Soit belle et tais toi. [PV Surya Kô]

Quelqu'un ramassa le bol de soupe plein de Valérianne . Le vendeur chargé de cette corvée, ramassait un à un les bols des esclaves, la plupart était vide, les esclaves affamées ne faisaient pas attention aux goûts,
Ce qu'elles voulaient, c'était manger. Valérianne , elle, ne touchait jamais au bol du soir, car il était généralement bourré de drogues, le vendeur en donnait à certaines esclaves pour profiter d'elle ensuite. Mais Valérianne était méfiante.

Quelques temps après, le calme était revenue, Valérianne remarqua que certaines esclaves commençaient à somnoler, tant pis pour elle. Elles auraient du se méfier. Valérianne s’assit au fond de sa cage et replia ses jambes sous elle-même, avant de baisser la tête, elle attendrait ainsi jusqu'au moment où le sommeil la gagnerait. Mais elle n’en aurait pas le temps, elle entendit d’abord des talons claquait sur l’acier froid de l’entrepôt, une vendeuse sans aucun doute. Elle passait tout près de sa cage, le bruit commença à s’éloignait quand il revient vers elle. Une voix grave se fit entendre

« Toi, Valérianne … debout, tu viens avec moi »

Elle se redresse alors et se dirige vers la sortie, la vendeuse la prend par un bras et l’entraîne vers le coin des douches. Valérianne garde le silence, elle sait déjà ce qui va se passer. Elles entrent dans la salle d’eau, enfin tranquille la vendeuse lui parle, cela confirme ses soupçons.

« Ce soir, tu sers en salle de dressage, c’est une demande privée… j’aurais préférait que ce soit une autre esclave que toi… j’ai toujours peur avec ses demandes privées »

Elle ne dit rien mais entraîne Valérianne dans la première douche et ouvre les robinets, un jet d’eau froid ruisselle le long du corps de Valérianne qui frissonne, c’est toujours aussi désagréable. Mais c’est ainsi, il n’y pas d’eau chaude pour les esclaves.

Quelques minutes plus tard, elle sort de la douche, la vendeuse lui tend une serviette pour qu’elle s’essuie, en temps normal, c’est à la vendeuse de faire cela mais elle lui laisse quelques libertés, elle sait que Valérianne ne supporte pas encore qu'on la touche. Elle lui donne ensuite des sous vêtements en dentelle noire et violette. Valérianne les enfilent sans rechigner, ce soir, elle n’a pas envie de protester. Dans cette tenue, elle paraît beaucoup plus vieille, elle met ensuite des talons aiguilles. Lorsqu’elle est nue, elle paraît beaucoup plus jeune que son âge, sa petite poitrine n’arrange rien. Mais ainsi, elle sait ’effet qu’elle produit sur les autres, il suffit de voir le visage de la vendeuse.

Elles ne disent plus rien maintenant, elles sortent des douches et la vendeuse la conduit dans des escaliers, elles remontent à la surface. Valérianne connaît ce chemin. L’entrepôt où se trouve les esclaves est adjacents au marché mais aussi à la salle de dressage, ainsi elles servent des deux côtés.

La salle est grande avec deux parties bien distinctes, un côté lit, en soie rouge et noire, où trône quelques jouets prêts à l’emploi, de l’autre c’est le coin que Valérianne appelle La Torture, une table en acier caché derrière un paravent, Valérianne ne les a jamais vu. Elle se retourne mais elle est seule...

Elle n’attendra pas longtemps, elle entend déjà la porte s’ouvrir…

Qu'est ce qu'elle pouvait aimer cette îles... Tant de chose a voir, tant de chose a faire. La jeune femme adorait ce qu'elle faisait, chasser des être humains et des hybrides c'est quelque chose de passionnant, surtout qu'elle adorais les voir la supplier.. enfin il lui fallait a présent une poupée pour jouer...

