La misère d'un hybride [Pv Zubaky]

L'été, quelle agréable et horrible saison, cela fait du bien de quitter le froid de l'hiver mais les rayons du soleil intense chauffe les cages des échoppes d'esclaves, Yû est forcé de s'assoir sur des vêtements si il ne veut pas se brûler, ainsi il est recroqueviller sur lui même dans cette cage assis sur son tee-shirt puisqu'il n'avait que ça à part son boxer blanc, il évitait de toucher les barreaux pour éviter de se faire des marques. Il s'était évadé quelques jours plus tôt et il avait rencontré une jeune fille charmante aux formes généreuses, une fille qui lui rappela une ancienne amie chère à ses yeux qui est décédé. Il se fit attraper rapidement mais uniquement lui puisqu'il s'était séparé de la jeune fille, heureusement par un autre marchand sinon il aurait peut-être été balancé dans un fossé pour mourir là bas comme un chien. Enfin, le revoilà cette après midi dans cette cage torride qui le fait un peu suer comme tout les autres esclaves, il ne regardait pas les acheteurs et ne prenait pas non plus une expression joyeuse ou triste, simplement neutre. Il attendait là, qu'est ce qu'il attendait ? Que quelqu'un l'achète avant de revenir ici pour une raison X ou Y. 17h sonnait à la montre du marchand, il ouvrit la cage de Yû et le força à sortir en tirant sur sa chaîne relié à un collier en fer, ses mains et pieds liés par des bracelets eux aussi en fer mais relié par une même chaîne, il l'attache un poteau devant le stand pour le mettre en valeur, certes Yû était beau et jeune ainsi il ferait sûrement sa meilleur vente alors pourquoi pas l'attacher à un poteau où il brûlerait sous le soleil tandis que sous sa cage l'ombre des murs des immeubles le protégeait un peu. Il était assoiffé, il avait faim, mais il ne bougeait pas et rester comme ça devant la foule.

Dans ce lieu fait de fourberie et de mal, je devais bien m'y cacher et faire comme tout le monde pour ne pas etre decourverte, moi et mes intentions. Je suis l'espion du Diable en personne, et si jamais les dirigeants venaient a le savoir, je serais sans doute morte ou torturee jusqu'a que mort s'en suive. Soit, etant une personne de forte personnalite, je ne peux etre une esclave, je ne le supporterais pas, je ne veux pas etre comme ses pauvres betes qu'on peut ecraser avec son pouce. Je ne veux pas etre une independante car je me sentirais trop seule et si je devenais une rebelle, j'aurai encore plus de chance d'etre attrapee et torturee. Une seule solution, etre un maitre...!

Cela sonnait bien a mes oreilles, j'aime etre ecoutee et surtout qu'on m'obeisse. Peut etre que j'apprendrais a etre un peu plus juste avec ses pauvres petites choses ? Je ne le crois pas. J'ai eu trop de peine pour que j'apporte la justice autour de moi. je ne vois pas pourquoi je devrais l'etre si personne ne l'est avec moi. Soit, je dirigerai ma maison comme je l'entend.

Sur ce, je me dirigea vers la salle des esclaves. Je n'avais pas peur de ne pas avoir assez d'argent car c'est le diable qui me paye ce que j'ai envie... Plutot une situation enviable non ? Surtout qu'il fera tout pour que je reste aussi en vie, vu que je suis une de ses plus proche servante. Bref ! Je suis rentree dans cette salle a la recherche d'un homme, mignon de preferance et au atout felin. J'aime les chats et tout ce qui peut suinte la puissance ou le pouvoir. Je chuchotta des paroles a des gardes pour qu'ils puissent me conseiller. Sur ce, ils s'en allerent me cherche une personne a mon gout...

J'attendis dans une salle peu chaleureuse et au fond d'air froid. J'ai horreur du froid et tout ce qui touche a cette temperature... Je commenca a fredonne un air plus joyeux que cette prison. Je sentais les notes danser dans ma tete et je sentais aussi les personnes proches de moi qui commencaient a etre hypnotises par la douce melodie. Je sentais leur curiosite, ils voulaient savoir d'ou provenait cette magnifique melodie au ton infiniment attrayant.

