La salle remplie de cages, qui contenait chacune un futur esclave, était glaciale. La plus atteinte par le froid était Gwen. "Vêtue" d'une simple et fine couverture, sans rien en-dessous, elle gelait. Elle était persuadée qu'elle serait déjà morte de froid avant qu'un quelconque maître arrive dans la boutique! Les deux gardes qui l'avaient emmenée dans cet endroit étaient repartis en patrouille.

*Peut-être vont-ils trouver de nouveaux esclaves*, pensa la jeune neko.

Elle espérait de tout coeur être assez chanceuse pour avoir un maître bon et gentil. Elle se surprit surtout à vouloir un maître qui aimerait les parties au lit. Pour chasser cette pensée perverse de son cerveau, Gwen secoua vigoureusement la tête ; ce n'était aucunement le moment de penser des choses pareilles! Tout de même... un maître...? La jeune femme n'avait jamais envisagé la possibilité d'être un jour réduite à l'esclavage. En fait, elle n'avait jamais pensé, ne serait-ce qu'une seule fois, à son avenir. Mais maintenant, c'est comme si c'était écrit, là, devant elle, noir sur blanc : elle resterait esclave jusqu'à la fin de ses jours.

Un bruit la tira de ses pensées. Une esclave - aux formes plaisantes - se faisait tirer malgré elle vers une salle se trouvant derrière le magasin ; on pouvait penser que c'était le bureau du responsable. Gwen ne s'intéressa pas plus longtemps au sort de cette pauvre fille et posa son menton sur ses genoux, entourée de sa fine couverture. Le tintement d'une clochette retentit, venant du fait que quelqu'un venait d'entrer dans la boutique. Un homme, plutôt jeune, se présentait sous les yeux des esclaves. Certains s'approchèrent des barreaux de ces-dernières, dans l'espoir de se faire choisir et partir d'ici. Gwen, elle, resta cloîtrée au fond de sa petite prison, désirant de tout son être qu'il l'élirait comme son esclave et qu'elle pourrait dire adieu à cet enfer de magasin. Pourtant, elle ne se doutait pas que l'enfer, au contraire, commençait à peine...

[HRP: Rholala, excuse-moi, j'ai un manque d'inspi, là >.<'' C'est vraiment court T_T]

Cela ne faisait que hier que Kyoya avait acheté une esclave répondant au nom de Eriko Natsumi. Une esclave possédant une certaine fierté qui amusait notre démon. Mais tandis qu'il n'était que dix-huit heures environ, il se baladait seul dans les rues de la ville. Il n'était pas venu sans but précis, mais il pensait bien acheter une seconde esclave. Pourquoi ? Il croyait que pour Eriko, être la seule esclave du temple cela ne devait pas être très amusant. C'est pour cela qu'il venu en ville afin de trouver un magasin d'esclaves, différent de celui où il avait acheté Eriko, afin d'en posséder une nouvelle qui pourra tout aussi bien remplir ses devoirs envers Kyoya mais aussi se lier d'amitié avec Eriko.

Et voici la raison du pourquoi du comment qui explique le retentissement de la clochette. Kyoya venait d'entrer dans le magasin où le gérant en chef n'était pas présent mais un assistant au comptoir. Tout de suite, la présence de Kyoya fut remarqué. D'abord parce que c'était le seul client dans la pièce, mais ensuite par son charisme imposant qui fait de sa présence un être supérieur à celle des autres. Il commença à se balader dans la pièce sans regarder réellement les esclaves collés aux barreaux qui mettaient leurs formes en valeurs pour les femmes et les hommes homosexuelles, tandis que les hommes hétéro affichaient simplement leur muscle pour montrer qu'il pouvait endurer n'importe quel travail. Kyoya s'en fichait complètement et les ignorait, tout comme l'assistant qui le suivait derrière lui, il ne répondait absolument à aucune question, il ne lui disait strictement rien. Les cages étaient disposés en cercle et qui donc peu importe la route que vous prenez, elle vous ramènera à l'accueil en ayant tout visité.

C'est alors que son oeil fut soudainement attiré par la présence d'une hybride, assis au fond de la cage enroulé dans une piètre couverture. Il s'arrêta devant la cage, ne lui faisant pas face mais regardant avec le visage de côté. Après avoir regardé le regard de la jeune fille, il se plaça bien en face de la cage et adressa la parole à l'assistant miséreux :

- Ouvre moi cette porte, je vais prendre cette esclave.