Elle vivait a présent avec son cousin, dans la villa qu'elle avait acheter, bon il est vrai que le jeune homme avait une jolie petit vachette mais elle voulait quelque chose en plus quelque chose rien que pour elle.. C'est donc habillée d'un jupe en cuir et d'un haut en vynil noir qu'elle se rends au magasin... Elle avait déjà put un peu observer les esclaves alors qu'elle attendais Takeshi, et elle savait déjà celle qui lui fallait.

Comme toujours elle demanda a pouvoir essayer la créature avant même de la prendre simplement parce qu'elle n'aimait pas prendre et être déçues... Tranquillement chercher son coussin, pour l'observer dompter une de ces petites rebelles, c'est fou ce que de le voir violer ces filles lui donne envi d'être a leur place ou de leur faire la même chose. Elle sent l'excitation et l'envie monter dans son corps, quand enfin on vint la chercher...

Un sourire carnassier naquit sur le visage de la jeune, alors qu'elle suivit la vendeuse ces talons claquant sur le sol avec enthousiasme, elle adorais jouer avec les filles autant qu'avec les hommes... Un instant observer la jeune proie a travers un hublot de la porte.. Elle est vraiment mignon, bien qu'elle ne semble pas vraiment très âgée, des seins ferme et pas trop gros...

Un instant se passer la langue sur les lèvres... Et ouvrir la porte, son pas décidé l'amena rapidement a la jeune femme .. De laquelle elle souleva le menton, venant lui voler un baiser brutal, la mordant délicatement, sans la mordre a sang, sa poigne était forte et surtout elle empêchait la femme de bouger la tête, son autre main vins se promener sur le corps de la jeune femme.. Humm elle avait la peau douce, cela lui donnait des envies de mordre.

« Pas mal. »

D'un mouvement lâcher la jeune femme avant d'aller bouger le paravent dévoilant les objet de torture assez amusant...

« Au pieds. »

Un ordre net clair et précis, voyons si la jeune femme allait obéir, tranquillement la jeune femme passa ces doigts sur les instrument jusqu'à trouver ce qu'elle cherchait, un joli petit collier en cuir avec l'anneau de soumission... Dans le même temps elle prépara deux seringue de lavement... Et oui elle aimait que ces esclave soient propre jusque dans les entrailles... Son regard glacial se posa sur la jeune femme alors que ces doigts commencèrent a tapoter sur sa jupe que la gamine se dépêche, la patience n'est pas son fort.

Valérianne jeta un regard discret vers la femme qui venait d'arriver dans la pièce, elle lui plut de suite, cette carrure athlétique, ces yeux froid et une marque mystérieuse sur le front et ces cheveux blancs faisaient de cette femme une beauté. Valérianne baissa la tête aussitôt et regarda ses pieds, elle entendait que la maîtresse se rapprochait d'elle, puis elle vit dans son champ de vision des bottes en latex, sans aucun doute. Elle la laissa posé sa main sur son menton puis redressa sa tête et la fixa avant de lui adresser le plus beau des sourires. Valérianne fut surprise qu'elle lui prenne la bouche avec autant de duretée, mais elle sentait que c'était normal vu sa condition et ça lui fit tout juste assez honte pour rougir mais en profitant en même temps de la douceur de ses lèvres. Quand elle se sépara de la jeune femme, elle était confuse, elle avait apprécié cette prise brutale, mais avait peur de la suite et des objets qu'elle voyait devant elle, elle ne savait même pas à quoi servait la moitié. Elle fut vexée que la femme ne lui demande pas son nom, mais elle avait une allure si sure d'elle et dominatrice que Valérianne ne pensa même à protester. En fait comme si son corps était dirigée par un marionnettiste, elle sentit ses genoux se plier sur l'ordre de Surya. Le temps de comprendre ce qu'elle faisait c'était déjà trop tard, Surya avait bien vu qu'elle avait commencer à se baisser, se relever se serait un affront, mais continuer... c'était humiliant. Alors pourquoi avait-elle envie autant de continuer ? Elle se retrouva à quatre pattes à se mordre la lèvre pour ne pas verser de larme d'être si faible et elle avança lentement vers la maitresse. Valérianne était boulversée par ses émotions et elle savait que son corps était éveillé, elle sentirait tous les attouchements avec plus de détails... Elle s'initiait à la soumission devant sa maitresse.