Mais je m'arretais, voyant que la porte allait etre ouverte. C'etait un des gardes a qui j'avais demande de m'aider. Il m'emmena dans des couloirs plus ou moins bien decores, puis je sortis a la lumiere du jour... Je fus eblouie, sortant de se boyau sans fond et sans lumiere... Une colonne etait errigee et dessus etait attache un pauvre petite chaton. Je m'avanca doucement vers le beau petit felin... le regardant de partout, le devisageant et en evaluant ses capacites...

La voix du garde m'effraya quand il s'adressa a moi

- C'est un male, beau speciment au sang de lion...
Cher, tres cher...

Je fis un mouvement du doigt pour qu'il se rapproche de moi et il me chuchotta le prix a l'oreille... Je souris et j'usa de ma beaute pour qu'il rabaisse le prix... car je ne voulais pas debourcer une telle somme pour une pauvre petite bete qui n'a que la peau sur les os, et puis, le Diable, dans son avarice supreme, pourrait quand meme refuser ce credit. J'usa de ma voix seductrice pour ensorceller le gardien :

- Ne pouvez vous pas, bel homme, baisser le prix pour une pauvre femme comme moi..?
S'il vous plait..!
Je ne respire, ni richesse ni mal,
Je prendrais soin, mais je veux pouvoir lui donner a manger
Et debource une telle somme serai nous reduire tout les deux au quignon de pain..!

L'homme rougit et se glissa doucement vers moi en me chuchottant un prix nettement moins grand, voir dire completement offert. J'accepta avec un sourire enorme et je demanda a le faire detacher... Il le fit sans se faire attendre, prit le lion dans leur bras et me le mit devant moi, a terre tout en le menottant...

Je caressa son visage doux mais grimacant de douleur :

- Pauvre minou... Je te ramene a la maison mais d'abord,
Mange ceci et bois...

Je lui tendis une gourde d'eau et un pain avec du chocolat a l'interieur, n'es ce pas ainsi qu'on appate les animaux ? Avec de la nourritures et de belles paroles ? Avec sa confiance,je pourrais peu etre voir plus loin.. Je ne pense aps etre decu de ce male...

(Pardon pour les fautes ! Desoleeeeee je voulais mettre plus de chose, mais mon temps est compte !)

Le soleil commençait à le déshydraté, en haut d'une estrade attaché comme un bout de viande au poteau, on pouvait voir quelques gouttes de sueur tombant de son menton. Sa respiration devenait plus difficile après avoir passé des heures au soleil sans boire, c'est alors qu'une jeune femme venu accompagnée par un garde, de ses yeux cachés par sa chevelure Yû posa un léger regard sur la jeune fille qui elle aussi le regardait sous toutes les coutures, après avoir compris qu'elle était là pour l'acheter il regarda au sol, n'ayant rien à faire d'autres il ne cherchait pas à être acheté. Puis le garde venu chercher le jeune mâle, il enleva les menottes qui le gardait attacher au poteau sûrement sous ordre de la jeune femme, et au moment où il retire les menottes Yû n'avait presque plus de force, épuisé par le soleil ses jambes n'avaient plus de force et il allait tomber mais un garde le retenu en attrapant ses cheveux. Yû reprit appui sur ses jambes pour se tenir debout, fermant les yeux et fronçant les sourcils à cause de la douleur que lui donnait le garde en tirant ses cheveux, il amena le jeune mâle à la jeune demoiselle en le forçant à se mettre à genou et le visage au sol comme preuve de soumission, remettant par la même occasion les menottes autour de ses poignets. La jeune fille déposa de quoi boire et manger, il mit un léger moment à comprendre que c'était pour lui et à ce moment il releva légèrement le visage, buvant d'un seul coup toute l'eau dans le verre et mangeant rapidement le pain au chocolat après cela, néanmoins ses yeux ne se levèrent pas et restèrent camouflé par sa chevelure, il ne montra aucun sourire aux lèvres ni aucun geste de remerciement. Il se releva tandis que les gardes restaient à côté de lui, prêt à le mettre au sol au premier geste brusque, Yû restait debout sans rien dire en attendant les ordres de sa nouvelle maîtresse, puis il se dit qu'il devait se présenter comme à chaque fois qu'on l'achetait :

- Mon nom de famille est Shirotsuki, pas besoin que vous sachiez mon prénom.

