Ange a vendre, qui prend? (pv.Vanael.)

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Arika venait à peine de se réveiller, elle venait de se faire réveiller en faite c’était le matin et elle devait passer l’inspection du petit matin. Les marchands la firent mettre nue, puis la fit s’assoir sur un petit banc pour commencer a l’examiner de plus belle étant devenue esclave elle avait droit a un nouveau traitement, chaque matin on l’emmenait dans la salle d’examen pour voir si elle n’avait rien de changer, voir si a la marchandise, car c’était ce qu’elle était devenu, était en bonne état pour se vendre un peu plus chère qu’a l’habitude. Alors elle se retrouva nue et encore une fois elle eut droit a plein d’attouchement qui l’énervait, mais qui lui plaisait aussi, la seule place qu’ils ne touchaient pas c’était son intimité. Sur le point de remettre sa chemise blanche et sa jupe, les marchands l’arrêta et lui tendit un kimono qui mettrait en valeur ses seins. Puis on fit quelque réglage a son collier qui l’empêchait de prendre son envol c’était un collier qui la clouait au sol. Un fois le kimono mis, elle ne fut pas amener a sa cage, mais a un mur, oui on l’attacha au mur puisque ça faisait un moment qu’elle était ici, ils étaient décider a la vendre a tout prix.

Vanael avait besoin d'un nouvel esclave. Ce n'était pas une occurrence si rare depuis son arrivée sur l'île puisqu'il n'était pas considéré comme tendre avec ses esclaves. Il venait souvent "renouvelé" son stock d'esclaves puisque certains mourraient dans des "accidents" et des "erreurs médicales". Sa dernière esclave, dont il n'avait jamais eu l'intérêt d'apprendre le nom, avait été utilisé dans une de ses expériences biologiques. Il avait effectué une anesthésie locale sur son torse, la dénudant et l'attachant sur la table au préalable. La misérable créature, croyant qu'il voulait assouvir ses désirs charnels, n'avait pas pu cacher la surprise de voir le scalpel ouvrir son torse en deux et son maître se mettre à jouer et à observer les organes. La peur qui se lisait dans ses yeux alors qu'il observait et tâtait ses organes avait été très instructive. Il avait cependant dû demander à un esclave de ramasser l'urine qu'elle avait répandue partout dans la pièce dans les derniers instants de sa vie. L'esclave avait pleuré alors qu'il essuyait, comme si la vue du cadavre le peinait. Il ne comprendrait jamais complètement les humains. Quoiqu'il en soit, les marchands connaissait Vanael mais chaque fois qu'il entrait, deux émotions se côtoyaient sur leurs visages. La joie d'une prochaine vente et la peur panique de sa présence. Cela avait sûrement un rapport avec sa première visite. Mais c'était une autre histoire.

Cela étant, Vanael déambulait dans les couloirs du marché, à la recherche d'une esclave qui comblerait le vide laissé par numéro 16. Les esclaves faisaient vraiment pitié dans ses cages. Pas que Vanael ne ressente aucune de ces émotions humaines, mais il trouvait ridicule la façon dont les esclaves étaient si facilement brisés. Il aperçut finalement une jeune femme, attaché à un mur, dans une nouveauté légèrement extravagante. Un marchand et un client la regardait avec envie et Vanael s'approcha.

-Celle là, qu'est-ce qu'elle est?

dit-il calmement dans une voix qui ferait frissonner une pierre. Le client partit très vite et le marchand se retourna vers lui ,mal assuré. Il suait à grosses gouttes alors que Vanael ne le regardait même pas. Il observait la prisonnière attachée là, qui ne semblait pas avoir de réactions. Il ramena son regard sur le marchand qui réussit à rassembler son courage pour lui dire:

-Dorach-sama! ...C'est une esclave que l'on tâche de vendre depuis longtemps mais elle n'aguiche pas assez les clients pour qu'ils la désirent et elle n'est pas assez obstiné pour combler le désir de dressage des démons.

-Laissez-moi avec elle, je vais décider si elle m'intéresse.

Le marchand prit ses jambes à son cou et ne demanda pas son reste. Vanael se retourna de nouveau vers l'esclave et lui demanda tranquillement, sans hausser le ton.

-Tu peux parler? Qui est-tu?