L'assistant s'exécuta immédiatement et prit rapidement les clefs accrochés à sa ceinture pour ouvrir la cage. Kyoya entra dans la cellule, ou du moins il n'eut qu'à faire un pas car un de plus cela signifiait écraser l'hybride. La cage étant trop petite. Il tendit la main vers la jeune fille et attrapa sa main, et en l'aidant il l'a fit se relever. Pour éviter qu'elle retombe, il entoura ses épaules par ses bras et posa sa main sur son bras droit. Il sortit de sa poche une belle somme d'argent qu'il donna au démon. Ce dernier sortit un rouleau qu'il coinça entre les dents de sa nouvelle esclave. Sans dire un mot, il sortit dehors en portant la jeune demoiselle sur ses bras, telle une princesse. Une fois arrivé dans la rue il l'a posa et mit sa veste sur ses épaules puisqu'elle semblait frigorifier. Il devait prendre soin de ses esclaves si il voulait qu'ils le servent le plus longtemps possible. Puis il prit le rouleau qu'il avait mit entre ses dents et l'ouvrit pour faire apparaître un faucon. Ces dessins qui prenaient réalités étaient toujours des animaux, et ils avaient la plupart un intérieur blanc avec des contours en noir. Il rangea le rouleau et reprit dans ses bras la jeune esclave avant de s'assoir en tailleur sur l'oiseau. La vitesse de vol était assez lente, du moins elle était plus rapide qu'une voiture mais pas comparable à celle d'un oiseau pour la simple raison que Kyoya voulait discutait avec son esclave pendant le trajet :

- Mon nom est Hibari Kyoya. Tu peux t'adresser à moi en m'appelant "Maître" ou "Hibari-sama", l'un ou l'autre. Et toi, comment t'appelles-tu ? Dit-il en la fixant du regard, un regard assez froid et dur, mais qu'il montrait son intérêt qu'il avait pour elle.

Tandis que le jeune homme, sans doute venu chercher une esclave, faisait le tour de la salle remplie de cages, Gwen resta cloîtrée au fond de celle-ci. Elle fut surprise en voyant les pas de l'inconnu s'arrêter devant sa petite prison. Il jeta un regard vers la neko, sans pour autant lui faire face, ce qu'il fit quelques secondes plus tard. Gênée, la jeune esclave tourna la tête. Sans laisser à celle-ci le temps de dire quoi que ce soit, l'homme s'adressa l'assistant en lui demandant d'ouvrir la porte de la cage, précisant qu'il comptait acheter l'esclave qui se trouvait à l'intérieur. Il l'ouvrit sans se faire prier, ce qui permit ensuite au jeune maître d'entrer à peine dans la cage. Ce dernier aida Gwen à se relever, l'entourant ensuite d'un de ses bras et paya l'assistant avec une grosse somme d'argent. Elle réprima un sourire, voulant montrer à son nouveau maître qu'elle le remerciait infiniment de l'avoir sortie de cette prison. Il mit un rouleau dans la bouche de la jeune neko, qui n'eut pas le temps de protester, ce qu'elle ne comptait pas faire.

Sans crier gare, l'inconnu pris sa nouvelle esclave dans ses bras, telle une princesse, et la porta à l'extérieur du magasin. Il la posa à terre et la couvrit ensuite de son manteau. Gwen se débarrassa de la couverture, inutile, et s'emmitoufla dans l'habit prêté par le jeune homme, contente de savoir qu'il s'avérait plus au moins attentionné. Il reprit le rouleau qu'il avait momentanément donné à Gwen. Il y dessina un faucon, qui prit vie par la suite. La jeune hybride ne put cacher son étonnement et poussa un "Ouaah!" admiratif. Le jeune maître reprit son esclave dans ses bras et s'assit sur le faucon, qui se mit à voler en les portant. La jeune femme observait le paysage tout autour d'eux, impressionnée. Ce fut son maître qui ouvrit la discussion, en se présentant et lui précisant tout d'abord comment l'appeler, avant de lui demander quel était son nom.