Ce fut les premières paroles du mois du jeune esclave, néanmoins cela ne plu pas au garde qu'il ose dire que sa maîtresse n'avait pas besoin de savoir son prénom, insinuant qu'il ne l'autorisait pas à l'appeler par son prénom, le garde posa sa main derrière sa tête et le força à se cambrer, lui rappelant ainsi sa condition d'esclave, mais cela n'allait pas faire pour autant changer d'avis à Yû.

Je fus vite exasperee par ces gardes qui n'ont aucune pitie pour les esclaves, qu'ils ont des oreilles ou non. Je fis un geste brusque quand je fis de quel facon ils traitaient mon esclave. Je voulus leur crier d'arreter mais le mal etait fait et le pauvre etait devant moi. Je foudroya de colere ses gardes incompetants...Puis je passa sur mon doux chaton. Je regardais ses cheveux blancs en bataille, crasseux, parfois arraches. Je descendis vers le visage, mais tout ce que je vis, c'est sa frange qui recouvrait tout son visage et surtout ses yeux. Je descendis encore pour voir son corps qui me semblait fort, mais cela n'est que superficiel.

Mon pauvre esclave regardait la nourriture et la gourde, jusqu'a qu'il comprenne que c'etait pour lui et qu'il l'engloutisse. Je fus rassuree quand il mangea et but. Cela veut dire qu'il a des yeux, vu que je ne les voit jamais. Un garde vint, le prit pour qu'il se presente et se courbe devant moi. J'ecouta attentivement ce qu'il avait a me dire. Son prenom, pas important ? Je lui en parlerai plus tard. Tout doucement,j'etais lasse de retenir ma rage contre ses bourreaux. J'hurla, ma voix etait dissonante, et ma rage se faisait entendre :

- Lachez le, bande de garde sans cervelle !
Degagez le passage, je ne veux plus vous voir !
Degagez, vous pouvez au moins faire semblant de bien les traiter devant leur futurs maitre !
Bande d'abrutis !

Mon visage etait deforme par la colere et je sentais que j'enervais par mes paroles ces gros tas de soupe. Je sentais aussi que l'un voulait me faire ravaler mes paroles. L'autre garde, sans doute le plus intelligent, mit une de ses mains sur l'epaule du violent en faisait non de la tete. Sur ce, le violent arreta de me foudroyer et de craquer ses doigts entre ses poings. Ils partirent sans rien dire, j'entendis juste des grognement emanant du colereux.

Je sauta vers mon esclave que je sentais plus que faible. Je le pris contre moi et je remarqua que son poids devait etre plus faible que le mien, de tel sorte que je pouvais le porter. Mes yeux se remplirent d'horreur en voyant sa taille par rapport a son poids. Je sens que je devrais prendre soin de lui avant qu'il ne devienne un esclave a ma botte. Et puis, un peu de rapprochement, rien de tel pour conquerir sa confiance.

Je me presenta aussi, la voix douce et des yeux qui se veulent confiant et plein de compassion.

- Je suis Zubaky, avec moi, c'est mon nom qui ne sert a rien.
Je voudrais savoir un jour ton nom, car je ne veux pas qu'il y ai de distance entre nous.
Je vais te ramener chez moi, et ton service commencera quand tu seras en forme.
Je ne veux pas d'un ectoplasme comme esclave.
Tu es tellement affaiblie que je suis capable de te porter.
Cela me fait peur... que t'on t-il fait..?

Enfaite, cette question etait posee mais je ne voulais pas de reponse, car je ne voulais pas maudire encore plus ces hommes qui n'en son plus. Je ne souhaite cela a personne si ce n'est pour les maitres de ses lieux : Lelouch, Lirenane et Shin. Je voudrais qu'ils perissent sous les coups de leurs propres gardes. Je voudrais qu'ils sentent ce qu'ils font a leur esclaves alors de nous les donner en pleine santer. Cela me ferai gagner du temps, mais pas de la confiance. Oula, je deviens sentimentale, ca ne me ressemble plus.