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Arika n’arrivait toujours pas a s’imaginer qu’on l’avait bannis du paradis. Maintenant elle devait devenir esclave d’être qu’elle ne connaissait point, elle savait qu’il y avait des démon, mais elle avait entendu parler d’autre créature qui vivait sur cette île. Ce qui l’effrayait le plus c’est de tomber sur un être vraiment laid, comme un homme pieuvre. Mais elle vit alors approcher une autre personnes pour la fixer, elle n’aimait pas vraiment cette situation, tout ces regards qui la fixait, mais personne n’osait l’approcher et réclamer qu’elle lui appartenait maintenant, sauf cet nouvelle personne, qui donna l’ordre au marchand de le laisser seule avec elle, le marchand obéit en se sauvant en courant. Alors l’homme s’avança vers elle, cet homme avait l’air plutôt normal, elle savait par contre qu’il ne fallait pas se fier au apparence, alors l’homme lui demanda si elle pouvait parler, elle fit signe de non. Elle pouvait chuchoter, mais pas parler depuis que le démon l’avait battue, elle avait de la difficulté a parler. Bref un des marchand s’approchant et vins dire a l’homme :

« Elle se nomme Arika Nanaso et ne peut parler cher monsieur. »

Vanael fixait l'esclave attaché au mur avec un regard pénétrant, l'examinant sous tous les angles. Elle avait l'air mal en point et les blessures semblaient récentes, vues leurs colorations. Il soupira tranquillement quand elle lui fit signe qu'elle ne pouvait pas parler. Ça rendrait la chose plus difficile s'il voulait discuter avec elle mais ô combien plus pratique s'il se servait d'elle comme une servante classique. Il demanderait un étiquette pour son âge et sa race. Il continua de la regarder pour un long instant quand tout bascula. Le marchand revient servilement vers lui et lui dit le nom de l'esclave, ce dont il se fichait par ailleurs, ainsi que quelque chose que l'esclave lui avait très bien fait comprendre avec les marques violacés sur sa gorge. Le vieux vampire détourna à peine la tête avant d'envoyer un revers de la main magistrale en plein visage du servile petit être démoniaque, qui fit un vol plané dans le mur à 5 mètres derrière eux. Un craquement sinistre se fit entendre et Vanael se dirigea vers le démon qui gémissait comme une fillette en le maudissant. Dès qu'il arriva dans le champ de vision de la créature, il arrêta de le maudire et répandit en excuse. Le suçeur de sang lui jeta un regard dédaigneux et regarda l'autre vendeur, couvert de sueurs froides.

-J'avais demandé qu'on me laisse seul. Je n'ai guère besoin d'un nom ainsi que d'une information qui m'a été fournie par l'esclave elle-même. J'ai cependant remarqué qu'elle avait été blessé récemment. Je me fiche de savoir si c'est votre oeuvre mais j'exige une réduction du prix d'au moins 50%. Je paierai donc 1046 pièces pour l'esclave et je payerai 1500 pour avoir le collier électrique en plus.

-Messire..Dorach-sama...vous êtes trop bon...

-Silence. Réponds à mon offre.

-Bien entendu, sire. Pour 1500, elle est à vous avec le collier électrique et à gravité en prime

-Détachez-la et allez vous en. Je parlerai à un responsable de la conduite de votre...collège

dit-il en jetant un coup d'oeil au démon assommé. Le marchand s'empressa de détacher l'ange, la faisant tomber brutalement au sol avant de s'enfuir au plus vite. Vanael s'approcha d'elle, attendant qu'elle se relève.

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Arika venait enfin de faire la connaissance de celui qui venait lui parler, elle lui avait indiqué qu'elle ne parlait pas, mais l'homme avait l'air de ne pas en prendre compte et voulait l'acheter quand même, car sinon elle serait déjà de nouveau dans la pièce des ventes à attendre que l'on achète la jolie ange et oui, en prime l'homme avait droit à une très belle offre, car elle était une ange déchues, mais une ange, c'était assez rare ce genre d'esclave. Elle fixait l'inconnue en tremblant un peu, de la crainte se lisait dans son regard, elle sentait que cet homme allait la faire souffrir, puis le marchand finit par la détacher elle fixa alors l'homme, puis entendit la conversation, elle ne put parler à cause des fameuses marques à son cou, mais elle ne pourrait toujours pas voler. Elle retira son kimono et ses ailes s'enroula autour d'elle et devint une jolie robe rose avec une capuche (comme sur la vava), avant de s'avancer vers celui-ci et s'incliner doucement devant lui, comme preuve de soumission.