- Je m'appelle Gwen Michaels, Maître, et j'ai 19 ans, répondit-elle.

Elle ne savait pas quoi ajouter. Au hasard, elle poursuivit, posant à son tour une question :

- Possédez-vous déjà une ou plusieurs esclaves, ou bien suis-je la première?

Si elle osait, Gwen aurait d'abord demandé "À quoi pourrai-je spécialement vous servir?", mais ceci lui semblait trop désinvolte envers son maître, à qui, selon elle, elle devait le respect. En fait, elle se posait sérieusement la question...
Soudainement, une bourrasque de vent violente fit voleter le manteau que Hibari-sama lui avait prêté. Surprise et rouge de honte, elle referma brusquement le manteau sur son corps. Elle détourna timidement les yeux de son maître.

[Sans crier gare* Désolé j'ai mis une lettre de trop xD]

Il ne pouvait être que satisfait de son achat. Elle semblait aux premiers abords fort docile, le suivant et obéissant sans broncher. Elle l'appela maître, ce qui montre une marque de soumission plus importante que si elle avait dit "Hibari-sama". Et après s'être présenté, elle fit de même en lui donnant en plus son âge. Kyoya restait silencieux et droit, son visage face à l'horizon mais son regard alla se poser en quoi sur la jeune fille qui ne semblait pas frileuse. Elle lui demanda ensuite si Kyoya avait déjà une ou deux esclaves avant elle, il était sur le point de répondre quand une bourrasque de vent apparu et firent voleter sa chevelure, l'obligeant à tourner son visage et puis aussi voir la généreuse poitrine de la jeune fille puisque la veste ne résistait qu'aux épaules à ce vent. Il pouvait être satisfait de son achat, car son esclave était bien fournis. Elle tourna la tête, rouge de honte, mais Kyoya lui se tourna en se mettant toujours en tailleur mais dos au vent, il prit la main de l'esclave et la tira jusqu'à lui afin de l’asseoir sur ses jambes. Un bras derrière ses épaules et l'autre pliait ses jambes en donnant, la serrant ainsi contre son torse. Son visage était maintenant beaucoup plus proche du sien, au point où il suffirait qu'elle baisse la tête pour l'embrasser :

- Tu n'auras pas à cacher un si beau corps encore longtemps... Il me donne tellement envie de jouer avec. Dit-il pour lui monter quel genre d'occupation ils auront, mais il enchaîna après une courte pause où il plongea son regard de beau ténébreux dans le sien, répondant tout de même à sa question. J'ai déjà une esclave, mais j'espère que tu t'entendras bien avec elle, je veux pouvoir jouer avec vous deux.

Tout en lui parlant, l'oiseau de peinture commença à perdre de l'altitude. Il était déjà bien avancé sur la route et se trouvait presque chez lui. Mais le vent était froid à cette altitude, et Kyoya désirait déjà jouer avec elle. C'est pour cela qu'il fit descendre l'oiseau pour arriver sur un chemin. Avant qu'il n'éclate pour redevenir encre, il avait mis son bras sous ses genoux afin de la porter de nouveau comme une princesse et éviter qu'elle tombe. Il la posa et ressortit son parchemin. Cette fois-ci il peigna un carrosse avec quatre chevaux à l'avant. Les chevaux étaient d'un intérieur blanc et les contours en noir, comme d'habitude, mais le carrosse lui avait des couleurs de bois, de fer, et tout ce qu'il fallait pour être aussi vrai qu'un vrai. Il ouvrit la porte qui était au dessus de deux marches, prenant la main de l'esclave pour l'aider à rentrer avec délicatesse. Mais le carrosse était différent des carrosses normaux, en effet son intérieur n'avait pas de banc. Il était recouvert des coussins en cuir rouge que possédait les bancs normalement sur leur dessus afin de ne pas donner mal au fesses à ses passagers, mais là c'était le sol qui en était recouvert. Après avoir fait monté l'esclave dans le carrosse, soit par la délicatesse soit par la force, il monta à son tour en refermant derrière lui. Au claquement de la porte, les chevaux se mirent à avancer. Il devait être à une heure du temple, mais Kyoya savait comment occuper le temps en attendant, et désormais ils étaient bien au chaud et à l'abris du vent, même si il n'allait pas lui laisser la veste sur le trajet. Il s'était adossé contre le mur en bois du carrosse. Le carrosse étaient assez long pour qu'un adulte puis s'allonger.