La jeune femme souris tranquillement en voyant la jeune femme s'agenouiller et puis se mettre a quatre patte, parfait, jolie petit mouvement, avec attention l'observer avancer c'était tellement chou de la voir les larme au yeux...

Doucement lui soulever le menton du bout du pied, l'observant avec le sourire...

« Alors l'on veut être une petit chienne... Lèche.»

Tendre le pieds, tout en agrandissent un peu sa main pour venir arracher la culotte de la jeune femme, c'était assez agréable de pouvoir faire cela, sa main caressa en douceur la courbure de ces fesses, ces doigts venant un instant titiller son anus, avant de descendre et de venir effleurer son entre jambe et bien la jeune femme était bien excitée...

Faire reprendre a son bras la taille habituelle, et se baisser...

« Mieux que ca.. Je veux que mes bottes reluise. »

Un rire a nouveau, alors qu'elle se pencha souple pour lui passer le collier autour du coupe, c'était un vrai plaisir que de voir la langue de la jeune femme passer sa langue sur ces chaussure surtout qu'elle était un peu sale... Parfait... Pourtant la jeune femme eu un sourire frappant la jeune femme au ventre quand elle en eu assez la faisant rouler jusqu'à un coin qui ressemblait qui ressemblait a une toilette...

D'un pas tranquille venir s'agenouiller prés de la fille, une seringue assez grosse en main...

« J'aime que mes petites chiennes soient bien propre même a l'intérieur. »

Un rire a nouveau avant qu'elle ne passe derrière la femme, enfonçant sans hésiter le bout de la seringue et qu'elle poussa le liquide a l'intérieur, elle aimait faire cela voir gonfler le ventre de ces proie, les voir avoir honte de se laisser aller était quelque chose de passionnant.

La maitresse me releva le menton avec son pied, pendant quelques secondes je réussit à m’oublier pour penser à elle. Qu’est-ce que cette femme tirait de ma position ? Pourquoi voulait-elle une esclave ? Etait-ce un besoin, une manière de vivre, ou était elle devenue comme ça ? Que devais-je faire surtout : lui faire plaisir ou résister ? Ma tête bouillainait mais pas autant que mon corps quand elle me demanda de lécher sa botte…. Et quoi ? Je suis une chienne ?
Je léchait sa botte.

Ho mais que suis-je entrain de faire ? Le gôut de sa botte en latex sur ma langue, pire encore la terre et la poussière dessus entraient dans ma gorge et je continuait à le faire. Je me mentais à moi-même e faisant comme si j’agissait sans le vouloir, en vérité… Je mouillait déjà. Le collier se ressert.

« Je… Je suis votre chienne mais ma langue est petite je vais aussi vite que je peu… »

Elle frôle mes fesses, jeme cambre, elle se glisse près de mon anus… et je léchait plus vite pour qu’elle soit heureuse. Et je ne vi pas le coup venir ! Quelle brute !

« Haaa ça fait mal !! »

Mais que fait-elle avec cette sereingue ? Je me tiens encore le ventre à cause de la douleur. Et je n’ose comprendre ce qu’elle fait… mais sa main vient moi, vers ma chatte pourtant humide elle devrait être heureuse mais cette femme est … folle.

« Non, attendez ne faites pas ça !! Non, non,non,non,non,non,non…. »

Je répétais non en boucle, je le babulitais encore quand elle me pénétra, je le répétais encore quand mes larmes coulérent, je le réptais encore quand je sentit mon bas ventre être envahit, et encore quand la pression me procura du plaisir, le gémit alors que mon ventre devenait rond, je me cachait le visage alors que l’humiliation m’envahissait, impuissante.