C'est l'heure de votre oscultation [pv Lelouch]

Alors qu'elle se réveilla en douceur de sa sieste, quelqu'un entra dans sa chambre pour lui annoncer que le patron l'avait fait demandé pour une consultation. Alors elle s'habilla comme à son habitude et prit quelques seringues, un stétoscope, quelques médicaments ainsi qu'un calepin puis fourra tout ça dans une petite malette blanche. Elle quitta sa chambre, traversa les couloirs en direction de la chambre où on l'attendait. Les personnes qu'elle croisait la regardaient bizarrement, surement choqués de la voir si peu habillé mais la tenue qu'elle portait se constituait d'un petit corste et d'un simple culotte. Elle n'y pouvait rien car cela lui avait été imposé par le maitre des lieux mais elle ne se plaignait pas, au contraire elle appréciait cette tenue légère même si cela sucitait quelques regards.
Alors qu'elle continuait d'avancer vers la pièce où elle était attendue, elle se remémora son arrivée: quand elle entra dans le manoir pour la première fois, elle ne fut pas accueillit par celui qui lui avait envoyé l'invitation. Elle fut déçue et à la fois soulagée car elle ne voulait pas le revoir si vite. Anzu comprit donc que cette fois-ci, elle allait revoir le vampire pour la première fois depuis ce qui c'était passé en Enfer il y a quelques temps de cela. Quelque chose lui dit qu'il n'était pas vraiment malade et qu'il attendait autre chose que des soins de sa part. La succube soupira, pour une seconde rencontre cela allait être original.
Elle atteigna enfin la porte de la chambre où le vampire l'attendait, elle toqua puis entra en refermant la porte derrière elle. Elle posa sa malette sur une petite armoire et s'avanca.

-Enchantée de vous revoir Lelouch-sama. Que vous arrive-t-il donc pour que vous nécessitiez mes soins?

Le pouvoir, la possibilité de tout contrôler en ce monde, de maitriser chaque parcelle de vie pour en faire une arme contre ceux qui se rebelle à l'autorité des trois. La puissance, le fait de vaincre ceux qui se mettaient en travers de la route du vampire logeant sur un trône invisible: celui de divinité. Se complaisant à sa situation actuelle, le maitre observa au travers de sa baie vitrée l'ensemble du paysage donnant une vue sur l'île de Yuutou No Shima. Un travail dont il fallut des années pour en arriver à un tel stade mais qui, finalement, offrait une belle situation et une vue magnifique. Tous ces esclaves aussi bien hybrides qu'humains, toutes ces personnes qui admiraient les trois grands, voulaient aussi bien leurs places que les idolatraient ce qui faisait sourire notre bon Lelouch dans sa chambre. Ayant seulement sur lui un grand peignoir blanc, le maitre du manoir prenait son temps pour réfléchir à ce qu'il allait faire, comment gérer les affaires mais aussi son personnel féminin. Il aimait ce qu'il faisait, prenait un malin plaisir à faire crier de douleurs ou de plaisirs les femmes qui habitaient les lieux. D'ailleurs, en parlant d'une femme, il attendit la visite d'une d'entre elles, une ancienne connaissance ou plutôt conquête qui fut recommandée pour loger sur l'île grâce à Lelouch et dont les talents seraient bien plus amusants que prévu. Entendant le son de la porte frappée, la jeune femme entra lentement en faisant don d'une vision de rêve: elle portait les vêtements demandés par le vampire et exhibait donc son corps avec plaisirs. La première fois qu'il la rencontra fut lorsque sa famille prit d'assaut la sienne, les Vi Britannia tuant tout sur leurs passages pour agrandir sa puissance face à de pauvres malheureux démons et cette femme fut une des victimes de plus. La prise de sa virginité fut un régal sans appel et c'est pourquoi Lelouch ne comptait pas se débarrasser de ce corps se fabuleux de si tôt. Ces courbes, ce visage provocateur ainsi que cette tenue d'infirmière...Que demander de plus que cet ensemble qui donnait déjà des idées malsaines de luxure au grand buveur de sang. Passant son regard de haut en bas, la langue sortit lentement pour lécher ses lèvres avant de prendre le temps de répondre à la question de la jeune femme qui prenait son rôle très à coeur apparemment. Avançant lentement en la direction de la succube, Lelouch commença sa réponse en prenant une voix calme, sereine avant de se rendre derrière la jeune femme et mit ses mains sur les épaules:

"Vois tu Anzu, je n'ai pu te souhaiter la bienvenue en ces lieux et ce n'est pas dans mes habitudes de manquer à mes devoirs de gentleman. T'es tu habituée à la vie au manoir?"