- Je te ramene chez nous ?
A moins que tu ne veuilles rester ici...
Ce qui m'etonnerai.

J'attendis sa reponse. J'etais agenouillee et j'avais sa tete sur mes genoux, je caressais tendrement sa tete. Je ne voulais pas lui faire peur tout de suite. Je ne veux pas qu'il s'epuise avec de longe phrase. Je veux juste qu'il se retablisse...

Même si la fatigue et la faiblesse l'empêchait de porter une quelconque réflexion, lorsqu'il entendit les cris de colère de sa nouvelle maîtresse sur les gardes lorsque ces derniers maltraita le jeune Yû qui était genoux à terre et la tête baisser, un garde au caractère impulsif commençait à craquer ses doigts et à faire un pas vers Zubaky car apparemment il n'appréciait pas qu'on lui cri dessus, mais un pas de plus et Yû aurait prit appui avec ses mains au sol au niveau de son visage pour donner un rapide coup de pied dans mâchoire, malgré la fatigue il réagit toujours au quart de tour quand il s'agit de violence. Heureusement pour le garde, un de ses camarades posa la main sur son épaule pour l'empêcher plus loin, la petite troupe partant en grognant dans leur barbe, tandis que sa nouvelle maîtresse s'approcha rapidement de Yû en le collant contre lui, ce dernier se laissant totalement faire. Elle se nommait Zubaky, et son nom de famille n'avait pas d'importance, elle préférait apparemment que le jeune mâle et elle soit le plus proche possible mais Yû était à moitié présent à cause de la fatigue elle même dû au brulant soleil et au manque d'hydratation comme d'alimentation, Yû ayant perdu de poids et paraissait maigre pour quelqu'un de sa taille et sa nouvelle maîtresse ne se retenu pas de lui faire remarquer, elle lui à demander ce qui lui ont fait et pour dire ce qui lui on fait il ne répondit pas, il ne disait rien, rien était le mot juste pour ce qu'on lui a fait, on lui a rien fait, on lui a pas donner de nourriture ni d'eau suffisamment pour survivre comme il faut, un mois encore et il aurait peut-être clapsé avec des conditions pareils. Elle proposa ensuite de le ramener chez eux à moins que Yû désire rester ici ce qui était absurde alors il se leva, sa chevelure épaisse et sale empêchait la vue de ses yeux, alors qu'avant de devenir un esclave il avait tout les jours des cheveux fins et soyeux d'une couleur blanchâtre éblouissante et charmante, des beaux cheveux que de nombreuses femmes auraient désirés avoir. Il se mit à côté de sa maîtresse en marchant, un peu vers l'arrière puisque le maître est toujours en tête, devant, et les esclaves derrière. Sans dire un mot il suivait Zubaky, sa nouvelle maîtresse. C'était un garçon silencieux, ou plutôt ne parlant qu'en réel nécessité, néanmoins cela dépendait surtout de sa condition physique, la fatigue l'empêchait depuis le début de prononcer ne serait-ce qu'un mot sous peine de s'écrouler, on peut plutôt dire qu'il gardait le reste de ses forces pour marcher.

Shirotsuki arrivait a marcher seul. Mais je ne le laissais pas seul. De peur qu'il tombe. Je restais a cote de lui tout le long du trajet, le prenant par le bras au cas ou il tombait... Je restais au meme niveau que lui.

Je ne voulais pas qu'il se fasse mal avant qu'on arrive chez nous. Je le tenais fermemant, le regardant de temps en temps pour voir dans quel etat il etait, le sentant s'affaiblir.

Finalement, apres 5minutes de marche on arriva chez moi, c'etait encore remplis de carton, sans decoration,juste le minimum de meuble sortit.... J'ouvris la porte et...

(Suspense *-*)
(Je continue chez moi,dans l'annexe)

- Rp Terminé -