Les mots de son maître rendirent Gwen... contente. Mais effrayée à la fois. Elle ne savait pas du tout pourquoi! "Tu n'auras pas à cacher un si beau corps encore longtemps"... Elle frissonna d'excitation, ayant hâte d'arriver dans la demeure de Hibari-sama. Elle apprit aussi qu'elle ne serait pas seule esclave ; elle pourrait sympathiser et discuter avec une personne du même sexe. Au fur et à mesure de la discussion, le grand oiseau perdait de son altitude. Le maître le fit descendre rapidement, et sauta de celui-ci pour atterrir sur un simple chemin, Gwen dans les bras. Après l'avoir posée, il sortit à nouveau un rouleau et y dessina un merveilleux carrosse, semblable à ceux qui se trouvent dans les contes de fées. Comme le faucon, il prit "vie", et Kyoya fit entrer son esclave à l'intérieur. Là, il faisait bon, une chaleur agréable, et le sol de la carrosse était garni de coussins moelleux et luxueux, qui donnaient envie de sauter dedans et s'y endormir éternellement.

Par contre, il n'y avait aucun banc, et assez de place pour qu'une personne de la taille de Hibari-sama ou Gwen puisse s'y allonger sans encombre. Il faisait bon , dans la carrosse, mais en toute honnêteté, l'hybride commençait à avoir chaud. Si elle enlevait son manteau, elle aurait plus de fraîcheur, mais serait complètement nue. D'un autre côté, cela ne posait pas tant de problèmes ; elle n'avait qu'à prendre un des plus gros coussins présents et se cacher avec! Et elle le fit. En plus, ses cheveux étaient suffisamment longs pour cacher sa poitrine. Une fois ceci terminé, Gwen se sentit quelque peu gênée. Elle était en tête à tête avec son maître, son corps à découvert, et le trajet s'avérait durer pas mal de temps... La jeune femme ne savait que dire, ni que faire, à croire qu'elle attendait une réaction de la part de Kyoya.

Gwen attrapa avec plaisir la main que lui tendit son maître. Celui-ci attira brusquement le corps de la jeune hybride à lui. Sous la surprise, elle lâcha le coussin. Elle fut étonnée par le baiser inattendu de son maître. Il l'appuya fortement contre lui, ce qui fit rougir Gwen en sentant sa poitrine s'écraser contre son torse. Hibari-sama laissait sa main sur la nuque de sa belle esclave, ce qui semblait signifier qu'il ne voulait pas la laisser interrompre le contact de leurs lèvres. La neko se laissa toujours faire quand il fit passer sa langue dans sa bouche. Elle se mit même à entremêler elle aussi sa langue à celle de son maître. Alors qu'elle se rendait compte qu'elle avait besoin de respirer, Kyoya interrompit un instant leur baiser pour lui dire qu'il voulait qu'ils jouent ensemble. Gwen comprit sans problème la signification de ce mot, frissonnant d'excitation.

Son maître reprit sans attendre le baiser, et elle y répondit avec fougue. Elle laissa passer un petit "Hm!" quand quand le jeune démon saisit sa fesse pour coller encore plus son corps au sien.
La jeune esclave n'était pas du genre à prendre des initiatives. Elle ne savait que faire, comment réagir, alors décida au hasard d'enlever complètement la chemise de Hibari-sama. Gwen mit tout son poids en arrière, de façon à ce qu'elle tombe sur le dos, dans le tas de coussins luxieux, entraînant son maître avec elle. Toujours rouge comme une pivoine, elle éloigna un peu ses lèvres de celles de Kyoya pour dire, timidement :

"M....Moi aussi... je voudrais jouer..."

Elle se força à regarder le démon dans les yeux, avec un regard gêné. Elle était bien mignonne, à dire une telle phrase en ayant les joues aussi rouges!

L'excitation et la chaleur montaient de plus en plus dans le corps de la jeune esclave, qui allait sans doute finir par surchauffer. Il n'en avait pas fini de jouer avec la langue de cette dernière, et s'amusait visiblement. Il se mit alors à jouer avec la poitrine de la jeune femme

*Il...il va vite...!*, pensa-t-elle.