Alimentant la conversation normalement, le vampire fit comprendre qu'il n'était pas véritablement touché par une maladie quelconque mais bien par l'envie de la voir et de passer quelques moments avec elle. Se plaçant derrière elle, le vampire caressa lentement les épaules de sa belle, prenant soin de jouer du bout de ses doigts sur cette douce peau pendant qu'il humait ce parfum délicieux. Le fondateur avança lentement ses lèvres près d'une oreille de cette jeune femme esclave de l'autorité de la famille mais surtout du puissant être qu'il était, jouant avec ses réactions pour savoir quel genre de femme elle était devenue depuis ce fameux jour. Le jour où elle perdit tout pour avoir un nouveau chez elle. Sensuellement, la voix du vampire se glissa dans l'oreille de l'infirmière:

"Je te remercie pour ton attention, porter cette tenue te va à ravir."

Il était là... Devant elle... Dans un peignoir blanc. Anzu afficha un léger sourire amusé: la couleur blanche était considérée comme la couleur de la pureté mais lui, il était très loin d'être pur! Un peignoir noir lui irait nettement mieux! Quoiqu'il en soit, il s'approcha lentement et, à chacun de ses pas, la succube ne put s'empêcher de se rappeler du fameux été où ils s'étaient vus pour la première fois... Restant impassible, rien ne trahissait son émoi. Chez les humains, non seulement d'avoir appris à être une infirmière, elle avait aussi appris à rester "professionnelle" et cela allait surement lui être très utile face à ce vampire!
Puis, venant derrière elle, Lelouch se mit à caresser les épaules de la succube, lui glissant à l'oreille qu'il ne désirait pas manquer à son devoir de gentleman. Malgré le frisson imperceptible qui la parcoura, le sourire d'Anzu s'accentua. Ce vampire n'était pas un gentleman, c'était quelqu'un de fourbe, quelqu'un qui trompait habilement les gens pour son propre intérêt. Même si on vient à découvrir cela, il était trop tard car on est déjà sous son emprise. Anzu le savait bien, c'est ce qui lui était arrivée mais elle ne s'en plaignait pas. Elle s'en fichait un peu...
Elle se dégagea de ses mains, toujours sur ses épaules, pour lui faire face. A la lueur de son regard, ce qu'elle pensait était confirmé: Lelouch n'était pas malade, si il l'avait fait venir c'était pour autre chose. Rien qu'à cette pensée, le corps de la succube s'échauffa mais elle décida de jouer la carte du professionalisme encore pour quelques minutes.

- Je vous remercie de ce compliment mais si je suis ici, c'est que vous avez besoin de mes services. Que puis-je donc faire? Etes-vous malade? Vos affaires sur Yuutou vous donnent-elles mal à la tête? Ou alors, vous avez besoin de... vous relaxer? ♥

Au dernier mot prononcer, la carte du professionalisme éclata. Lelouch pouvait le voir dans l'expression du regard d'Anzu: un regard instense, aguicheur qui laissait deviner ce qu'elle pensait. Le vampire l'avait fait appeler pour ça, elle le savait très bien. Elle savait aussi que diriger Yuutou était épuisant donc, elle aiderait volontier le Vi Britannia à se détendre, se relaxer. La succube n'attendait plus qu'il agisse, qu'il lui saute dessus, la déshabille d'un coup, ou qu'il la plaque contre le mur. Le résultat serait le même au final, une bonne partie de relaxation...

