pour vous ! Prenez donc un esclave remplit de jeunesse."

Les paroles du vendeur semblaient comme une sentence. Il baissa complètement la tête, et ses oreilles accompagnèrent le mouvement en tombant de chaque côté de sa tête, sa queue cessa de battre doucement derrière lui. Il savait pourtant qu’il était trop vieux, il serra autant que possible les dents pour ne pas pleurer, mais en vint. Des larmes silencieuses dévalèrent le long de ses joues.

- "Depuis quand me dit-on ce que je dois faire ? Sortez-le ..."

Il releva brusquement la tête vers la jeune femme – sa future maîtresse – les yeux écarquillés. Alors il allait sortir, il allait avoir une maîtresse. Un sourire timide, mais clairement heureux apparut sur ses lèvres, alors que ses oreilles s’était de nouveaux dresser sur ça tête et que sa queue battais plus énergiquement l’air derrière lui.

Le vendeur lui se dépêché d’obéir à sa maitresse, ouvrant sa cellule rapidement – il pouvait voir qu’il tremblait un peut, visiblement pas très rassurer. Il rentra dans sa cellule et le poussa vers l’extérieure de la cellule, en marmonnant – menaçant – entre ces dents :

« - Fait gaffe à ce que tu fait. »

C’était vrai qu’il n’était pas rare de voir quelque hybride ou humain attaqué leurs future acheteur, mais lui n’aurais jamais fait ça. On lui donnait la possibilité de sortir d’ici, d’avoir une maîtresse, il était beaucoup trop heureux pour faire quelque chose d’aussi stupide.

Dans cette situation, la seul chose qui lui posait problème était qu’il se sentait intimidé, il n’avait eu qu’un maître – un homme – il n’était pas sur de savoir comment agir avec une femme. Surtout qu’il voyait bien que son ancien maître n’avait rien en commun avec cette femme. Leurs regards était bien différent, de même que le maintiens qu’il affichait en publique. En même temps il ne pouvait pas s’attendre à avoir un maître identique au précédent – c’était même fort peut probable puisque l’homme l’avait abandonné car il était trop vieux.

Il inspira discrètement, avant de demander doucement – désireux de savoir ce qui allait lui arrivé.

« - Vous allez être ma maîtresse ? »

Il fallait qu’il s’en assure. Il aurait voulut aussi lui poser beaucoup d’autre questions, mais il ne se sentait pas à l’aise pour les poser dans cette endroit, aussi il ne savait pas s’il en aurait le droit. Il avait largement pu constater que la plupart des ʺacheteursʺ n’appréciait pas que leurs esclaves soit irrespectueux ou désobéissant comme il le disait. Dans ces moment l’esclave était soit sévèrement punis, soit remis en cage, et il ne voulait pas prendre se risque.

Il ferait tous pour satisfaire sa nouvelle maîtresse si elle voulait bien de lui, si elle voulait bien s’occupée de lui.

« - Je promet de tous faire pour vous, maîtresse.»

Mais il était vraiment trop heureux de sortir de cette endroit, d'avoir à nouveaux quelqu'un qu'il pourrais servir et qui lui apporterais de l'attention. L'excitation pris le dessus et il s’emballa, s’approchant rapidement de sa maîtresse et se mettant à genoux devant elle. Il lui pris doucement les mains comme pour l’assurer de la véracité de ses paroles.

J

F

- "Oui tu es à moi maintenant, je compte sur toi pour me servir correctement."

J

- "Je me nomme Kaji Vi Britannia. Présente-toi."

J

Edrich ne pût s’empêché de ronronné en sentant la main de sa maîtresse fourragé ses cheveux et l’attirer à elle pour un baiser sur le coin de ses lèvres. Il était un peut surpris de ce geste, mais bien trop heureux pour se poser trop de question. Si ça maîtresse le trouver à son goût, alors il était le plus heureux de tous ceux ici présent, et bien plus encore.

- "Oui tu es à moi maintenant, je compte sur toi pour me servir correctement."

Toujours en ronronnant il hocha la tête. Il n’avait aucune intention de décevoir celle qui le libérais de cette endroit atroce. C’elle qui lui offrait la possibilité d’être utile à nouveaux, et plus encore alors qu’elle s’était montré si douce avec lui. Non, il se le promettait, jamais il ne décevrait sa nouvelle maîtresse, il ne lui donnerait pas de raison de le renvoyer dans cette endroit. Jamais.

Docile, il se laissa relever par sa maîtresse. Il se sentait un peut gêner d’être plus grand qu’elle et se tortilla un peut sur lui-même. Bien qu’il était adulte à présent, il avait toujours été plus petit que son maître – ce qui n’avait pas empêché celui-ci de l’abandonnée – et ce retrouver plus grand que sa maîtresse le laissait un peut angoisser, bien qu’il essayait de le cacher.

Il se laissait entraîné par sa maîtresse, qui tenait fermement sa main, jusqu’à l’extérieure. L’endroit était indéniablement moins bruyant et l’air semblait plus pur, le faisant sourire de contentement. Il se sentait déjà au bord de l’euphorie d’avoir une nouvelle maîtresse si douce pour lui, sortir de cette endroit infecte, le bonheur évident de sa nouvelle maîtresse… sa semblait presque trop beau pour être vrai.