En effet, son maître était maintenant à califourchon sur elle, ses vêtements ôtés. Entre les seins généreux de Gwen se trouvait son membre. Il avait dit "Fais jouir ton maître"... la neko ne se fit pas prier. Alors qu'elle prenait déjà sa poitrine en main, Hibari-sama avait atteint de ses doigts la fleur secrète de sa partenaire. Alors qu'il commençait en la caressant gentiment, l'esclave ferma les yeux et se mordait légèrement la lèvre inférieure, comme si elle s'attendait à ce qu'un doigt s'aventure brusquement et sans scrupules dans son vagin. Ce fut à peu près ça. Sauf que Kyoya saisit entre son pouce et son index le clitoris de Gwen, et le tirait dans tous les sens, une lueur amusée dans le regard. Ceci fit gémir l'hybride désormais en chaleur.

Elle en oublia presque alors "l'ordre" de son maître : elle se força à ne plus ouvrir la bouche pour produire un son, mais elle la garda ouverte. Le démon en avait profité pour pousser la tête de Gwen vers son gland, et il passa directement entre ses lèvres. L'esclave, de plus en plus excitée, prit résolument ses seins et se mit à frotter le sexe de son maître avec, passant rapidement sa langue autour du bout de celui-ci. Elle s'immobilisa une seconde : une vague de frissons la parcouru, alors que son antre commençait à mouiller. Tremblante de plaisir, elle s'obligea à continuer ce qu'elle avait entrepris, avec des mouvements plus rapides et saccadés. Gwen leva un peu plus la tête pour avaler un peu plus le membre de Hibari-sama. Même si elle ne le voulait pas, elle gémissait quand même, ce qui donnait des "Hmmm!" sonors, puisqu'elle avait la bouche fermée sur le pénis de son maître. D'ailleurs, celui-ci commençait à devenir véritablement chaud, et brûlait presque les seins de la neko, encore plus sous les frottements produits sur le membre.

Alors que Gwen accomplissait le travail demandé par son maître, ce dernier ôta son membre de la belle paire de seins et l'enfonça au plus profond dans la gorge de son esclave. Ce ne fut qu'une fois allé le plus loin possible que Kyoya éjacula, forçant la jeune hybride à avaler tout ce liquide épais. Une fois qu'il fut sûr que ceci soit fait, il retira son sexe de la bouche de la belle, ne la laissant pas pour autant se reposer. Il se mit à nouveau entre les jambes de Gwen et souleva le bas de son corps par les hanches, laissant le bassin de son esclave en face de son visage, faisant en sorte qu'elle puisse aussi voir son antre et ce qu'y ferait Hibari-sama. Elle se retrouva donc les jambes en l'air, écartées sur son maître, et la tête en bas. Et comme il était impossible pour une hybride d'avoir le pouvoir d'inverser les effets de la pesanteur, elle pouvait voir sa propre mouille couler sur son ventre, vers sa figure.

Le démon posa ses lèvres sur l'intimité de Gwen. Comme le corps de celle-ci était soutenu seulement par les fesses, appuyées sur les épaules de Kyoya, il avait les mains libres, et attrapa donc brusquement et fermement les deux seins de son esclave. Elle laissa sortir un petit cri de douleur, de surprise et de plaisir, tout mélangé, quand le jeune homme pinça ses tétons et s'amusa à les tirer vers le haut, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus tirer plus loin, et se remit à masser furtivement la poitrine de la neko blondinette. Pendant ce temps, Hibari-sama promenait sa langue sur le sexe de Gwen, spectacle que l'intéressée pouvait observer. Il plongea soudainement sa langue curieuse dans l'intimité de la jeune femme, léchant ses parois vaginales avec plaisir et amusement, cherchant toujours à aller plus profondément. Le sexe de l'hybride était à présent complètement trempé.

L'esclave en chaleur frissonna à nouveau, provoquant un léger coup de rein, ce qui appuya encore plus son intimité à la bouche de son maître. Le fait de sentir sa langue se promener comme-ci comme-ça rapidement lui procurait une sensation, disons... impossible à décrire. À la fois horrible et plus agréable que tout. Elle se mordit la lèvre si fort sous cette sensation qu'un minuscule filet de sang en coula.