Le vampire n'était pas de ceux où la fidélité était plus importante que tout, que l'importance d'une seule femme faisait son quotidien, non il était du genre à en vouloir toujours plus. Il représentait la gourmandise, l'envie de luxure à l'état brut et ne se privait de faire appel à son statut pour pallier au soucis du manque de femmes. Ne se lassant que rarement de ses concubines, chaque soir le maitre en demandait une nouvelle ou alors voulait revivre la nuit de folies qu'il avait eut précédemment. Anzu était l'une de ces succubes qu'il eut par le pouvoir, mais qu'il parvint à la faire dévouer au noble sans vraiment la torturer comme certaines de ces humaines ou hybrides qui ne savaient pas rester à leurs places. Cette succube avait ce genre de corps qui faisait baver n'importe quel homme, d'ailleurs c'était bien le cas mais ne se laissait toucher que rarement d'après ce qu'en a put constater le vampire. Elle avait vécut auprès des humains mais seulement dans le but de parfaire ses connaissances médicales et non pour le plaisir de la chair. Il y avait donc un retard à pallier et c'est à quoi s'exécutera le maitre des lieux dans peu de temps. Etant poster derrière elle, le vampire huma ce délicieux parfum qu'elle dégageait, cette odeur qui éveillait les sens et surtout ceux de son bas, cette envie de la prendre immédiatement fit de Lelouch un prédateur du sexe. Dans son peignoir blanc, le ténébreux cachait son corps nu dû à une nuit dernière mouvementée avec quelques esclaves qui se devaient d'être punies pour insubordination mais le motif d'aujourd'hui différerait bien. Il n'était pas malade pour le moins du monde, non il avait seulement envie de passer du bon moment avec son infirmière attitrée qui aurait donc le plaisir de passer quelques heures à ausculter le corps divin d'un originel.

Se tournant en sa direction, Anzu joua sur la professionnalisme une fois encore, prenant soin à ce qu'elle réponde aux attentes de son maitre, patientant jusqu'aux prochains ordres alors qu'elle avait la possibilité encore de fuir. Un sourire immense orna le visage de l'interlocuteur qui s'avança lentement jusqu'à sa proie. Avançant sa main droite, il empoigna un sein caché par un corset plus que provocateur et malaxa par dessus le tissu, cette peau si rafraichissante que la succube souhaite surement exhiber. S'amusant à balancer ce sein sous les mouvements rapides de main, le vampire se lécha le coin des lèvres avant de se coller à la succube, de faire parler l'envie retenue de celle qui se postait devant lui et n"attendait plus que les mêmes choses. Après tout, cette race démoniaque en demandait encore plus que Lelouch alors il n'agissait que dans le but de rendre service...Sa bonté le perdra vraiment. Lentement, les lèvres se collèrent à l'oreille droite de la protagoniste et souffla dans le creux sensuellement avant que des paroles ne viennent caresser l'ouïe de cette perverse attitrée:

"Je pense que je voterais plus à même sur le titre de la relaxation me concernant. Mes devoirs me prennent du temps et je suis frustré de devoir attendre pour abuser de mes esclaves...Je compte sur toi Anzu pour arranger ce problème."

C'est l'heure de votre oscultation [pv Lelouch] 623237iconlelouch_copie14

Décollant son visage, le vampire revint rapidement à la charge en l'embrassant vigoureusement, prenant soin de coller ses lèvres contre les siennes et de lui voler un baiser fougueux, appliquant le soin de coller sa langue contre la sienne et d'exécuter un balais sensuel pour réveiller le corps de cette femme. Il la voulait, maintenant et sans prendre de gants, sa main prenait encore plus de vigueurs et faisait de ce sein capturé une source de plaisirs avant que ce ne soit encore plus puissant. Poussant avec son corps, le maitre plaqua au mur la succube et fit en sorte de faire quelques premiers mouvements de bassin pour frotter son membre se durcissant au travers du doux tissu du peignoir contre le bas de sa belle infirmière et lui donner un aperçu de ce qu'il attendait d'elle. Pourquoi se retenir de se faire plaisirs alors que même cette succube le désirait? Il n'allait pas s'ennuyer avec elle.