Il n’avait d’yeux que pour sa maîtresse et se demandais ce qu’elle voudrait qu’il face pour elle. Elle du remarquer qu’il était torse nu – et avait visiblement prévue de quoi l’habiller – puisqu’elle lui enfila un t-shirt, il se laissa faire et l’aida même à rendre sa tache plus simple. Il avait l’impression de redevenir le petit enfant qu’il aurait toujours voulue rester, le faisant ronronner de nouveaux. S’il n’avait pas été en publique il serait sûrement allez se blottir contre elle – espérant que ce genre de comportement ne la gênerais pas – mais il attendrait d’être seul avec elle, pour s’adonné à ses actes de tendresse.

- "Je me nomme Kaji Vi Britannia. Présente-toi."
« - Je m’appelle Edrich Valentine et merci pour les vêtements, maîtresse Kaji. »

Il était toujours extrêmement polie, certains pouvait trouver ça agaçant, mais son maître l’avait bien éduqué. Il savait que ses marques de politesse servaient à faire comprendre la position qu’il avait vis-à-vis de la société, lui rappeler à également qu’il était celui qui devait apporter le bonheur à son maître et non l’inverse, que s’il faisait bien sa taches, alors seulement il serait récompenser d’attentions.

« - Ou est-ce que nous allons maintenant, maîtresse Kaji ? »

Il ne pouvait pas s’empêché d’essayé d’attirer son attentions, comme s’il était entrains de faire d’elle le nouveaux centre de son univers. Il voulait mieux la connaîtrais, savoir ce qui lui était autorisé et ce qui ne l’était pas. Il voulait la connaître au plutôt pour pouvoir la satisfaire au mieux, et obtenir son attention. Mais il ne voulait pas faire ça dans la rue, même si l’endroit était beaucoup plus agréable que la salle des ventes.

C’est pour ça qu’il espéré qu’elle dirais qu’il rentrez chez elle, ou du moins dans un endroit privé ou il pourrais la découvrir sans tous les regards des passant qui attardais sur eux.

J'étais simplement comblée de joie après cet achat. Mon nouvel esclave nommait Edrich Valentine - que j'allais surement surnommé Ed - était parfait correspondant tout bonnement aux attentes que j'avais lors de ma venue au magasin. Son nom était original. Oui on pouvait le dire, j'avais eus de la chance de le rencontrer. Lui tenant toujours la main, je pavanais excentriquement devant tous les autres démons dans les ruelles où l'on passait, car j'étais on peu plus fière de cet hybride chat de grande taille. Bref, il nous restais un tout petit bout de chemin avant d'arriver à destination : l'immense Manoir Vi Britannia. Écoutant mon tout nouveau compagnon en le regardant du coin de l'œil, il me fit de nouveau sourire. D'habitude les esclaves étaient un peu plus silencieux, mais cet hybride aux cheveux blanc comme neige, faisait en sorte que je lui donne un minimum d'attention en posant des questions assez pertinentes. Le regardant donc, je lui dis :

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- "Nous allons au manoir Vi Britannia, ton nouveau chez toi pardi ... J'espère que tu t'y plairas. Car tu resteras avec moi très très longtemps."

J'avais fais en sorte dans ma brève réponse qu'il comprenne que je ne tenais aucunement à l'abandonner comme l'avait fait son imbécile d'ancien maitre sous prétexte qu'il était devenu "vieux". Mes achats, au si longtemps qu'il datés étaient des achats très sérieux et non des caprices malgré le fait que je sois de nature capricieuse et enfantine. Que ce soit Naoki, ou Katsumoto je n'avais aucune intention de m'en séparer quel que soit le motif. Ce qui était à moi, état à moi. Rien de bien compliqué, non ? Surtout que j'étais très possessive et égoïste, je ne voulais pas abandonné mes biens pour que d'autres les prennent comme je l'avais si bien fait avec Edrich. C'était une chose qui m'insupportait au plus haut point. Il était intolérable qu'un ou une autre me prenne mes jouets. Il en était hors de question.

Après cette brève discussion, le manoir pointa enfin le bout de son nez en face de nous. Rentrant donc dans cette immense bâtisse, je fus accueillis comme une véritable princesse par les innombrables serviteurs de la famille. Ne prêtant pas plus attention à ses hommes et femmes de mains, j'attirais Edrich dans les grands escaliers de marbres blancs, lui lâchant enfin la main. Faisant en sorte qu'il me suive ce qui fut une tâche assez simple, je le fis rapidement entrer dans une immense salle de bain, fait également de marbre luxueux. Me précipitant sur la baignoire, j'y fis coulé de l'eau chaude dans le but d'obtenir un bon bain.

- "Tu a vécu dans une misérable cage dégoutante, un bain s'impose très vite ... Déshabilla-toi ..."

En prononçant ces mots, je me retournai pour lui faire face. Assise sur un des rebords de la baignoire, je le regardais sans la moindre gêne apparente. Je n'étais pas pudique, et Edrich devait rapidement s'y faire.