Kyoya continuait de jouer avec plaisir sur la poitrine de son esclave, il l'aplatissait, la tirait le plus haut possible, tout en allant toujours plus loin avec sa langue fouineuse dans le vagin de Gwen. Celui-ci mouillait à présent abondamment, et la cyprine coulait rapidement sur le corps de la jeune hybride, jusqu'à en recouvrir les mains baladeuses du démon, toujours entrain de masser avec envie les seins généreux de sa partenaire. Une de ces deux mains quitta son activité pour aller s'amuser ailleurs ; deux doigts s'insérèrent dans l'autre orifice de la blonde, cette dernière gémissant de plus belle, par pure douleur et plaisir. Pendant ce temps, Hibari-sama jouait toujours aussi amoureusement de sa langue dans l'antre de son esclave, la partie inférieure de son visage carrément enfouie dans cette dernière.

Gwen n'en pouvait plus. Lorsque son maître retira sa langue pour libérer le sexe de la neko, un jet de sa sécrétion jaillit soudainement de son intimité et l'aspergea, comme la pluie qui tombe quand le ciel et lourd et nuageux, ce qui semblait amuser Kyoya. Mais elle n'eut pas un instant de répit : le démon laissa tomber lourdement le bassin de la jeune hybride, ayant retiré ses épaules, et la pénétra de toute sa force. Ses parois vaginales brûlaient, chauffées au maximum par le membre chaud et dur. D'ailleurs, celui-ci gonflait toujours et encore dans le sexe de la neko blonde, et agrandissait le tunnel intérieur de celle-ci. Elle ne gémissait plus, elle criait. Elle criait de tout son être et de toute ses forces, une douleur indescriptible la saisissant. En plus de ça, Hibari-sama attrapa avec fermeté la poitrine de sa partenaire et se mit à sucer avec avidité ses tétons durcis par les actes de son maître.

Il se mit alors à exercer de rapides et forts va et viens, que Gwen voulut accentuer en donnant des coups de reins, contrant ceux du démon, aussi forts qu'elle le pouvait de son corps affaibli et haletant. Pendant ce temps, Kyoya laissa tranquilles les tétons de son esclave, allant l'embrasser fougueusement, la couvrant toujours de claquements de hanches violents. Il coupa le baiser pour tirailler à nouveau les tétons de la belle, dont un vers la bouche de celle-ci. Il lui ordonna de le sucer. Gwen s'exécuta, comme normal, se demandant tout de même pourquoi elle devait s'exciter toute seule, alors qu'il aurait peut-être préféré le faire lui-même. Bref, elle mit le bout de son sein entre des lèvres, et se mit à le sucer, passant de temps en temps sa langue arrosée de sperme dessus. L'autre téton se faisait manipuler habilement par Hibari-sama, qui le mordillait. La jeune femme ne faisait que réprimer des frissons exprimant à quel point elle était chaude et excitée.

Les coups de reins du jeune homme se faisaient chaque fois plus forts et plus douloureux pour Gwen. Il touchaient parfois le point le plus profond qu'on pouvait atteindre, mais cela ne réveillait pas la deuxième personnalité de la neko : elle souhaitait de toute ses forces qu'il n'apparaisse pas. Pour se calmer, elle passa ses nerfs sur le bout de sein qu'elle avait dans la bouche et se mit à le mordre sans se retenir. Cela lui faisait très mal, et ne provoquait pas tant de plaisir, mais ça lui permettait de garder son caractère habituel. Elle mordait si fort que le sang même coula du téton torturé. Gwen ne faisait que l'avaler, continuant à sucer avidement sa propre poitrine. Voulant oublier la douleur qu'elle s'était causé, elle leva les jambes et les écarta du plus qu'elle put, comme pour laisser plus d'espace à son maître. Elle ne put se retenir, et dit :

"Ce...han!... c'est trop bon...! Je...hm! j'aime ç-ça...hh!"

Elle haletait de plus belle, excitée à tel point qu'elle ne se retenait même plus de dire tout haut ce qu'elle pensait tout bas.

D'une main, le démon caressait gentiment la peau douce de Gwen, tel le tissu le plus doux et le plus rare au monde, et de l'autre, il jouait sans se retenir avec le sein libre de l'esclave : il le serrait fort, mais jouait aussi de sa langue en suçant et mordillant le mamelon qui durcissait au fur et à mesure. Il l'enleva ensuite de sa bouche pour le couvrir de coups de langue répétitifs, et le remit dans sa bouche pour poursuivre sa précédente occupation. Quand l'hybride leva et écarta les jambes, Kyoya réussit à la pénétrer toujours plus profondément, provoquant les cris excités de la jeune femme, qui avait l'impression que le sexe de l'homme n'arrêtait pas de grossir, étirant la peau de ses parois vaginales, sans pour autant cesser sa série de coups de reins frénétiques. Lorsque Gwen dit qu'elle aimait tout cela, son maître ne put s'empêcher de lâcher son téton et d'aller s'emparer de ses lèvres une nouvelle fois encore.

Il entreprit une danse folle entre sa langue et celle de sa partenaire, tandis que ses mains ne se lassaient toujours pas de manipuler sa poitrine en l'aplatissant, la tirant vers le haut au maximum, et répéter ces actions de nombreuses fois. En bas, on pensait que le membre de Hibari-sama avait pété un câble : son mouvement de va et viens s'accélérait sans cesse, devenant toujours plus puissant. Il était à présent assez gonflé pour qu'on se dise qu'il ne tarderait pas à éjaculer. Le démon, ayant abandonné la bouche de son jouet, déposa la sienne sur le cou de celle-ci, avant de donner un ultime coup de hanche, plus fort que les autres. Quand il atteignit le point le plus profond du corps de la neko de son gland, ce fut là qu'il lâcha tout son sperme. Gwen sentit un trop-plein dans son vagin et gémit ; cela lui faisait mal, mais seulement un tout petit peu par rapport à ce qu'elle avait enduré il y a moins de deux minutes. En effet, le trop-plein ressenti par l'esclave n'était pas faux. Quand Kyoya retira son pénis, la semence de ce dernier coula des lèvres intimes de la blonde, presque en abondance.

Le jeune homme semblait être très amusé. D'ailleurs, il n'en avait pas fini avec sa partenaire de jeu : il se mit à califourchon et avança au-dessus de son corps, faisant en sorte que son membre se frotte dessus au passage. Il glissa tout le long du ventre de la belle hybride angélique, sur sa poitrine, sur sa langue - car Gwen la laissait langue hors de ses lèvres, comme si elle avait fait trop de sport et qu'elle avait besoin de se rafraîchir -, sur son nez, et sur son front, laissant une minuscule traînée de sperme sur son passage. Arrivé au niveau du visage de l'esclave, il s'arrêta ; jambes légèrement écartées, sexe pendant en face de de la jeune femme, elle devina qu'il voulait une fellation. Elle sembla hésiter avant de relever légèrement le haut de son corps à l'aide de ses coudes et ses avant-bras, y restant appuyée, pour atteindre suffisamment le pénis de son maître. Elle frémit un peu quand elle sentait le liquide chaud qui sortait toujours de son intimité, ne s'étant toujours pas vidée. Il n'y avait pas de risque qu'elle aie un enfant avec son maître : avant de la mettre en vente, elle s'était faite stériliser.

La blonde prit résolument le membre entre ses fines lèvres, et se mit d'abord à passer sa langue sur le gland, tranquillement. Elle se permit de le mordiller un peu avant de le prendre en entier dans sa bouche et de l'avaler, son bout atteignant la gorge de Gwen. Elle se mit à le sucer avidement, comme si elle voulait aspirer tout la semence qu'il y avait à l'intérieur. Quand elle retira le sexe de Hibari-sama de sa bouche, pour respirer un filet de salive les unissaient encore. Après une grande bouffée d'air, Gwen reprit le travail que son maître lui avait ordonné d'exécuter. Au bout d'un petit moment de fellation, elle réalisa qu'elle commençait à sentit son propre poids sur ses épaules. Pour ne pas avoir à le supporter plus longtemps, elle tira sur le membre, la bouche fermée dessus, pour pouvoir se coucher tout en faisant ce que lui avait demandé le démon. Elle espérait qu'il n'allait pas la punir pour avoir prit cette intiative.